Συνολικές προβολές σελίδας

Κυριακή 18 Σεπτεμβρίου 2011


MEA CULPA

DSK : "Une faute morale dont je ne suis pas fier"

Durant son intervention sur le plateau de TF1, DSK a brandi à plusieurs reprises le rapport du procureur de New York, qui avait décidé d'abandonner les charges pénales contre lui.
Durant son intervention sur le plateau de TF1, DSK a brandi à plusieurs reprises le rapport du procureur de New York, qui avait décidé d'abandonner les charges pénales contre lui. |
Au JT de 20h de TF1, dimanche soir, Dominique Strauss-Kahn a immédiatement évoqué l'affaire du Sofitel de New York. 

"Ce qui s'est passé dans la suite de l'hôtel ne comporte ni violence, ni contrainte, ni aucun acte délictueux : c'est le procureur qui le dit" [ndlr, en réalité, le rapport du procureur de New York Cyrus Vance ne dit pas exactement cela. Dans le document, il est écrit :  "Les preuves ne permettent pas de dire si l'acte a eu lieu sous contrainte et sans consentement" ]

Face à Claire Chazal, DSK a évoqué une "relation inapropriée", mais surtout "une faute morale". "Une faute morale pour ma femme, mes amis, les Français qui avaient placé en moi une espérance de changement".

"On a dit beaucoup de choses fausses, que j'avais voulu fuir, alors que mon billet pour l'Europe avait été pris depuis des jours, que j'avais déjeuné avec ma fille", a-t-il ajouté. "Le rapport du procureur dit quoi ? Ce ne sont pas mes avocats qui le disent, ce n'est pas moi. Il dit que Naffisatou Diallo a menti sur tout, elle a menti sur les faits, elle a présenté tellement de versions différentes que je ne peux plus en croire un mot, elle a menti à chaque entretien".

"Les charges ont été abandonnées, il n'y a pas lieu de poursuivre parce que les accusations sont tombées. Il n'y a pas eu de procès parce qu'il n'y avait plus aucune déclaration qui tienne. La poursuite au civil montre bien les motivations financières qui sont derrière tout cela. La procédure civile va se dérouler, je n'ai pas l'intention de négocier", explique-t-il aussi. "La procédure prendra le temps qu'il faudra", a-t-il tonné.

Regardez l'intégralité de son interview sur TF1 :
Source : TF1

Sur l'affaire Banon :
"Il n'y a eu aucune violence sur Tristane Banon, qui a présenté une version imaginaire. Mais je ne ferai pas plus de commentaires sur une procédure en cours".

Son attitude vis-à-vis des femmes :
"Je comprends que cela a pu choquer... J'ai beaucoup perdu. Ces 4 mois, j'ai beaucoup réfléchi. J'ai vu la douleur que j'ai créé autour de mo. Cette légèreté je l'ai perdue pour toujours". "J'ai du respect pour les femmes".

La justice américaine est-elle allée trop loin ? : 

"J'ai eu peur, j'ai eu très peur. Quand vous êtes pris dans les mâchoires de cette machine vous avez l'impression qu'elle peut vous broyer. J'ai eu le sentiment d'être humilié avant d'avoir pu dire un mot. J'ai beaucoup perdu".

DSK victime d'un complot ? :
"Avez-vous pensé à un piège tendu au Sofitel de New York ?", a demandé Claire Chazal. "Un piège c'est possible, un complot nous verrons...", a laissé planer le socialiste.

Sur la primaire socialiste :
"Je souhaite la victoire de la gauche. Mais ce n'est pas mon rôle de m'immiscer dans la primaire. Martine Aubry est une amie. Pendant toute cette période, elle a été très présente et j'ai été sensible à cette présence."

Sur la présidentielle 2012 :
"Oui, je voulais être candidat mais cela est évidemment derrière moi. Je souhaite la victoire de la gauche".

Dominique Strauss-Kahn, sur le plateau du 20h de TF1, dimanche soir.
Dominique Strauss-Kahn, sur le plateau du 20h de TF1, dimanche soir.

Sur la crise de la dette en Europe :
Rayer la dette de la Grèce? "C'est un peu l'idée". "Tout le monde doit prendre sa perte, les banques comme les Etats". "Il faut couper les pertes maintenant, pour pouvoir repartir de l'avant. Le problème des gouvernements européens, c'est qu'ils font soit trop peu, soit trop tard, soit trop peu trop tard".

