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CANCER : LA BARBARIE DE L'INCOMPÉTENCE
Dans un récent article de CNN intitulé ''Ma mastectomie préventive : rester en vie pour mes enfants'' une mère fait enlever ses seins et ses ovaires sur simple présomption de terrain favorable à futur cancer.
Déclarant qu'elle a suivi la recommandation pressante de son gynécologue, Allison Gilbert a fait enlever chirurgicalement ses ovaires en 2007 et ses deux seins au début de cette année. Elle déclare :''La décision d'une opération chirurgicale sans avoir de cancer n'a pas été facile, mais elle m'a semblé logique. Ma mère, ma tante et ma grand-mère sont toutes mortes d'un cancer du sein ou des ovaires, et j'étais testée positive pour le gène du cancer du sein.''
Oui, de plus en plus de médecins encouragent maintenant les patients à se faire enlever des parties du corps jugées à risque pour prévenir un cancer éventuel. (y compris un cancer du cerveau ???)
Pour les hommes c’est pareil ; c’est ainsi que l’on estime à un million le nombre d’américains à qui l’on a abusivement enlevé la prostate soit préventivement suite à un adénome soit en faisant croire à un début de cancer. (En France on a du mal à connaitre les chiffres). Tout cela semble insensé, pourtant la communauté médicale dans sa majorité pense que c'est un exploit médical d'accomplir une mutilation physique au nom de la prévention d'un cancer… Cela me fait penser dans Astérix, aux Normands qui coulaient leur propre bateau en voyant seulement s’approcher la barque des gaulois.
Cette nouvelle mode est le critère de la non-reconnaissance de la science officielle à propos de la relation directe du mode d’alimentation avec le cancer. Remarquez que les chattes et les chiennes n’avaient jamais de cancer de la mamelle avant l’apparition des boites et des granulés ; de plus elles partagent souvent nos restes. Aussi aurait –il été intéressant de faire une petite enquête sur les coutumes nutritionnelles de la famille Gilbert…..
Par ailleurs, on reste pantois devant la reprise enthousiaste des médias qui glorifient cet autosacrifice de mutilation en tant que manifestation héroïque d'affection envers la famille et les amis.
Mais surtout, nous avons là la preuve éclatante que la médecine officielle avoue implicitement son propre constat d’échec face au cancer, d’autant plus lorsque l’on connait le chiffre officiel à l’échelle mondiale annoncé par l’OMS concernant la survie à 5 ans suite à la recette unique : la chimiothérapie, qui est de 2,2% !
Il se dit même que les gens meurent plus souvent de leur chimio que de leur cancer. Qui tenterait raisonnablement une quelconque action avec 98% de chances d’échouer ? Pourtant il existe depuis longtemps différents traitements naturels et des cures de désintoxication qui, sans pour autant être efficaces à 100% - ce qui est assez normal - offrent statistiquement des résultats infiniment plus satisfaisants que les méthodes traumatisantes des grands labos.
Mais cet « exercice illégal de la guérison » a toujours été sauvagement combattu par la dictature médico-pharmaceutique qui comme toute religion fanatique et intégriste interdit d’aller voir ce qui se passe ailleurs que dans leur chapelle. En attendant, tant pis pour tous ceux qui se laissent embarquer par l’autorité agressive des oncologues qui vont même jusqu’à menacer leurs « victimes » de perdre l’assistance sociale s’ils n’obtempèrent pas à leurs injonctions !!! Je n’exagère pas, cela m’a été rapporté tant de fois….
Un jour, un médecin stomatologue me dit confidentiellement au cours d'une réunion de famille :
- « Entre nous, un cancer, on ne s’en sort jamais, on ne fait que reculer l’échéance… »
- Je lui répondis « Comment cela ? Que fais-tu des légions de gens qui ont été guéris définitivement avec le CARZODELAN, extrait pancréatique d’enzymes (qui curieusement suite à près de 40 années de succès a été interdit), de la CURE BREUSS qui existe depuis plus de 300ans, les résultats par la simple MACROBIOTIQUE, sans compter les différents remèdes pourchassés tels les PEROXYDASES DE SOLOMIDES, le 714 X DE NAESSENS, l’ASIATONIC (champignon chinois), etc. »
- Il me rétorqua la réponse classique «C’est que ce n’étaient pas de vrais cancers…. »
- Je lui dis alors « Tu es gonflé, qui est-ce qui avait dépisté les tumeurs cancéreuses, c’est bien vous les médecins ; donc tu avoues que l’on ne peut pas vous faire plus confiance pour le diagnostic que pour le traitement ! »
Je peux en outre renvoyer à juste titre le même raisonnement à la cancérologie en disant que les seuls succès de leurs traitements « politiquement corrects »ne s’appliquent qu’à des faux diagnostics de cancers…..
