L'ECONOMIE MONDIALE EST UN ENSEMBLE UNIQUE,PSYCHOSOMATIQUE. AUSTÉRITÉ VIATIQUE VERS LA CROISSANCE POUR L'OCCIDENT. Η ΠΑΓΚΟΣΜΙΑ ΟΙΚΟΝΟΜΙΑ ΕΙΝΑΙ ΕΝΑ ΕΝΙΑΙΟ ΣΥΝΟΛΟ,ΨΥΧΟΣΩΜΑΤΙΚΟ.Η ΛΙΤΟΤΗΤΑ ΕΙΝΑΙ Ο ΔΡΟΜΟΣ ΓΙΑ ΤΗΝ ΑΝΑΠΤΥΞΗ ΤΗΣ ΔΥΣΗΣ
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Κυριακή 6 Μαΐου 2012
Les résultats du deuxième tour de l'élection présidentielle française depuis 1958
Les seconds tours des huit élections présidentielles disputées en France depuis 1965 ont été généralement relativement serrés. La victoire la plus large dans un duel droite-gauche classique a été obtenue par le général de Gaulle en 1965 face à François Mitterrand.
L'élection la plus serrée fut celle de 1974, qui s'est jouée à environ 400.000 voix. Il y a eu deux duels atypiques droite-droite en 1969 et droite contre extrême-droite en 2002.
Voici un rappel des résultats :
1965 : Charles de Gaulle 55,2%-François Mitterrand 44,8%
(participation* de 82,0%)
1969 : Georges Pompidou 58,2%-Alain Poher 41,8%
(participation 64,43%)
1974 : Valéry Giscard d'Estaing 50,8%-Mitterrand 49,2%
(participation 86,2%)
1981 : Mitterrand 51,8%-Giscard d'Estaing 48,2%
(participation 83,4%)
1988 : Mitterrand 54%-Jacques Chirac 46%
(participation 81%)
1995 : Chirac 52,6%-Lionel Jospin 47,4%
(participation 74,9%)
2002 : Chirac 82,2%-Jean-Marie Le Pen 17,8%
(participation 75,4%)
2007 : Nicolas Sarkozy 53,1%-Ségolène Royal (PS) 46,9%
(participation 80,04%)
L'élection la plus serrée fut celle de 1974, qui s'est jouée à environ 400.000 voix. Il y a eu deux duels atypiques droite-droite en 1969 et droite contre extrême-droite en 2002.
Voici un rappel des résultats :
1965 : Charles de Gaulle 55,2%-François Mitterrand 44,8%
(participation* de 82,0%)
1969 : Georges Pompidou 58,2%-Alain Poher 41,8%
(participation 64,43%)
1974 : Valéry Giscard d'Estaing 50,8%-Mitterrand 49,2%
(participation 86,2%)
1981 : Mitterrand 51,8%-Giscard d'Estaing 48,2%
(participation 83,4%)
1988 : Mitterrand 54%-Jacques Chirac 46%
(participation 81%)
1995 : Chirac 52,6%-Lionel Jospin 47,4%
(participation 74,9%)
2002 : Chirac 82,2%-Jean-Marie Le Pen 17,8%
(participation 75,4%)
2007 : Nicolas Sarkozy 53,1%-Ségolène Royal (PS) 46,9%
(participation 80,04%)
PSYCHOLOGIE: Winner ou looser? Tout est dans la dopamine
Actualité publiée il y a 7h51mn
The Journal of Neuroscience
Motivé ou découragé ? Le niveau de dopamine dans les différentes zones du cerveau, en réponse à une tâche ou à un défi, peut à lui seul expliquer pourquoi certains sont capables de travailler dur ou pas. Être un fonceur ou un «looser» pourrait ainsi dépendre de différences dans le système de dopamine du cerveau, selon cette étude publiée dans l’édition du 2 mai du Journal of Neuroscience.
Les chercheurs dont le Pr David Zald, de l'Université Vanderbilt, a demandé aux participants d’appuyer rapidement sur un bouton pour pouvoir gagner des sommes d'argent variables. Les participants devaient montrer jusqu’à à quel point ils étaient prêts à travailler en fonction de la probabilité de gagner et la somme d'argent à gagner. Certains ont accepté des défis extrêmement difficiles pour gagner plus d'argent alors que des participants moins motivés renonçaient même à essayer si cela leur coûtait trop d'effort. A l’aide d’imagerie cérébrale par émission de positons (TEP), les chercheurs ont pu mesurer l'activité du système de la dopamine dans les différentes zones du cerveau et examiné la relation entre cette activité et les résultats obtenus aux tests de motivation.
