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Σάββατο 22 Οκτωβρίου 2011

Πρώτο ΘΕΜΑ online : «Βλέπει» λύση η Μέρκελ, απαισιόδοξος ο Νταλάρα - Οικονομία

Πρώτο ΘΕΜΑ online : «Βλέπει» λύση η Μέρκελ, απαισιόδοξος ο Νταλάρα - Οικονομία

«Θέλουμε όλες τις χώρες στο ευρώ»

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Σαφές το μήνυμα της Μέρκελ κατά του ενδεχομένου εξόδου της Ελλάδας

Ένα σαφές μήνυμα, ότι δεν τίθεται θέμα εξόδου από την Ευρωζώνη υπερχρεωμένων χωρών, όπως η Ελλάδα, έστειλε η Γερμανίδα καγκελάριος Άνγκελα Μέρκελ, προειδοποιώντας πως εάν απορριφθούν οι αλλαγές στις ευρωπαϊκές συνθήκες μπορεί να καταστραφεί η εμπιστοσύνη στην ικανότητα της Ευρώπης να δράσει.

Στη συνέχεια πρόσθεσε πως η Ευρώπη χρειάζεται μεγαλύτερη ενοποίηση, διαφορετικά ο κόσμος «δεν θα πιστέψει την αποφασιστικότητά μας να προστατέψουμε το ευρώ».

Πυλώνας της ενοποιημένης πολιτικής, όπως χαρακτηριστικά δήλωσε η Άγκελα Μέρκελ, θα είναι μία μεγαλύτερη πανευρωπαϊκή επιτήρηση των εθνικών προϋπολογισμών.

Η ίδια διευκρίνισε ότι η αλληλεγγύη στην Ελλάδα, την Πορτογαλία και την Ιρλανδία είναι εξίσου σημαντικό ζήτημα, με την Ελλάδα να αποτελεί ιδιάζουσα περίπτωση που απαιτεί τη συνδρομή και των ιδιωτών για την επαρκή επίλυση του προβλήματος.

«Θέλουμε την Ευρώπη και το ευρώ με όλες τις χώρες που χρησιμοποιούν το ευρώ σήμερα». Η καγκελάριος της Γερμανίας δήλωσε επίσης πως η Ισπανία έχει κάνει πολλά για να αντιμετωπίσει την κρίση χρέους, όμως μάλλον θα χρειαστεί να κάνει περισσότερα, για να ανακτήσει την εμπιστοσύνη των αγορών.

OIKONOMIA

Γερμανός ΥΠΕΞ: Συμφωνία για αλλαγή της Συνθήκης της Ε.Ε.

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Επετεύχθη γενική συμφωνία για την αλλαγή της Συνθήκης της Ε.Ε., σύμφωνα τον Γερμανό υπουργό Εξωτερικών, Guido Westerwelle.


Ο Westerwelle παραδέχτηκε πως "μερικές" χώρες δεν ενθουσιάστηκαν με την πρόταση της Γερμανίας να ενισχυθούν οι κανόνες της Ε.Ε. για τα δημόσια οικονομικά των χωρών. Η Γερμανία ωστόσο θα συνεχίσει να προωθεί την πρόταση αυτή. Υπενθυμίζεται ότι πολύ πρόσφατα η Γερμανίδα Καγκελάριος, Angela Merkel είχε δηλώσει χαρακτηριστικά πως η αλλαγή της Συνθήκης δεν είναι ταμπού.


Ο υπουργός πρόσθεσε ότι δεν είναι αρκετές οι ενέργειες που αφορούν απλά την αντιμετώπιση της τρέχουσας κρίσης, αλλά πάνω από όλα "πρέπει να δοθεί μια πολιτική απάντηση" για το πώς θα αλλάξουν οι κανόνες ούτως ώστε να αποφευχθεί μία νέα κρίση.