Enfin j’en profite ici pour rappeler une fois de plus qu’il existe une cure de désintoxication cellulaire de 60 ans d’âge qui règle de très nombreuses maladies, dont le cancer, et certaines maladies classées orphelines, en quelques mois, c’est la CURE GERSON accompagnée des lavements au café, que j’ai dévoilée en France il y a 4 ans et que j’ai expliquée en détail dans un livret édité par Guy Trédaniel.
C’est une prise en main personnelle assez contraignante, mais les Docteur Gerson et Kelley qui ont sauvé des milliers de personnes promettaient un sauvetage de près de 40% des patients en phase terminale du cancer. Alors avant de vous laisser découper en morceaux, brûler ou chimiquer, renseignez vous d’abord en dehors du menu unique qu’on vous impose, c’est votre droit le plus absolu, et ensuite…..C’est vous qui voyez... Au moins, maintenant, vous êtes informés.
Michel Dogna
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INTOLÉRANCES ALIMENTAIRES :
C'EST UNE VRAIE ÉPIDÉMIE !
De plus en plus de consommateurs sont obligés de se tourner vers les produits sans gluten, sans caséine, sans additifs alimentaires, sans oeufs. Preuve de l'explosion de cette demande, l'apparition de rayons entiers de produits "sans gluten" ou "sans caséine" dans certains hypermarchés et dans les boutiques bio.
On ne compte plus le nombre de jeunes mamans qui découvrent que leur nourisson ne supporte pas le lait. On constate aussi qu'un nombre de plus en plus important de personnes âgées présentent désormais des intolérances à des aliments qu'elles supportaient parfaitement autrefois. Quelle est l'origine de cette épidémie ?
La paroi de nos intestins est une passoire !
Une intolérance ressemble à un empoisonnement progressif qui résulte de la fragilisation de la muqueuse intestinale (à la suite d'un traitement médical ou d'un stress par exemple). C'est ce que l'on appelle l'hyperperméabilité intestinale. La muqueuse, fragilisée, va laisser passer les moisissures, les déchets, les aliments à moitié digérés qui vont arriver dans le sang sans avoir été identifiés par le système immunitaire. Celui-ci va réagir en libérant des anticorps (IgG) et en mémorisant l'identité de l'intrus. Ainsi, dès que l'on consommera à nouveau l'aliment identifié comme un intrus l'organisme déclenchera une réaction immunitaire, de plus en plus violente.
Généralement cela se traduit par des problèmes digestifs (ballonnements, douleurs, nausées...) et le médecin pense parfois, dans ces cas, à un problème d'intolérance. Mais cela déborde vite le seul système digestif. Certains souffrent d'un gonflement des lèvres, d'autres, d'un rétrécissement de la gorge ou d'éruptions cutanées. Souvent, c'est plus grave : migraine, diabète, eczéma, psoriasis, insomnie, dépression sont souvent au rendez-vous
L'alimentation moderne nous rend intolérants
La médecine officielle ne se préoccupe que depuis quelques années des intolérances. C'est en partie grâe au travail de chercheurs indépendants et à leur opiniatreté que l'on admet aujourd'hui l'existence de quelques grandes intolérances : à la caséine, au gluten ou aux sulfites. Mais il est clair que très peu de médecins savent traiter ce problème (autrement qu'en vous disant d'arrêter de manger du pain, de boire du lait ou du vin blanc). Et il y a de nombreux autres types d'intolérances, on pourrait même dire que chacun a son intolérance personnelle, à un aliment ou à plusieurs aliments croisés.
Les raisons mêmes du développement des intolérances alimentaires sont rarement connues du corps médical. On sait pourtant que :
La fréquence des traitements antibiotiques dès le plus jeune âge, parfois même avant 6 mois, empêche la mise en place d’une flore intestinale efficace et favorise la prolifération de candida albicans ; ainsi, la muqueuse n’acquiert-elle pas sa pleine capacité immunitaire.
La détérioration de la qualité des produits manufacturés, notamment par la présence de traces de produits toxiques et l’ajout d’un nombre considérable d’additifs, agresse quotidiennement la muqueuse digestive.
La détérioration de l’environnement qui expose à des toxiques volatils, les amalgames dentaires, les vaccins répétés… sont autant de prétextes à une hyperperméabilité de la muqueuse intestinale.
La mondialisation de l’alimentation exige de l’organisme une panoplie enzymatique qu’il ne possède pas toujours.
Etes-vous intolérant ? Il y a des tests pour le savoir
Difficile de le dire, car la maladie progresse lentement sans se manifester clairement au début. Mais chaque fois qu’il existe des troubles fonctionnels chroniques, surtout s’ils sont associés à des troubles digestifs, il faut penser à une possible intolérance.
