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Τρίτη 15 Νοεμβρίου 2011


« Sauvons nos abeilles : un combat à l'importance sous-estimée » - Françoise Grossetête (UMP,PPE, F)
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MELIA Michele michele.melia@europarl.europa.eu
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15/11/2011 - « Sauvons nos abeilles : un combat à l'importance sous-estimée » -  Françoise Grossetête (UMP,PPE, F)


À l'occasion du vote par le Parlement européen d'un rapport portant sur la santé des abeilles, la députée européenne Françoise Grossetête a souligné l'importance du rôle joué par les abeilles dans notre agriculture et notre environnement, et a souhaité apporter son soutien aux apiculteurs qui font actuellement face à de difficiles défis.

Elle a déclaré : « L'apiculture joue un rôle crucial dans nos zones rurales et fournit un service important à l’écosystème grâce à la pollinisation, qui contribue à maintenir la biodiversité. » En effet, on estime actuellement que 84% des espèces de plantes et 76% de la production alimentaire en Europe dépendent de la pollinisation par les abeilles, pour une valeur économique estimée à 15 milliards d'euros par an dans l'UE.

« Or, les abeilles sont en grave danger, a-t-elle poursuivi. On a relevé ces dernières années un important recul du nombre de colonies d’abeilles, ainsi que leur mauvaise santé générale. De nombreux facteurs interagissent et leurs effets sont démultipliés : nouvelles maladies, acariens parasites Varroa destructor, manque de nectar et de pollen, éventuelles interactions phytosanitaires... Mais si les abeilles disparaissaient, c'est notre chaîne alimentaire tout entière qui serait menacée. »

« Nous devons absolument aider nos apiculteurs à protéger leurs ruches. Pour mieux comprendre ces phénomènes, il nous faut disposer de meilleures informations et de statistiques fiables, par le biais d'une surveillance pan-européenne. C'est pourquoi je me félicite des mesures promues par le Parlement européen. Nous devons par exemple permettre un développement plus aisé de nouveaux médicaments vétérinaires qui leur soient spécialement dédiés. Tout ceci doit appartenir à une logique de longue haleine.»

Elle a conclu : « J'avais déposé des amendements afin de souligner ces points, et je suis heureuse de constater que nous avons été entendus. »



15 novembre 2011
LONDRES
Une dure tâche attend les nouveaux Premiers ministres grec Lucas Papadémos et italien Mario Monti et le gouverneur de la BCE Mario Draghi.
Une dure tâche attend les nouveaux Premiers ministres grec Lucas Papadémos et italien Mario Monti et le gouverneur de la BCE Mario Draghi.
L’arrivée des experts au pouvoir en Grèce et en Italie va peut-être tempérer la fébrilité des marchés, mais elle risque également de préparer le terrain aux partis populistes, prompts à dénoncer le défaut de démocratie au cœur de l’UE et le pouvoir des élites.
La nomination de technocrates à la tête des gouvernements en Grèce et en Italie n’a pas fait que des heureux. Certains se plaignent que, puisque ni Lucas Papademos ni Mario Monti n’ont été élus, leur prise de fonctions ne fait que confirmer la nature élitiste et non démocratique du projet européen.
C’est peut-être le cas. Mais les technocrates n’ont pas que des défauts en ces temps de tourmente financière. Ils sont tout à fait à l’aise dans le monde des courbes de rendement et obligations adossées à des actifs. Ils comprennent les pays étrangers, ainsi que les marchés. Si vous entrez dans leurs bureaux, il est peu probable qu’ils vous réclament des pots-de-vin ou qu’ils vous pincent les fesses. Et comme on part du principe qu’ils ne veulent pas faire carrière à long terme dans la politique, ils pourraient s’avérer capables de prendre des décisions difficiles.

Des carrières chez Goldman Sachs

Les technocrates ont tendance à afficher des parcours étonnamment semblables. Comparons les curriculums vitæ de MM. Monti, Papademos et Mario Draghi, qui vient d’être placé aux commandes de la Banque Centrale Européenne. Tous trois sont des économistes formés aux Etats-Unis. Tous trois ont occupé des postes à responsabilité dans la bureaucratie de l’Union Européenne.
Monti et Draghi ont l’un et l’autre travaillé chez Goldman Sachs. Des carrières qui ne peuvent que satisfaire les marchés et ulcérer les antimondialistes. Or, l’Europe, et avec elle le monde, a toutes les raisons d’espérer que MM. Monti et Papademos accomplissent des miracles. Car si les technocrates n’y parviennent pas, les extrémistes, eux, rongent leur frein en coulisses.
En Grèce, près d’un quart de l’électorat se dit désormais en faveur de formations de l’extrême gauche, et ils sont en outre 8 % à soutenir la droite nationaliste. Collectivement, les extrêmes politiques du pays rassemblent aujourd’hui davantage de voix que l’un ou l’autre des deux grands partis traditionnels.
Après la démission forcée de Silvio Berlusconi, la confusion va probablement régner pendant un moment dans la politique italienne. Mais le pays a accouché par le passé de puissants mouvements communistes et d’extrême droite. Pendant ce temps, Umberto Bossi, de la Ligue du Nord, s’affirme ravi de rentrer dans l’opposition – d’où il pourra invectiver contre l’UE, les immigrés et les Italiens du Sud.