Son avenir :
"Je vais me reposer, retrouver les miens. Toute ma vie a été consacrée à esayer d'être utile au bien public. On verra..." 

DSK dénonce "l'acharnement" de L'Express, Barbier riposte

C'est lors de son intervention sur TF1 que Dominique Strauss-Kahn en a profité pour épingler L'Express.

L'hebdomadaire, qu'il qualifie de "tabloïd", avait publié le rapport médical de Natissatou Diallo. Un rapport qui mettait largement en cause DSK, mais dont on ne connaît pas encore la véracité.

Présent sur le plateau d'ITélé pour commenter l'interview, Christophe Barbier a pu répondre à chaud : "Jamais L'Express ne s'est écarté des faits. On n'est pas tombé dans l'interprétation ou dans l'accusation avec des mots incroyables comme "Le perv" ou "le cochon", comme on l'a vu dans les vrais tabloïds".

"Le problème, ce n'est pas L'Express, c'est ce que lui [DSK] a fait", a commenté le directeur de la rédaction.


Regardez les deux interventions :



  • Des écoutes menacent l'avenir politique de Berlusconi

    Mots clés : 
    Par Richard HeuzéPublié  Réagir

    Crédits photo : © Max Rossi / Reuters/Reuters
     S'abonner au Figaro.fr

    Quelque 100.000 conversations téléphoniques s'étalent en place publique, plus scabreuses les unes que les autres. 

    «Tu m'en amènes combien ce soir?», demande Silvio Berlusconi au téléphone à Gianpaolo Tarantini. Pendant deux ans, cet entrepreneur de Bari (Pouilles), en prison depuis le 1er septembre pour incitation à la prostitution, a été le grand ordonnancier des soirées intimes du président du Conseil. Entre juillet 2008 et avril 2009, il l'a pourvu en jeunes femmes - une trentaine, mannequins, starlettes ou call-girls, de préférence de moins de 25 ans -, promettant argent et petits rôles à la télévision contre une nuit dans le lit du chef du gouvernement.
    Selon les retranscriptions des quelque 100.000 conversations téléphoniques enregistrées par la justice, Tarantini aurait sorti de sa poche 29.000 euros pour organiser au moins vingt-deux soirées. En contrepartie, il cherchait à tisser un réseau de relations pour obtenir des contrats dans l'administration publique et l'industrie, avec le groupe Finmeccanica en particulier. Berlusconi lui a fait rencontrer divers grands patrons, sans qu'il n'obtienne toutefois d'adjudications significatives.

    «Le sens de l'hospitalité»

    À ses jeunes recrues, Tarantini con­seillait de s'habiller en noir, «avec des vêtements ajustés, de profonds décolletés, des minijupes très courtes et surtout ni bas, ni talons hauts», Berlusconi étant de petite taille. À tout bout de champ, le président du Conseil le con­sultait par téléphone, s'enquérant des élues qu'il lui proposait. Il se montre pressant quand il en veut une en particulier.
    Propos libres, souvent très crus. «Ne t'en fais pas pour les bambines. Je m'en suis bien occupé. J'ai le sens de l'hospitalité», dit-il après une soirée. Une fois, il invite Tarantini à amener deux filles. «J'en ferai autant. Comme cela, on pourra les échanger. Elles doivent tourner!» À un modèle des Caraïbes, une certaine Marystell, qui s'étonne devant tant de nuits blanches, il répond: «Je fais le président du Conseil à temps partiel.» Au lendemain de la Saint-Sylvestre 2009, il appelle Tarantini pour se vanter: «J'en avais onze. Je m'en suis fait huit. Je n'en pouvais plus.»
    Devant les réactions à la publication de ces écoutes, Silvio Berlusconi se défend d'avoir «jamais rien fait dont (il) devrait avoir honte»: «Cela fait trois ans que je suis soumis à une surveillance de tous les instants, dans le but évident de forger une image grotesque de mes amitiés et de mon mode de vie. Cela constitue une intrusion inadmissible dans ma vie privée, pour la transformer en délit.»

