La Grèce exclut de céder sa souveraineté à l'UE - Monde - TF1 News lci.tf1.fr La Grèce refuse que sa souveraineté en matière de politique budgétaire tombe sous le contrôle européen, comme le souhaitent certains pays de la zone euro, dont l'Allemagne. J’aime · · Annuler l’abonnement · Partager · Il y a 19 heures à proximité de Vierzon-Ville, Centre Marie-Françoise Ménard-Doucet aime ça. Nicolas Bloudanis Ce ne serait pourtant pas la plus mauvaise des solutions, dans la mesure ou la classe politique grecque actuelle est incapable de resoudre le cercle vicieux politique budgetaire-clientelisme-corruption, et refuse obstinement de prendre les mesures concretes et drastiques qui s'imposent, soit la privatisation du 40% au bas mot d'un secteur public obese, largement impro et ruineux... Au lieu de cela, l'Etat temporise, introduit taxe sur taxe, et rogne des salaires ou des retraites qui sont deja miserables. Si par exemple deja, au lieu de baisser toutes les retraites, on supprimait purement et simplement celles de la masse des "retraité(e)s" de moins de 55 ans, en les faisant eventuellement beneficier durant 6 mois d'allocations chomage? Cette incapacite provient du fait qu'elle est l'instigatrice de ce cercle vicieux, d'ou elle a tire sa mainmise sur le pays depuis toujours, mainmise financee par l'augmentation de la dette publique. Les racines du "probleme grec" sont beaucoup plus profondes qu'on ne le pense, c'est pourquoi il est beacoup plus difficile a resoudre que dans d'autres pays. Il y a 19 minutes · Je n’aime plus · 1 Victor Monsan ‎Nicolas Bloudanis excellente votre analyse.Mikis Theodorakis ce matin a parle d’abcès sur la chair de la patrie pour le système politique grec. Il y a 2 secondes · J’aime

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Marie-Françoise Ménard-Doucet aime ça.

Nicolas Bloudanis Ce ne serait pourtant pas la plus mauvaise des solutions, dans la mesure ou la classe politique grecque actuelle est incapable de resoudre le cercle vicieux politique budgetaire-clientelisme-corruption, et refuse obstinement de prendre les mesures concretes et drastiques qui s'imposent, soit la privatisation du 40% au bas mot d'un secteur public obese, largement impro et ruineux... Au lieu de cela, l'Etat temporise, introduit taxe sur taxe, et rogne des salaires ou des retraites qui sont deja miserables. Si par exemple deja, au lieu de baisser toutes les retraites, on supprimait purement et simplement celles de la masse des "retraité(e)s" de moins de 55 ans, en les faisant eventuellement beneficier durant 6 mois d'allocations chomage? Cette incapacite provient du fait qu'elle est l'instigatrice de ce cercle vicieux, d'ou elle a tire sa mainmise sur le pays depuis toujours, mainmise financee par l'augmentation de la dette publique. Les racines du "probleme grec" sont beaucoup plus profondes qu'on ne le pense, c'est pourquoi il est beacoup plus difficile a resoudre que dans d'autres pays.
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Victor Monsan ‎Nicolas Bloudanis excellente votre analyse.Mikis Theodorakis ce matin a parle d’abcès sur la chair de la patrie pour le système politique grec.
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