La radicalisation de la politique

Cette radicalisation de la politique est aussi perceptible dans les pays créditeurs de l’Europe que chez les débiteurs. Marine Le Pen, du Front National d’extrême droite, aura un impact considérable sur la présidentielle de 2012 en France, même s’il est peu vraisemblable qu’elle l’emporte. Aux Pays-Bas, le gouvernement s’appuie aujourd’hui sur les voix du Parti pour la Liberté de Geert Wilders, en deuxième position dans les sondages. En Autriche, le Parti de la Liberté talonne le Parti populaire au pouvoir. En Finlande, les Finlandais [ex-Vrais Finlandais], formation nationaliste, continuent de gagner du terrain et sont largement crédités de plus de 20 % dans les sondages.
Tous ces partis progressent en s’emportant contre les "élites", qu’elles se trouvent à Bruxelles, Wall Street ou dans leurs propres gouvernements. Ils sont hostiles à la mondialisation et à l’immigration, surtout en provenance des pays musulmans. Une frange de l’extrême droite européenne, comme Jobbik en Hongrie, jouent encore sur l’antisémitisme traditionnel. D’autres, en revanche, comme Wilders aux Pays-Bas, sont franchement pro-israéliens, peut-être parce qu’ils considèrent l’Etat hébreu comme un allié dans un choc des civilisations avec l’islam.
Toutefois, les populistes d’Europe s’efforcent de plus en plus de s’arracher au ghetto électoral de l’hostilité à l’immigration. Au lieu de cela, ils mettent en avant des thèmes économiques et eurosceptiques qui séduisent un public plus important. L’UE suscite en effet chez tous ces partis populistes un profond scepticisme, et ils lui reprochent de favoriser la plupart des choses qu’ils exècrent : le multiculturalisme, le capitalisme international, l’érosion des frontières nationales et la disparition des devises nationales.
Marine Le Pen fait campagne pour sortir la France de l’euro, imposer des barrières douanières et revenir sur les accords de Schengen et la libre circulation des personnes dans l’UE. Wilders, dont le principal cheval de bataille était autrefois l’anti-islamisme, vient d’annoncer qu’il étudiait la possibilité que les Pays-Bas abandonnent l’euro pour renouer avec le florin. D’après les sondages, une majorité de Néerlandais regretterait aujourd’hui l’entrée dans la monnaie unique.

Les électeurs attirés par les partis extrémistes

Pour l’heure, dans toute l’Europe, aucun parti d’extrême droite ou d’extrême gauche ne semble près de prendre le pouvoir par les urnes. En règle générale, les partis classiques restent capables de faire front pour repousser les extrémistes. Mais ce serait commettre une grave erreur que de vouloir les ignorer. Ces groupes sont d’ores et déjà assez puissants pour exercer une grande influence sur le débat public.
Dans les pays créditeurs comme la Finlande, les Pays-Bas et la Slovaquie, des représentants de la classe politique traditionnelle disent que dans le sillage du renflouement de la Grèce, ils ne peuvent clairement pas approuver une nouvelle série de prêts, destinés cette fois à l’Italie – leurs électeurs se révolteraient et se tourneraient vers les extrémistes. En France, le Front National a sans conteste entraîné un basculement à droite dans les débats sur l’immigration et la politique économique.
Tout cela se déroule dans une situation économique certes mauvaise, mais pas encore catastrophique. Imaginez cependant à quoi ressemblerait le paysage politique européen si les banques commençaient à s’effondrer, si les gens perdaient leur épargne et leurs emplois, et que l’on assistait à une nouvelle récession cinglante. A ce stade, les électeurs auraient sans doute perdu tout espoir et toute illusion, au point d’être beaucoup plus nombreux à se tourner vers les partis extrémistes.
Donc, tout dépend en grande partie de la capacité des technocrates à stabiliser leurs économies nationales, calmer les marchés obligataires et empêcher une autre crise financière et une dissolution chaotique de l’euro. L’ennui, c’est que si MM. Monti, Papademos et Draghi sont des gens fort capables, ils n’ont rien de thaumaturges. Le danger, c’est que la situation en Europe est peut-être aujourd’hui si catastrophique que même les plus brillants et les plus rigoureux des technocrates ne pourront y changer quoi que ce soit.