    Le soutien de Poutine 

    De Moscou, Vladimir Poutine lui vient en aide: «On l'attaque par jalousie, parce qu'il a prouvé qu'il est un homme d'État responsable, dans tous les sens du terme.»
    Silvio Berlusconi a renoncé à se rendre cette semaine à New York, où il devait s'adresser à l'Assemblée générale des Nations unies. Lundi matin, il se présentera à Milan à l'audience d'un procès pour corruption qui traîne en longueur depuis des mois. Il n'a pas répondu, en revanche, à la convocation du parquet de Naples, qui lui avait donné jusqu'à dimanche soir pour déposer comme témoin dans une enquête sur Tarantini.
    Le parquet accuse ce dernier de l'avoir extorqué de 800.000 euros. Le président du Conseil dément avoir été soumis à un chantage et évoque un prêt à un «ami en difficulté économique».
    L'opposition enjoint Silvio Berlusconi de se démettre, mais la majorité fait bloc autour de lui. Dimanche, le secrétaire du PDL, Angelino Alfano, le mieux placé pour lui succéder, a appelé les militants à «défendre notre leader et notre histoire».
    Silvio Berlusconi affirme qu'il pourra se maintenir au pouvoir jusqu'à la fin de la législature, en 2013. «C'est peut-être un peu loin», lui répond son allié, le leader de la Ligue du Nord, Umberto Bossi. L'échéance de mars-avril 2012 lui paraît plus probable.

DSK plaide pour effacer la dette de la Grèce et critique les Européens

DSK plaide pour effacer la dette de la Grèce et critique les Européens

ΕΕΝ: Σχέδια για κοινή ένωση στην ακτοπλοΐα


Συνεχίζονται οι προσπάθειες των δύο εφοπλιστικών ενώσεων για τη δημιουργία ενός κοινού ισχυρού φορέα στο χώρο της ακτοπλοΐας, ο οποίος θα έχει καλύτερα αποτελέσματα στην αντιμετώπιση των προβλημάτων.
Σήμερα σε μια πολύωρη συνεδρίασή της, η Ένωση Επιχειρήσεων Επιβατηγού Ναυτιλίας (ΕΕΝ) κατέληξε στη συγκρότηση μιας τριμελής επιτροπής και στο σχέδιο ενός καταστατικού, με το οποίο θα πάει στις διαπραγματεύσεις με την άλλη ακτοπλοϊκή ένωση, το Σύνδεσμο Επιχειρήσεων Επιβατηγού Ναυτιλίας (ΣΕΕΝ). Η επιτροπή αποτελείται από τον πρόεδρο της ΕΕΝ Απόστολο Βεντούρη, τον αντιπρόεδρο για θέματα ακτοπλοΐας Αντώνη Αγαπητό και τον Διευθυντή Νίκο Καβαλιέρο.
Στις 11 Αυγούστου αναμένεται να συνεδριάσει η άλλη ένωση, ο Σύνδεσμος Επιχειρήσεων Επιβατηγού Ναυτιλίας (ΣΕΕΝ), του οποίου τα μέλη αναμένεται να θέσουν τις προτάσεις τους και την ατζέντα του διαλόγου, πριν από την έναρξη των τελικών συνομιλιών με την ΕΕΝ.
Πάντως, αν τελικά οι δύο ενώσεις καταφέρουν να συνενωθούν σε μία, θα είναι μια κίνηση με ιδιαίτερη σημασία, λόγω των προβλημάτων που περνά τη συγκεκριμένη περίοδο η ακτοπλοϊκή αγορά, λόγω και της οικονομικής συγκυρίας, σχολίασε ανώτερο στέλεχος ακτοπλοϊκής εταιρείας.
Σημειώνεται ότι από το 1976 έως σήμερα οι ακτοπλοϊκές εταιρείες ήταν μοιρασμένες πάντες σε δύο ενώσεις. Πρόεδρος της ΕΕΝ (Ένωση Επιβατηγού Ναυτιλίας) είναι ο Απόστολος Βεντούρης, ενώ πρόεδρος του ΣΕΕΝ (Σύνδεσμος Επιχειρήσεων Επιβατηγού Ναυτιλίας) είναι ο Μάρκος Φόρος.
Η ΕΕΝ, που έχει την πλειοψηφία των εταιρειών του κλάδου, ιδρύθηκε το 1976 με μέλη μόνο πλοία της ακτοπλοΐας. Ωστόσο, το 2010 τα μέλη της προχώρησαν σε αλλαγή του καταστατικού της Ένωσης και από τότε δέχεται όλες τις κατηγορίες των επιβατηγών πλοίων, συμπεριλαμβανομένων και των κρουαζιερόπλοιων.
Ο ΣΕΕΝ, που απέκτησε αυτό τον τίτλο το 2002 και διατηρείται έως σήμερα, ιδρύθηκε στις 15 Μαρτίου του 1921 με την επωνυμία «Πανελλήνιος Ακτοπλοϊκή Ένωση» και αντιπροσώπευε πλοία της ακτοπλοΐας. Ωστόσο, από το 1968 και μετά προστέθηκαν μέλη και σε αυτή την Ένωση πολλοί εκπρόσωποι εταιρειών κρουαζιερόπλοιων.