Πηγή:www.capital.gr

ΣΚΑΪ Player TV LIVE — ΣΚΑΪ (www.skai.gr)

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Βεστερβέλε: Αυστηρότερες κυρώσεις για τους «άσωτους» — ΣΚΑΪ (www.skai.gr)

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Σημάδα σήψης στην «ισχυρή» Τουρκία - Newsbomb.gr

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Αντ. Σαμαράς: Κρύβει κινδύνους το «κούρεμα» - Newsbomb.gr

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Πρώτο ΘΕΜΑ online : Μέρκελ: «Θέλουμε όλες τις χώρες στο ευρώ» - Οικονομία

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Το 37% των επιδομάτων πρόνοιας της Δωδεκανήσου εισπράττει η Κάλυμνος

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FT: 60% «κούρεμα» συζητούν οι πιστωτές σύμφωνα με απόρρητη έκθεση — ΣΚΑΪ (www.skai.gr)

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Crise: l'introuvable accord franco-allemand

A quelques jours de sommets décisifs pour le règlement de la crise des dettes, Paris et Berlin campent sur des positions incompatibles quant au renforcement du Fonds de stabilité financière européen.

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Angela Merkel et Nicolas Sarkozy, le 7 mai 2010, à Bruxelles. (© AFP Michel Euler)
Les divergences entre Paris et Berlin ont persisté vendredi sur les solutions à apporter pour éviter une contagion de la crise de la dette en zone euro via un renforcement de son Fonds de secours de la zone euro, assombrissant une réunion des ministres des Finances de l'Union monétaire à Bruxelles.
Les deux capitales sont engagées depuis plusieurs jours dans un bras de fer sur le meilleur moyen d'accroître la force de frappe du Fonds (FESF), un instrument essentiel à l'Union monétaire pour espérer empêcher une contagion de la crise de la dette à des pays comme l'Espagne et l'Italie, dans le viseur des marchés.

La France pour transformer le FESF en banque

La France continue de défendre des solutions impliquant la Banque centrale européenne (BCE), malgré l'opposition de l'Allemagne et de l'institut monétaire de Francfort lui-même, a affirmé vendredi un diplomate européen à l'AFP.
Selon Paris, la meilleure solution pour endiguer la propagation de la crise, surtout après une future restructuration de la dette grecque, consiste à faire en sorte que la BCE continue comme elle le fait depuis des mois à racheter des obligations d'Etats fragiles sur le marché secondaire, a expliqué cette source à l'AFP.
Or la BCE s'y refuse et cette compétence vient pour cette raison d'être transférée au Fonds européen de stabilité financière (FESF).
Si, in fine, c'est bien le FESF qui devra racheter la dette des Etats fragiles, il faudra le renforcer et, là aussi, la France continue, selon cette source, de pousser des solutions impliquant la BCE: transformer le fonds de secours de la zone euro en établissement bancaire afin qu'il puisse emprunter auprès l'institut monétaire de Francfort.

L'Allemagne en bouclier de la BCE

A Berlin, l'opposition à cette solution qui va à l'encontre des traités européens est vive. Plusieurs hauts responsables allemands ont même assuré, depuis jeudi, qu'elle n'était plus sur la table. "Au contraire, la France continue de la défendre, il y a de grosses discussions", a expliqué le diplomate européen.
Comme en écho, le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, a rappelé la position de Berlin, en marge de la réunion avec ses homologues de la zone euro à Bruxelles.
"Il est clair qu'on s'en tient à ce qui est autorisé par le traité (de l'UE), à savoir que la Banque centrale (européenne) ne peut être utilisée", a-t-il déclaré. Il a également rappelé que Berlin n'entendait pas augmenter la capacité effective de prêts du Fonds, doté actuellement de 440 milliards d'euros.
A Berlin, le vice-chancelier allemand, Philipp Rösler, s'est lui aussi montré catégorique. "En aucun cas nous ne souhaitons qu'une licence bancaire soit donnée au FESF. C'est ce que veulent nos collègues, amis et partenaires en France. Mais c'est hors de question pour nous en tant que gouvernement, et pour la coalition (gouvernementale) tout entière", a affirmé Philipp Rösler.