OPINION

L’idéologie des technocrates, c’est l’austérité

"La seule chose sur laquelle tout le monde est d’accord, c’est que nous sommes dans la phase politique de la crise et économique et que la technocratie s’installe"écrit dans El País l’éditorialiste Joaquín Estefanía, au lendemain de la désignation de l’ancien commissaire européen Mario Monti et de l’ancien banquier central Lucas Papademos respectivement à la tête du gouvernement italien et grec.
Les technocrates ne sont pas des purs esprits, mais comme les politiques auxquels ils se substituent et les autres citoyens, ils ont leur idéologie et ils arrivent au pouvoir pour appliquer une politique économique précise : celle qu’a dictée Mme Merkel avec le soutien aveugle de M.Sarkozy et qui consiste en de fortes doses d’austérité pour les pays du Sud en échange du sauvetage de la zone euro […]. La crise dit aux perdants "nous sommes sincèrement désolés pour ce qui vous est arrivé, mais les lois de l’économie sont impitoyables et il faut que vous vous y adaptiez, en réduisant les protections dont vous bénéficiez. Si vous souhaitez vous enrichir, il faudra d’abord accepter plus de précarité ; tel est le chemin que vous mènera vers l’avenir”.

SANTÉ

Le gendarme des aliments trop laxiste

15 novembre 2011
MUNICH
Chuck Keeler
L’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) décide de ce qui est autorisé dans nos assiettes. Censée protéger les consommateurs, elle est aujourd'hui de plus en plus contestée en raison des liens étroits qu'elle entretient avec l'industrie agro-alimentaire.
L’EFSA est censée protéger les consommateurs, c’est sa mission. Ses représentants, dont la tâche est d’autoriser en toute indépendance la mise sur le marché de nouveaux produits, travaillent pourtant en étroite collaboration avec l’industrie agro-alimentaire.
Le président du groupe scientifique de l’EFSA, Albert Flynn, est personnellement employé par le géant américain Kraft. Jiri Ruprich, membre du conseil d’administration de l’EFSA, était également employée jusqu’en mars 2011 par Danone en République tchèque. Enfin, Carlo Agostini, membre du groupe de travail de l’EFSA, est régulièrement rétribué par des sociétés comme Nestlé, Danone, Heinz, Hipp, Humana et Mead Johnson à titre de conférencier.

Des règles trop souples

Voilà qui a de quoi inquiéter car c’est cette institution qui décide de ce qui peut ou non atterrir dans l’assiette des consommateurs européens. Avec ses 450 employés, l’autorité de contrôle installée à Parme, en Italie, constitue le pilier du dispositif de sécurité alimentaire européen et dispose d’un budget de 73 millions d’euros.
On reproche aujourd’hui à l’EFSA de ne pas lutter assez efficacement contre les conflits d’intérêts, et ce en dépit de nombreux scandales. "Il n’est pas acceptable de laisser des représentants d’un secteur industriel entrer au sein même de l’organisme chargé du contrôle de leurs produits", s’insurge Timo Lange, responsable de LobbyControl. Le principal obstacle à toute réforme tient toutefois à une disposition européenne : les membres de l’EFSA ne sont pas formellement interdits d’exercer une activité pour l’industrie agro-alimentaire du moment qu’ils la déclarent.
L’exemple de l’Irlandais Albert Flynn, responsable du groupe scientifique sur les produits diététiques, la nutrition et les allergies montre toute l’ambiguité de ces relations. Le 21 juillet dernier, le comité placé sous sa direction a annoncé une décision particulièrement délicate concernant l’autorisation de mise sur le marché d’un produit de Kraft Foods Europe. L’autorité européenne ne s’est visiblement pas émue de la double casquette de ce scientifique également employé par Kraft.

