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Τετάρτη 5 Οκτωβρίου 2011

Πρώτο ΘΕΜΑ online : Νυχτερινή σύσκεψη Βενιζέλου με Προβόπουλο, Θωμόπουλο, Πανταλάκη - Οικονομία

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François Hollande se projette dans l'après-primaire

Le Point.fr - Publié le 05/10/2011 à 13:44 - Modifié le 05/10/2011 à 18:07

Le grand favori dans la course à la primaire PS affiche une réelle confiance à quelques jours du premier tour du scrutin.

François Hollande se projette dans l'après-primaire
François Hollande en campagne à Arles, le 1er octobre 2011. © Karine Villalonga / Sipa
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La journée commence par une histoire de train manqué. François Hollande, qui aime répéter que "l'important, c'est de monter dans le bon wagon", n'est, ce mardi matin d'octobre, pas monté dans le bon wagon... Il n'est même pas monté dans le bon TGV. Pour son Paris-Lyon, le candidat à la primaire du PS s'est trompé d'horaire, s'est trompé de gare d'arrivée. 
L'histoire se termine bien : à peine une demi-heure de retard sur le programme. C'est tout sourire, accompagné de son ami le président du conseil général de l'Isère André Vallini, qu'il débarque à l'Institut national de l'énergie solaire (Ines) de Chambéry le 4 octobre peu après 14 heures. Sous le soleil savoyard, il trace dans l'air un sillon avec ses mains, évoque en riant "quelques difficultés d'aiguillage".
Supprimer le second tour, "une connerie"
À J - 5 du premier tour de ce scrutin qui doit désigner le candidat socialiste pour 2012, le grand favori ne voit pas de mauvais présage dans sa mésaventure : un petit retard n'est rien pour qui a tant d'avance. "Il est bien, détendu", assure Vallini. Fatigué, forcément, mais il tient le rythme. Chez ses concurrents, on décèle dans l'attitude du président du conseil général de Corrèze et de ses proches un excès de confiance. Europe 1 assure même qu'ils songent à supprimer le second tour de la primaire en cas de large avance ! "C'est une connerie ! On y sera, au second tour, et on va le gagner", lâche un proche de Hollande.
Pendant ce temps, le candidat évoque les moyens de diversification des énergies, puisqu'il propose dans son projet de réduire la part du nucléaire de 50 % d'ici à 2025. Une position trop frileuse pour les militants d'Europe Écologie-Les Verts venus l'accueillir devant le siège de l'Ines. Hollande ne s'en inquiète pas. Il voit loin, jusqu'en mai 2012. S'il remporte la primaire, c'est à son camp d'abord qu'il s'adressera, ne doutant pas que, des écolos aux communistes, le peuple de gauche votera socialiste face à Nicolas Sarkozy. 
"Demi-finale"
La perspective de ce duel avec l'actuel hôte de l'Élysée l'emballe déjà. Mais il prévient, quelques heures plus tard, dans un amphithéâtre bondé et surchauffé de Sciences-Po Grenoble : "Il ne faut pas sous-estimer Sarkozy. Je le dis souvent : mauvais président, bon candidat."
Face à ces étudiants, Hollande évoque la présidentielle avec d'autant plus de facilité qu'il affiche une réelle confiance en vue de la primaire. Il la qualifie d'"étape décisive", certes, mais seulement "la première étape" : viendra ensuite "une étape beaucoup plus sérieuse, face à la droite, face à l'extrême droite". "Je suis venu il y a quelques mois, j'étais dans une phase qualificative. Maintenant, je suis en demi-finale, et je reviendrai pour la finale !" s'emballe-t-il. Plus tard, lorsqu'on s'étonne de l'emploi du terme "demi-finale", il rectifie, admet être plutôt en quart... Mais tout de même. 
"En face, ils font des fiches..."
Hollande se prépare à une campagne dure. Preuve, s'il en fallait, cette révélation de L'Express le matin même, qu'il a découverte en même temps que la publication de l'article sur le site de l'hebdomadaire : sa compagne, la journaliste Valérie Trierweiler, aurait fait l'objet d'une enquête des services de renseignements début 2011.
Hollande réclame à Claude Guéant de lever les suspicions, mais promet : "Rien ne peut m'atteindre." Il s'offre même le luxe de plaisanter de l'affaire, dans l'après-midi, dans une petite salle de Chambéry, devant des militants conquis. Mettant en garde contre toutes les attaques entre candidats à la primaire, à la veille du troisième débat de campagne, il leur lance : "Il faut faire attention à ne pas s'attaquer. En face, ils font des fiches, c'est même des spécialistes !" Et puis, à ses militants, il raconte sa visite à l'Ines : "J'ai été rechargé par les piles solaires à côté ! Je suis reparti jusqu'au 6 mai 2012 ! Merci." Applaudissements. 
Finalement, c'est Thierry Repentin, sénateur de Savoie, qui l'accompagne, qui résume le mieux la stratégie qui doit mener leur champion vers la victoire : "Ne rien faire avant le scrutin qui puisse l'empêcher de gagner." Et monter dans le bon wagon.