Τρία στα τρία έδωσε στη Wall η... Ελλάδα


Άλμα για την Ευρώπη. Συγκρατημένη άνοδος στο Χ.Α. 
Η στήριξη της Ελλάδας από τη Γαλλία και τη Γερμανία δεν άφησε ασυγκίνητη τη Wall, η οποία κατάφερε το χατ-τρικ θετικών συνεδριάσεων, καθώς μετά την παρέμβαση Ομπάμα οι Ευρωπαίοι ηγέτες έδειξαν πρόθυμοι να βάλουν μπρος για την επίλυση της ευρωπαϊκής κρίσης χρέους
Συγκεκριμένα, ο Dow Jones, έκλεισε στις 11.247 μονάδες (+1,27%), ο Nasdaq στις 2.573 (+1,58%), ενώ ο S&P 500 στις 1.189 (+1,35%).
Η διαλλακτικότητα που έδειξε σήμερα η Αυστρία σχετικά με την αύξηση του ρόλου του EFSF και της “παραίτησης” της από την απαίτηση να της δοθούν εγγυήσεις ώστε να συμμετάσχει στο δεύτερο πακέτο της Ελλάδας, σε συνδυασμό με τις δηλώσεις των Ευρωπαίων ηγετών για στήριξη υπό όρους της Ελλάδας αποτυπώθηκε στα ευρωπαϊκό ταμπλό, υπερνικώντας τις πιέσεις που δέχτηκαν οι γαλλικές τράπεζες μετά την υποβάθμιση της Societe Generale και Credit Agricole για την έκθεση τους σε ελληνικό χρέος.
Ο FTSE έκλεισε με κέρδη 1,02% στις 5.227 μονάδες, ο γαλλικός CAC βρέθηκε στο +1,87% στις 2.949 μονάδες, ενώ ο γερμανός DAX κέρδισε παρά το αυστηρό βλέμμα της S&P προς τις γερμανικές τράπεζες 3,36% στις 5.340 μονάδες.
Περίπου 25 λεπτά κράτησε η τηλεδιάσκεψη του Γ. Παπανδρέου, της Αγ. Μέρκελ και του Ν. Σαρκοζί, επιβεβαιώνοντας τη δέσμευση της ελληνικής κυβέρνησης να μείνει πιστή στην εφαρμογή του προγράμματος δημοσιονομικής προσαρμογής.
Ο Γάλλος πρόεδρος Νικολά Σαρκοζί και η Γερμανίδα καγκελάριος Άγκελα Μέρκελ δήλωσαν "πεπεισμένοι" ότι το μέλλον της Ελλάδας είναι στην ευρωζώνη, καθώς ο Έλληνας πρωθυπουργός Γιώργος Παπανδρέου τους εξέφρασε "την απόλυτη αποφασιστικότητα" της Αθήνας να τηρήσει τις δεσμεύσεις της.
Η διαμάχη εντός της ευρωζώνης για τις ελληνικές εγγυήσεις έχει αποκλιμακωθεί, στο πλαίσιο σχεδίου που θα επιτρέπει σε κάθε κράτος- μέλος να αποφασίζει το ίδιο εάν θα κάνει χρήση της δυνατότητας αυτής, είπε στο Reuters η υπουργός Οικονομικών της Αυστρίας Maria Fekter.Ερωτηθείσα εάν έχει υπάρξει πρόοδος στο θέμα των εγγυήσεων, είπε: "Κάποια πράγματα έχουν προετοιμαστεί σε τεχνικό επίπεδο. Δεν νομίζω ότι είναι πλέον εκρηκτικό".
Σε αποκλειστικές δηλώσεις της στο Reuters, η Fekter επιβεβαίωσε ότι έχει γίνει τεχνική προετοιμασία έτσι ώστε το πρόβλημα να μην είναι πλέον "εκρηκτικό". Σύμφωνα με την Αυστριακή υπουργό, η ιδέα είναι πλέον να καταστούν οι εγγυήσεις τόσο ακριβές, που μόνο η Φινλανδία θα νιώθει ότι την συμφέρει να τις ζητήσει.
"Δεν μπορεί να πρόκειται για ένα συμβατικά συμφωνηθέν προνόμιο για την Φινλανδία - θα πρέπει να είναι μια επιλογή που θα μπορεί κάθε μεμονωμένη χώρα να αποφασίζει εάν θα το χρησιμοποιήσει ή όχι".
Στα μάκρο, στάσιμος παρέμεινε ο δείκτης λιανικών πωλήσεων αλλά και τιμών παραγωγού στις ΗΠΑ τον Αύγουστο.
Στην Ευρώπη, δυσμενέστερα των προσδοκιών είναι τα στοιχεία που ανακοίνωσε η Eurostat για την βιομηχανική παραγωγή ευρωζώνης τον Ιούλιο, η οποία αυξήθηκε κατά 1%. Πάντως ο δείκτης επέστρεψε σε θετικό πρόσημο μετά το -0,8% του Ιουλίου.
X.A.