Des enjeux considérables en terme d'argent

La commission présidée par Flynn est entièrement allée dans le sens de Kraft. Son produit à base de céréales à hauteur teneur en amidon à digestion lente a reçu la bénédiction des scientifiques. D’après le fabricant, ce produit est censé limiter le niveau de sucre dans le sang après un repas, ce qui est un avantage pour les personnes souffrant de diabète. A l’origine de ce jugement se trouve une disposition européenne sur la vérification des allégations santé de certains produits alimentaires, en vigueur depuis 2007. Tous les produits se targuant d’apporter un bénéfice pour la santé des consommateurs doivent faire l’objet d’un examen scientifique, et c’est l’EFSA qui s’en charge.
Pour les fabricants, cette question recouvre des enjeux considérables en terme d’argent et de parts de marché. Les allégations santé constituent un argument de vente parfait.
L’EFSA n’a pas seulement des liens étroits avec les fabriquants mais aussi avec des organisations proches des milieux industriels. Ainsi, Albert Flynn est également membre du comité scientifique du groupe de pression International Life Sciences Institute Europe où l’on retrouve également des entreprises comme Monsanto, Coca-Cola, Nestlé, Unilever, Danone, Bayer et Kraft. Plusieurs experts de l’EFSA occupent même des fonctions au sein de cet institut inscrit sur la liste noire de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Sur son site Internet, l’EFSA indique que ses activités respectent les valeurs fondamentales "d’indépendance, de transparence et de réactivité". Il serait temps de les appliquer.

ENQUÊTES

Pantouflage et conflits d'intérêts

Pantouflage et conflits d'intérêts
"Les autorités sanitaires européennes en accusation", titre en Une Le Monde. Le quotidien français rapporte les soupçons de conflits d'intérêts qui pèsent sur l'Agence européenne du médicament (AEM) et l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA).
L'AEM est notamment pointée du doigt pour la lenteur avec laquelle elle a retiré du marché le médicament Mediator, qui aurait provoqué la mort de quelque 2000 personnes en France, malgré des alertes parvenues à l'autorité dès 1998. Les experts de l'AEM sont également soupçonnés par plusieurs associations de consommateurs de conflit d'intérêts.Ainsi son ex-directeur, Thomas Lönngren qui s'est reconverti dans des activités de conseil au bénéfice de l'industrie pharmaceutique depuis le 1er janvier 2011. 
L'EFSA, pour sa part, vient notamment d'être une nouvelle fois mise en causepar l'Observatoire européen des entreprises (CEO) : Alors que fin octobre, l'entreprise allemande BASF a annoncé le dépôt d'une demande d'autorisation de culture et de commercialisation de sa nouvelle pomme de terre transgénique baptisée Fortuna, l'ONG dont l'objectif est de révéler le pouvoir des lobbies au sein de l'UEremet en cause l'intégrité du processus d'autorisation de la pomme de terre transgénique Amflora, également produite par BASF, autorisée en mars 2010 en Europe. Selon une enquête menée par le CEO, 12 des 21 membres du groupe d'experts de l'EFSA, qui a donné en juin 2009 un avis favorable à l'Amflora, étaient alors en situation de conflit d'intérêts :
Dans les années ou les mois ayant précédé leur avis sur l'Amflora, les douze chercheurs en question ont temporairement exercé des fonctions de consultant pour des entreprises agrochimiques ou ont été impliqués dans des trvaux scientifiques financés par des industirels ayant manifesté leur intérêt pour les OGM(…)En particulier, huit d'entre eux ont été associés à l'International Life Science Institute (ILSI), [voir l'article ci-dessus] une organisation internationale à but non lucratif fondée en 1978 par Heinz, Coca-Cola, Pepsi, Procter &Gamble et Kraft et rejointe depuis par des dizaines d'entreprises du monde de la nutrition, de l'agrochimie ou encore de la pharmacie.

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Song for the Unification of Europe


The finale of the 1993 french film 'Bleu' directed by Krzysztof Kieślowski. 
 ·  ·  · Il y a 43 minutes
  • Vous aimez.
    • Victor Monsan 
      Lyrics:
      Ean tes gloses ton anthropon lalo ke ton angelon
      agapin de mi eho, gegona halkos ihon i cymbalon alalazon.
      Ke ean eho profitian ke ido ta mystiria panta
      oste ori methistanin,agapin de mi eho
      ...Afficher la suite
      Il y a 42 minutes ·  ·  1
    • Victor Monsan but the greatest of these is love=mizon de touton i agapi.
      Il y a 40 minutes ·  ·  1
    • Victor Monsan Three Colours - Blue. Song for the Unification of Europe, in Classical Greek.

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Πολύτιμη επικονίαση

Μέτρα για τη σωτηρία των μελισσών ζητά το Ευρωπαϊκό Κοινοβούλιο

ΔΗΜΟΣΙΕΥΘΗΚΕ: Τρίτη 15 Νοεμβρίου 2011
Με τους πληθυσμούς των μελισσών να μειώνονται μυστηριωδώς σε πολλές χώρες, το Ευρωπαϊκό Κοινοβούλιο εξέδωσε ψήφισμα για τη λήψη μέτρων, επισημαίνοντας ότι οι μέλισσες επικονιάζουν πολλά από τα καλλιεργήσιμα φυτά και έχουν τεράστια οικονομική αξία.

