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Σάββατο 3 Σεπτεμβρίου 2011


Le chômage américain et la Grèce stressent les Bourses

Par le 02 septembre 2011 à 16h24 , mis à jour le 02 septembre 2011 à 22h51
L'économie américaine ne crée plus d'emploi. Conséquence de cette mauvaise nouvelle : L'indice CAC 40 a lâché 3,59% et Wall Street a clôturé en forte baisse.
C'est le genre de mauvaises nouvelles qui rend fébriles les marchés... Selon le rapport mensuel sur l'emploi américain publié vendredi, l'économie américaine n'a créé aucun emploi en Bourse. Conséquence : Wall Street a ouvert en forte baisse et entraîné les Bourses européennes dans son sillage. Paris a chuté lourdement vendredi, très perturbé par cette atonie. L'indice CAC 40 a lâché 3,59%, abandonnant 117,30 points à 3.148,53 points dans un volume d'échanges de 3,300 milliards d'euros. A la clôture, le Nasdaq a perdu 2,58% et le Dow Jones 2,20%.
Dix mois consécutifs d'embauche avaient laissé les analystes plutôt confiants. Et pourtant, en août, l'économie américaine n'a pas créé d'emploi et le chômage est resté à un taux très élevé : 9,1% de la population. Le rapport mensuel sur l'emploi aux Etats-Unis a donc provoqué la surprise sur les places boursières. Il est en effet considéré comme un baromètre crucial pour jauger de la santé de l'économie aux Etats-Unis, premier consommateur mondial de brut.
Cette publication renforce, aux yeux des experts, la probabilité d'une nouvelle réponse monétaire de la part de la Réserve fédérale américaine lors de sa prochaine réunion les 20 et 21 septembre. "Le secteur public est destructeur d'emplois, ce qui n'est pas surprenant le gouvernement devant réduire ses dépenses. En revanche, le fait que le secteur manufacturier ait détruit des postes alors qu'il en avait créé jusqu'à présent est une très mauvaise surprise", commente Dov Adjedj chez Aurel BCG.
La Grèce fait encore mal aux banques...
Par ailleurs, la situation en Grèce pèse de nouveau sur les échanges. Le secteur bancaire a souffert tout particulièrement des inquiétudes sur la situation de sa dette. Le ministre grec des Finances, Evangélos Vénizélos, a reconnu que l'objectif de déficit public pour 2011 serait révisé "automatiquement" à la hausse du fait de l'aggravation de la récession. "Une telle annonce remet en cause le second plan de sauvetage qui a été annoncé le 21 juillet. Il ne pourra pas être mis en place si le pays est incapable d'instaurer des plans de rigueur rapidement efficaces", estime Renaud Murail, gérant d'actions chez Barclays Bourse. En attendant, les représentants de l'Union européenne, du FMI et de la Banque centrale européenne, qui mènent une inspection des comptes publics grecs depuis lundi, ont suspendu leur mission.
Plusieurs médias hellènes ont fait état d'un blocage des discussions, les créanciers d'Athènes demandant des mesures de rigueur supplémentaires d'un montant de 1,7 milliard d'euros. Athènes a nié ces informations de presse. Comme toujours depuis le début du feuilleton grec, le secteur bancaire souffrait de cette situation.
Les valeurs bancaires : 

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