Le niveau de motivation, fonction de la réponse de la dopamine dans les différentes zones du cerveau : L'étude révèle que les personnes susceptibles de faire plus d'effort montrent une réaction plus forte de la dopamine dans le striatum et le cortex préfrontal, deux zones du cerveau importantes dans la récompense et la motivation. En revanche, les personnes les moins susceptibles de se mobiliser et de faire des efforts présentent une réponse de la dopamine plus forte dans l'insula, une autre zone du cerveau impliquée dans la perception, le comportement social et la conscience de soi.
La dopamine, facteur clé de décision et…de motivation : Des études sur l’animal ont déjà montré que l'activité de dopamine dans les différents centres de motivation du cerveau est un facteur clé de la prise de décision. Dans cette expérience, les chercheurs montrent que les participants dont l'activité de la dopamine augmente dans l'insula sont les sujets les moins motivés. Ainsi, l’étude conclut que l'augmentation de la dopamine dans l'insula est associée à la perte de motivation. Ce qui explique aussi que les médicaments dopaminergiques puissent entraîner des effets sur le comportement. Les spécificités individuelles dans le système de la dopamine pourraient donc permettre de cerner « le trait » de motivation d’un individu.
Source: Society for Neuroscience The Journal of Neuroscience (In press) via Eurekalert (AAAS) « Differences in dopamine may determine how hard people work”
Lire aussi: La DOPAMINE, hormone de prise de décision à la microseconde –
NEURO: Le striatum ventral, pour rester motivé, motivé, motivé -
Accéder aux actualités sur la Dopamine
The Journal of Neuroscience
Motivé ou découragé ? Le niveau de dopamine dans les différentes zones du cerveau, en réponse à une tâche ou à un défi, peut à lui seul expliquer pourquoi certains sont capables de travailler dur ou pas. Être un fonceur ou un «looser» pourrait ainsi dépendre de différences dans le système de dopamine du cerveau, selon cette étude publiée dans l’édition du 2 mai du Journal of Neuroscience.
Les chercheurs dont le Pr David Zald, de l'Université Vanderbilt, a demandé aux participants d’appuyer rapidement sur un bouton pour pouvoir gagner des sommes d'argent variables. Les participants devaient montrer jusqu’à à quel point ils étaient prêts à travailler en fonction de la probabilité de gagner et la somme d'argent à gagner. Certains ont accepté des défis extrêmement difficiles pour gagner plus d'argent alors que des participants moins motivés renonçaient même à essayer si cela leur coûtait trop d'effort. A l’aide d’imagerie cérébrale par émission de positons (TEP), les chercheurs ont pu mesurer l'activité du système de la dopamine dans les différentes zones du cerveau et examiné la relation entre cette activité et les résultats obtenus aux tests de motivation.
Le niveau de motivation, fonction de la réponse de la dopamine dans les différentes zones du cerveau : L'étude révèle que les personnes susceptibles de faire plus d'effort montrent une réaction plus forte de la dopamine dans le striatum et le cortex préfrontal, deux zones du cerveau importantes dans la récompense et la motivation. En revanche, les personnes les moins susceptibles de se mobiliser et de faire des efforts présentent une réponse de la dopamine plus forte dans l'insula, une autre zone du cerveau impliquée dans la perception, le comportement social et la conscience de soi.
La dopamine, facteur clé de décision et…de motivation : Des études sur l’animal ont déjà montré que l'activité de dopamine dans les différents centres de motivation du cerveau est un facteur clé de la prise de décision. Dans cette expérience, les chercheurs montrent que les participants dont l'activité de la dopamine augmente dans l'insula sont les sujets les moins motivés. Ainsi, l’étude conclut que l'augmentation de la dopamine dans l'insula est associée à la perte de motivation. Ce qui explique aussi que les médicaments dopaminergiques puissent entraîner des effets sur le comportement. Les spécificités individuelles dans le système de la dopamine pourraient donc permettre de cerner « le trait » de motivation d’un individu.
Source: Society for Neuroscience The Journal of Neuroscience (In press) via Eurekalert (AAAS) « Differences in dopamine may determine how hard people work”
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