Το ψήφισμα, που υιοθετήθηκε από την Ολομέλεια με 534 ψήφους υπέρ και 16 κατά, υπενθυμίζει ότι το 84% των φυτικών ειδών και το 76% της παραγωγής τροφίμων στην Ευρώπη εξαρτάται από την επικονίαση των μελισσών. Άμεσα ή έμμεσα, η μελισσοκομία παρέχει σε περισσότερους από 600.000 Ευρωπαίους, τονίζει το κείμενο.

«Η επικονίαση είναι δημόσιο αγαθό με οφέλη για τον ευρωπαϊκό αγροτικό τομέα και μπορεί να διατηρηθεί μόνο μέσω κοινής ευρωπαϊκής δράσης» δήλωσε ο συντάκτης της έκθεσης, Ούγγρος σοσιαλιστής Κσάμπα Σάντορ.

Το Ευρωκοινοβούλιο καλεί την Κομισιόν να προωθήσει τη σύσταση εθνικών συστημάτων παρακολούθησης και να αναπτύξει εναρμονισμένα πρότυπα που θα επιτρέπουν τη σύγκριση των δεδομένων από τις χώρες-μέλη.

Παράλληλα, τονίζεται στο Ψήφισμα, οι χώρες της ΕΕ χρειάζεται να ενισχύσουν και να συντονίσουν τις ερευνητικές τους προσπάθειες και να μοιραστούν τα επιμέρους ευρήματα.

Στις περισσότερες Δυτικές χώρες οι πληθυσμοί των μελισσών μειώνονται ανεξήγητα τα τελευταία χρόνια. Στην Ελλάδα το πρόβλημα έχει αποδοθεί στην ασθένεια της νοζεμίασης.  Σε άλλες χώρες και ιδιαίτερα στις ΗΠΑ, όπου το ένα τρίτο των μελισσών είχε εξαφανιστεί το 2008, οι εντομολόγοι αποδίδουν τη μείωση στο μυστηριώδες «σύνδρομο κατάρρευσης αποικίας» (CCS).

Το σύνδρομο αυτό δείχνει να οφείλεται σε έναν συνδυασμό μόλυνσης από ιούς και άλλων παραγόντων. Δεδομένου όμως ότι ακόμα δεν υπάρχει κοινά αποδεκτή αιτία, η αντιμετώπιση του φαινομένου είναι εξαιρετικά δύσκολη.

Πρώτο ΘΕΜΑ online : Πόσοι είναι οι άνεργοι τελικά; - Οικονομία

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Σύμφωνα με το λεξικό του Μπαμπινιώτη «φασισμός» είναι «…οποιαδήποτε δεξιά δικτατορική ιδεολογία ή πολιτικό σύστημα όπου κυριαρχεί η απόλυτη υποταγή των μαζών στον ηγέτη, του ατόμου στον κρατικό μηχανισμό και ενδεχομένως περιλαμβάνει στοιχεία μιλιταρισμού, ρατσισμού, εθνικισμού κ.ά όπως στη χιτλερική Γερμανία» και αντίστοιχα «φασίστας» είναι «ο οπαδός του φασισμού».
Voir la traduction
www.tsantiri.gr
Δεν πιστεύω να είστε από εκείνους που τους ενοχλεί η λέξη φασίστας. Που δυσκολεύονται να την προφέρουν γιατί τη θεωρούν passé, ντεμοντέ, όχι πολιτικά ορθή
 ·  ·  · Il y a 33 minutes · 
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    • Dimitris Soulis ολοι αυτοι που χωρανε σε ταμπελες ,κατα την γνωμη μου ειναι δτχασμενες προσωπικοτητες.υπαρχουν οι καλοι ανθρωποι και οι κακοι αυτο ειναι ολο. τωρα για τον καρατζαφερη και την περεα του τι να πω....ακομα και οι φασιστες θα τους ειχαν παρει στο κυνηγι.
      Il y a 21 minutes · 
    • Natalia Serova κυβερνηση μας? Τοτε γιατι ''και'' - διαφέρουν?
      Il y a 18 minutes · 
    • Victor Monsan Ο φασισμος ειναι τροπος σκεπτεσθσαι, ζωης και μπορει να ειναι μαυρος,γαλαζιος,πρασινος και κοκκινος.Ετσι για ν'αφησουμε τους ευκολους αφορισμους και να μην δινουμε δημοκρατικα γαλονια εκει που δεν πρεπει.
      Il y a 3 minutes ·