Expedia condamné pour pratiques déloyales en France

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Deux hôtels et un syndicat hôtelier reprochaient au groupe américain d'afficher à tort des hôtels comme complets pour renvoyer les internautes vers des hôtels partenaires.
Publié le 05/10/2011, 16h07
Condamné pour "pratique commerciales trompeuses" le 4 octobre par le tribunal de commerce de Paris, le voyagiste en ligne américain Expedia devra verser près de 430 000 euros au syndicat d'hôteliers et restaurateurs Synhorcat et à deux hôtels. Ceux-ci lui reprochaient de faire croire aux internautes, à tort, que certains hôtels étaient complets, afin de pouvoir renvoyer les visiteurs vers d'autres hôtels, partenaires payants d'Expedia. Lui était également reproché un mélange des genres entre son site d'avis de voyageurs TripAdvisor et ses sites commerciaux de réservation d'hôtels Expedia.fr et Hotels.com. La procédure avait été lancée il y a un an et demi par le Synhorcat. S'y étaient ensuite associés l'Hôtel de la place du Louvre, à Paris, le Château de Guilguiffin, à Landudec (Finistère), ainsi que le ministère de l'Economie.

L'Allemagne se dit prête à une recapitalisation des banques européennes

Le Point.fr - Publié le 05/10/2011 à 17:17

Angela Merkel estime qu'il est nécessaire de rassurer rapidement les marchés.

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La chancelière allemande Angela Merkel a jugé mercredi "justifié" de recapitaliser les banques européennes qui en ont besoin, soulignant que le "temps presse" et que son pays était prêt à le faire "si nécessaire", alors que le secteur est très fragilisé dans la zone euro par la crise de la dette. "Il est justifié, s'il y a un constat commun, que les banques ne sont pas assez capitalisées, que l'on y procède, compte tenu de la situation actuelle sur les marchés financiers", mais pour le faire, "il faut bien sûr établir des critères pour cela", a-t-elle souligné devant la presse à Bruxelles, à l'issue d'une visite à la Commission européenne. 
"Le gouvernement allemand est prêt, si nécessaire, à réaliser une telle recapitalisation" des banques chez lui, a dit la chancelière allemande. "Pour les marchés il est important qu'on aboutisse à des résultats", a-t-elle jugé, soulignant que "le temps presse et donc, il faudrait que cela se fasse vite". Elle n'a pas exclu que la question puisse devoir être abordée au prochain sommet des dirigeants européens à Bruxelles, les 17 et 18 octobre. Selon elle, il est "également important qu'on évite la cacophonie entre les continents américain et européen" sur le sujet, qui doivent s'entendre. Les pays européens envisagent un plan coordonné pour renflouer leurs banques, fragilisées par l'impact de la crise de la dette qui a fait une première victime dans l'Union monétaire avec le groupe franco-belge Dexia, en cours de démantèlement.
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