Il y a plusieurs tests qui permettent de découvrir une éventuelle intolérance. Il serait trop long de les exposer en détail ici et je vous renvoie aux liens suivants qui vous permettront de faire votre choix :
- La technique Imupro 300 consiste en un prélèvement sanguin dont d’infimes quantités vont être mises en présence de 266 aliments ou additifs. Seuls les aliments courants sont pris en compte. Le prix est élevé : 490 €
- Le Cytotest de l’association Stelior teste 51 aliments et 21 additifs. C'est une forme réduite du test précédent. Son prix : 150 € auxquels il faut ajouter la cotisation à l’association (50 €).
- La méthode Immogenics est basée sur le dosage du taux sanguin en IGF1 (insulin-like growth factor 1) vis-à-vis de 115 aliments à partir d’un prélèvement de 20 ml. Cela coûte assez cher : 500 €
- La kinésiologie la biorésonance et la morathérapie partent du principe que « tout est inscrit dans le corps », le thérapeute fait donc réagir le corps à la seule évocation du nom des aliments. Seul inconvénient : le téhrapeute doit être formé aux nombreux pièges que pose le testing musculaire. Pour trouver un thérapeute, rendez-vous sur le site annuaire-therapeutes.com
Faire son propre diagnostic, mon cher Watson
Il est possible de déterminer par soi-même les aliments auxquels on est intolérant, mais cela demande une certaine discipline comme au cours de toute enquête policière.
Le premier point à observer est où, quand et à quelle fréquence surviennent les troubles post-prandiaux ?
A la maison, au restaurant d’entreprise, chez des amis ? Au petit-déjeuner, à midi ou le soir ? Si vous avez plusieurs réponses, ne conservez que celle qui est reliée aux troubles les plus pénibles pour vous. Par exemple, tous les matins au petit-déjeuner.
Dans un second temps, décrivez de façon la plus précise possible, ce qui vous fait souffrir.
Par exemple : « J’ai peine à terminer mes tartines, je suis prise d’une extrême lassitude, je ne me sens pas bien dans mon corps sans que je puisse bien dire ce qui ne va pas, je me sens lourde. Si je ne vais pas me laver de suite, je vais me recoucher et je me rendors, cela m’invalide beaucoup dans mon travail ! »
Troisième étape : Que mangez-vous et que buvez-vous habituellement ?
Ex : « Deux tartines d’un pain semi complet que je recouvre d’une margarine diététique. Quelquefois de confiture d’oranges amères, mais c’est rare. Je bois un demi bol de thé noir parfumé à la bergamote ou de tisane, agrumes le plus souvent. »
Quatrième temps :« De ces aliments, lequel ou lesquels sont les plus connus pour être responsables d’intolérance alimentaire ? »
Dans notre exemple, le pain qui contient du gluten. Dans ce cas, il faut prendre limiter le prochain petit déjeuner aux deux tartines habituelles et ne boire que de l’eau en accompagnement. Si les symptômes apparaissent comme tous les jours, l’étau se resserre !
Cinquième temps, vérification par le contraire.
Dans l'exemple choisi, le malade doit acheter pour le lendemain matin, soit un pain sans gluten, soit un pain de châtaigne. Et de ne boire que de l’eau comme la veille. Là, enfin tout se passe bien. L’intolérance au pain et probablement au gluten est quasiment certaine.
Sixième temps, adoption d’un régime d'exclusion de l'aliment à tous les repas.
La confirmation est alors apportée. Dans notre exemple, quand le patient mange chez lui, il ne présente plus aucune gêne, il est efficace dans son travail dès la fin du petit-déjeuner ; par contre, quand il lui arrive de manger une quiche ou pizza quand il est invité, les troubles réapparaissent immédiatement.
Nous venons de relater une enquête facile. Le plus souvent, la solution est bien moins évidente, malheureusement.
Se soigner naturellement : le protocole universel
Quelle que soit l’intolérance alimentaire, éliminer l’aliment pathogène de son alimentation est parfois insuffisant. Pour accélérer la rémission, certains compléments alimentaires peuvent être nécessaires. Voici notre protocole :
Six mois d’éviction... c'est long mais nécessaire
La prise de compléments alimentaires ne dispense pas d’un régime d’éviction stricte des aliments incriminés. Cette éviction devra durer pendant un minimum de trois à six mois, voire plus si l’intolérance diagnostiquée est sévère ou s’il s’agit d’une intolérance au gluten ou aux sulfites.
Exclure les aliments étrangers... finis les fruits exotiques
De nombreux thérapeutes recommandent l’exclusion des aliments originaires d’autres climats : pamplemousse, noix de cajou, noix du Brésil, kiwi, fruits tropicaux… Même s’ils ne paraissent pas être les responsables directs de l’intolérance.