Le temps presse

Ce clivage est l'une des raisons qui a contraint la zone euro à convoquer un sommet supplémentaire de ses dirigeants mercredi prochain au plus tard pour parvenir à un plan complet de réponse à la crise de la dette, après celui de dimanche initialement annoncé comme décisif.
Mercredi soir, le président français, Nicolas Sarkozy, s'est rendu en urgence à Francfort, alors que son épouse était sur le point d'accoucher, pour tenter d'aplanir les divergences avec la chancelière allemande Angela Merkel. Mais la réunion s'est mal passée.
"Tout le monde a été surpris à Francfort (mercredi soir) de la grande opposition entre la suggestion française et la suggestion allemande sur le FESF", estime un responsable européen sous couvert de l'anonymat."On s'est rendu compte, peut-être trop tard, qu'il y avait du travail à faire pour parvenir à un accord", a-t-il ajouté.
Vendredi à Bruxelles, le ministre français des Finances, François Baroin, a assuré qu'il y avait "une volonté de faire des avancées de part et d'autre".
(Source AFP)

ÉCONOMIE Aujourd'hui à 11h26 (Mis à jour à 11:38)

Grèce: lourdes pertes en vue pour les banques

Elles devront accepter une décote d’«au moins 50%» de leurs créances, contre... 21% décidé le 21 juillet, estiment les ministres des finances de la zone euro.

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Jean-Claude Juncker, président de l'eurogroupe, et Christine Lagarde, directrice générale du FMI (© AFP Georges Gobet)
Les banques créancières de la Grèce vont devoir accepter des pertes «substantielles» dans le cadre du nouveau plan de sauvetage du pays appelé à être largement remanié face à la détérioration de la situation grecque, ont prévenu samedi les ministres européens des Finances. Lors d’une réunion vendredi soir des grands argentiers de la seule zone euro, «nous nous sommes mis d’accord pour dire que nous devions avoir une augmentation substantielle de la contribution des banques» au sauvetage de la Grèce, sous forme d’une dépréciation de leurs créances, a indiqué leur chef de file, Jean-Claude Juncker.
Il a ainsi confirmé des informations qui avaient été données vendredi soir de sources diplomatiques. Selon ces sources, les ministres se sont concrètement entendus pour négocier avec les banques une décote d’«au moins 50%», contre un objectif de 21% décidé le 21 juillet avec le secteur bancaire. Ils ont ainsi entériné de facto les conclusions d’un rapport d’experts qui leur a été remis par la troïka des bailleurs des fonds de la Grèce (Europe et FMI). Le document estime qu’il faut une décote de 50 ou 60% pour espérer stabiliser la Grèce sans avoir à augmenter dans des proportions gigantesques le montant des prêts internationaux qui lui ont déjà été promis.

Le deuxième plan de sauvetage périmé...

Une «décote» est le terme financier employé à propos de la dépréciation de la valeur des prêts contractés par des créanciers, dans ce cas les banques privées et fonds d’investissements qui détiennent de la dette publique grecque. Avec une décote de 50% du secteur privé, le deuxième programme de soutien financier public promis le 21 juillet à la Grèce devrait toutefois être encore légèrement revu à la hausse avec des prêts publics (Europe et FMI) de 114 milliards d’euros, contre 109 milliards d’euros programmés à l’époque. Pour maintenir l’enveloppe de 109 milliards d’euros inchangée, il faudrait porter la décote à 60%, selon les calculs des experts.
En tout état de cause le deuxième plan de sauvetage de fin juillet, venant après le premier d’un montant de 110 milliards d’euros décidé au printemps 2010, va devoir être réaménagé. «Il est assez clair que nous avons besoin d’une décote substantielle sur la dette grecque», a aussi déclaré samedi le ministre suédois des Finances, Anders Borg à son arrivée à Bruxelles à une réunion avec ses collègues de toute l’Union européenne.
«On va maintenant travailler sur un nouveau plan grec et dans ce nouveau plan c’est vrai qu’il y a un effort substantiel de la Grèce à nouveau, il y a un effort des Etats européens et il faudra aussi un effort du secteur privé», a estimé de son côté son homologue belge, Didier Reynders. Reste à savoir si les banques, qui ont jusqu’ici traîné des pieds pour remettre au pot, accepteront un arrangement négocié ne passant pas par un défaut de paiement de la Grèce dit «désordonné», lourd de conséquences. «C’est une négociation qui s’entame», a dit Reynders.
En contrepartie de l’effort demandé sur les créances grecques, il est prévu de recapitaliser les banques européennes à hauteur de près de 100 milliards d’euros. Le sujet était samedi à l’ordre du jour de la réunion ministérielle, avant une rencontre dans la soirée entre le président français Nicolas Sarkozy et la chancelière allemande Angela Merkel puis le sommet européen de dimanche.
(Source: AFP)