Με κέρδη 1,67% έκλεισε ο γενικός δείκτης του Χ.Α. στη συνεδρίαση της Τετάρτης, αν και νωρίτερα βρέθηκε πιο ψηλά, στις 868 μονάδες. Η αγορά, σύμφωνα με εκτιμήσεις αναλυτών, βλέπει, μετά από καιρό, κάποια αχνά σημάδια αισιοδοξίας σε πολιτικό επίπεδο.

Η κυβέρνηση, όπως αναφέρουν, φαίνεται διατεθειμένη να λάβει όλα εκείνα τα σκληρά μέτρα που θα μειώσουν το έλλειμμα και θα εξασφαλίσουν τις προϋποθέσεις χρηματοδότησης του χρέους.
Από εκεί και πέρα είναι “δουλειά' της Ευρώπης να αναλάβει τις ευθύνες της.

Η κινητικότητα αυτή, παρατηρούν χρηματιστές, σχετίζεται με την εμπλοκή των Αμερικανών του Προέδρου Ομπάμα και τη συμμετοχή του υπουργού Οικονομικών κ. Τίμοθι Γκάιτνερ στο ερχόμενο EcoFin στην Πολωνία. Δεν είναι τυχαία άλλωστε, σύμφωνα με τους ίδιους, η αλλαγή στάσης από τον Γαλλογερμανικό άξονα, με αποκορύφωμα τη δήλωση Σαρκοζί ότι θα κάνει ότι μπορεί για τη διάσωση της Ελλάδας.
Την ίδια ώρα υπάρχει αισιοδοξία για συμμετοχή κοντά στο 80% στο PSI, κάτι που προσωρινά μπορεί να επιβαρύνει τις τράπεζες, αλλά αποτελεί λύση και προκαλεί συνθήκες ηρεμίας στον κλάδο για το άμεσο μέλλον. Κατά τη σημερινή συνεδρίαση, οι συναλλαγές ανήλθαν πάνω από τα 66 εκατ. ευρώ, ιδιαίτερα σημαντικές, αν αναλογιστεί κανείς το πόσο πολύ έχουν υποχωρήσει οι τιμές των μετοχών.

Κέρδη 4,35% κατέγραψε ο τραπεζικός κλάδος και πάνω από 2% ενισχύθηκε ο ASE 20. Στα 3,15 ανέκαμψε η Εθνική με κέρδη 6,42% και όγκο 5,7 εκατ. τεμαχίων. Ανοδο 4,20% κατέγραψε η Κύπρου, στο 1,24 ευρώ και 2,94% η Marfin Popular, λόγω των τελευταίων εξελίξεων στην ελληνική κρίση χρέους και την πρωτοβουλία της Ρωσίας να αγοράσει Κυπριακό χρέος. Κατά 2,53% ενισχύθηκε η Alpha, στα 1,62 ευρώ, αν και βρέθηκε ψηλότερα, στο 1,69, 1,77% ενισχύθηκε η Eurobank, στο 1,15, με υψηλό ημέρας στο 1,19 και 1,72% η Πειραιώς, στα 0,59 με υψηλό στο 0,61.

Απώλειες 4,4% για τον ΟΠΑΠ, στον οποίο εφαρμόστηκε το ρητό “πούλησε στην είδηση”, αφού έγινε γνωστή η νέα συμφωνία με το Δημόσιο που προβλέπει ανανέωση σύμβασης για άλλα είκοσι χρόνια. Απώλειες και για την Ελλάκτωρ, αφού εκκρεμεί η έγκριση της επένδυσης στα ορυχεία χρυσού της Χαλκιδικής.