Traiter l’hyperperméabilité intestinale... le plus urgent
La prise en compte de l’hyperperméabilité intestinale est essentielle. Tant que la muqueuse est en état inflammatoire, il n'y a aucune chance que l'intolérance cesse.
On peut pratiquer le régime hypotoxique du Dr Seignalet (pas de produits laitiers, pas de céréales modernes, pas de sucre raffiné, pas de produits cuits à plus de 110°, pas d'acides gras saturés). Le régime Seignalet pourra alors être progressivement élargi afin d’éviter l’installation d’un stress chronique psychologique, facteur de rechute.
Le régime Seignalet est malheureusement difficile à suivre et nécessite de nombreuses privations. Ainsi, les malades le pratiquent avec plus ou moins de sérieux. C'est pourquoi, il est essentiel de compléter ce régime en prenant des probiotiques et du Boswellia serrata. Cela accélèrera grandement la restauration de l'intégrité de la muqueuse intestinale.
Les probiotiques associés aux prébiotiques vont réensemencer l'intestion avec de bonnes bactéries qui vont lutter contre les bactéries nocives (candida albicans).
Boswellia Serrata est le nom scientifique d’un arbre de taille moyenne qui pousse dans des régions arides vallonnées de l’Inde. Son principal usage est celui d’agent anti-inflammatoire. L'extrait de Boswellia contient des huiles essentielles, de la gomme et des terpénoïdes.Parmi ces derniers, l’acide boswellique dont on a montré qu'il a des propriétés anti-inflammatoires, proches de celles des AINS utilisés dans le traitement des maladies inflammatoires.
Avec l'association probiotiques + Boswellia, l’amélioration significative de la symptomatologie digestive sera obtenue en moins de deux mois.
Se désintoxiquer... pour traiter le fond
Le traitement d’une éventuelle intoxication, notamment aux métaux lourds, est souvent nécessaire. Plusieurs algues et plantes existent et donnent de bons résultats (Laminaria japonica, chlorella, ail des ours, coriandre). Il y a également des compléments alimentaires très efficaces (voir l'article de principes-de-sante.com)
Lutter contre le candida albicans... un hôte indésirable
Lutter contre le candida albicans passe par :
Un régime sans sucres, y compris miel, fruits, carottes cuites et pommes de terre.
L’éviction de toute autre source de champignons (pain au levain ou à la levure).
Certains auteurs rajoutent l’exclusion des produits laitiers ou des céréales…
Il existe aussi des traitements naturels contre le candida albicans qui ont pour nom : Candi Clean, Chlorophyllum, Mycotival.
Lutter contre les radicaux libres... tant qu'il y a des symptômes
La lutte antiradicalaire par la prise de complexes antioxydants doit se prolonger tant que les symptômes persistent.
Lutter contre le stress... sinon l'inflammation persiste
Le stress chronique diminue les réserves en magnésium et ainsi abaisse le seuil de tolérance à la douleur physique et à la souffrance morale, ce qui favorise la reprise du processus inflammatoire. Un cure de malate de magnésium permet souvent de remédier à ce problème.
Un mauvais cap à passer... la troisième semaine !
Le traitement, associé au régime alimentaire expose, au cours de la 3e semaine, au moment de l’élimination en masse des levures par sous-alimentation, à un passage particulièrement pénible, dû à la libération des constituants intracellulaires des levures, notamment protéiques, qui se comportent, dès lors, en antigènes à l’origine de réactions immunitaires. Les signes sont variés : baisse du tonus physique, parfois tendance à la dépression, perte de l’appétit, écœurement facile, teint terne, peau sèche, cheveux atones…
Il est tout à fait possible de réduire, si ce n’est de prévenir cette réaction :
- En relançant la production d’énergie d’une part (Coenzyme Q10 à raison de 200 mg par jour)
- En prévenant les réactions inflammatoires induites par la décharge antigénique (Quercétine à raison de 600 mg par jour).
- En luttant contre les radicaux libres par la prise de complexes anti-oxydants : gluthation réduit ou autre
Ainsi, si vous souffrez d'intolérances, n'écoutez pas ceux qui vous disent qu'il n'y a pas grand chose à faire et que vous aurez à supporter pendant toute votre vie les conséquences de votre intolérances. Si vous êtes dans ce cas, j'espère que cette Newsletter vous aura permis de reprendre confiance.
Pour aller plus loin dans la connaissance de cette affection, je vous recommande de lire le récent ouvrage du Dr Jean-Pierre Willem "Intolérances alimentaires, je ne veux plus être malade". CE livre vous propose d'engager le processus de guérison, par la compréhension, d'abord, mais aussi avec des conseils thérapeutiques complets. Un message d'espoir pour tous les malades qui pensaient qu'il n'en avaient aucun.
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