L'ECONOMIE MONDIALE EST UN ENSEMBLE UNIQUE,PSYCHOSOMATIQUE. AUSTÉRITÉ VIATIQUE VERS LA CROISSANCE POUR L'OCCIDENT. Η ΠΑΓΚΟΣΜΙΑ ΟΙΚΟΝΟΜΙΑ ΕΙΝΑΙ ΕΝΑ ΕΝΙΑΙΟ ΣΥΝΟΛΟ,ΨΥΧΟΣΩΜΑΤΙΚΟ.Η ΛΙΤΟΤΗΤΑ ΕΙΝΑΙ Ο ΔΡΟΜΟΣ ΓΙΑ ΤΗΝ ΑΝΑΠΤΥΞΗ ΤΗΣ ΔΥΣΗΣ
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Δευτέρα 17 Οκτωβρίου 2011
Pourquoi François Hollande inquiète tant l'UMP ?

La victoire de François Hollande à la primaire socialiste a entraîné des réactions virulentes dans le camp présidentiel. Certains politologues estiment en effet que la candidature du député corrézien est une sérieuse menace pour l'UMP.
Par Charlotte BOITIAUX (texte)
À peine a-t-il endossé son nouveau costume de candidat socialiste à la présidentielle dimanche que François Hollande a dû faire face aux piques de la majorité présidentielle. Comme la semaine dernière, c’est Jean-François Copé, secrétaire général de l’UMP, qui a ouvert les hostilités. "Je pensais qu’il allait briguer jusqu’à 65% ou 70% des voix puisqu’il avait tout le monde avec lui", a lâché l’ancien ministre délégué au Budget, sur le plateau de France 2, en cherchant à minimiser le succès du député de Corrèze. De son côté, Christian Jacob, le patron des députés UMP, ironisait sur le résultat du soir : "Monsieur je ratisse tout, je ramasse tout mais je ne me positionne sur rien (…), et bien maintenant on va voir comment il va s’en sortir", a-t-il prévenu.
Dans cette avalanche d’amabilités, seul Patrick Devedjian, l’ancien numéro un du parti présidentiel, a salué la victoire du candidat, la jugeant "réelle". À la différence de ce que beaucoup pensent sûrement tout bas à l'UMP, le président du Conseil général des Hauts-de-Seine a reconnu que, "bien sûr", François Hollande était un "danger" pour Nicolas Sarkozy.
L’UMP fébrile ?
"Toutes ces réactions virulentes de la droite sont pour moi des symptômes de fébrilité", estime Mariette Sineau, politologue au centre de recherche de Sciences Po (Cevipof). "Il est évident que la candidature de François Hollande déstabilise son camp, voire qu’elle le fragilise."
"François Hollande est une personnalité consensuelle et rassembleuse, c’est une mauvaise nouvelle pour Nicolas Sarkozy", renchérit de son côté Gérard Grunberg, directeur de recherche au CNRS. Selon lui, le maire de Tulle est un compétiteur sérieux, capable de ravir à Nicolas Sarkozy une grande partie de l’électorat du centre tant convoité pour le poids qu'il représente dans une élection présidentielle. "Il pourrait attirer l’électorat de François Bayrou [chef de file du Modem, ndlr], voire créer une alliance avec ce dernier."
"Martine Aubry était moins dangereuse"
La tâche s’annonce donc compliquée pour le président – qui ne s’est toujours pas déclaré candidat –, et dont l'entourage a souvent laissé entendre qu'il aurait préféré affronter la maire de Lille, Martine Aubry, plus facile pour lui à contrer, estime Mariette Sineau. Et cela, pour trois raisons.
Premièrement, développe la politologue, parce qu’elle ne draguait pas les mêmes électeurs que la droite. "Elle était moins dangereuse, elle incarnait la ‘vraie’ candidature socialiste, celle qui lorgnait l’électorat de Montebourg [celui le plus à gauche du PS, ndlr], pas l’électorat du centre, qui se reporte généralement sur le candidat de droite au second tour d'une présidentielle." Deuxièmement, continue-t-elle, parce qu’elle confortait la stratégie de Nicolas Sarkozy : "Entre l’extrême droite de Marine le Pen et la gauche dure qu'elle symbolisait, le président apparaissait facilement comme le modéré. Ce n’est plus le cas." Et enfin, termine la politologue, parce que la maire de Lille traîne une casserole politique, véritable pain béni pour l’UMP : "Elle est associé à la réforme des '35 heures', une mesure très décriée et impopulaire que Sarkozy lui aurait servi à toutes les sauces."
Hollande : un tribun hors pair
François Hollande, est, quant à lui, un candidat plus lisse. Si le fait de n'avoir jamais occupé de fonction ministérielle est un handicap que beaucoup lui reprochent, "c'est aussi un atout. De fait, il n'a aucune boulette politique à assumer", souligne Mariette Sineau. Loin d’être un sanguin, le maire de Tulle n’est pas non plus un adepte du rapport de force. C'est au contraire un homme posé, un trait de personnalité "agaçant" pour Nicolas Sarkozy, juge la politologue. "François Hollande est une personnalité qui n’offre pas de prise. Or, le président aime énerver ses adversaires, les pousser à bout politiquement."
Surtout, poursuit-elle, François Hollande possède un atout de taille dans la course à la magistrature suprême. C’est un tribun hors pair, "un bon orateur qui sait galvaniser les foules. Et sa bonhomie naturelle est un coup dur face au ‘bling bling’ de Sarkozy."
Reste à savoir si ces atouts permettront au maire de Tulle de s’imposer dans la course à l'Elysée. Car aujourd’hui, il lui reste tout à faire à six mois de l’échéance : séduire l’électorat populaire attiré par les extrêmes, trouver une alliance avec les Verts, et - bien sûr - rallier les voix du centre. "Il a tout à prouver mais il semble bien parti", estime Roselyne Febvre, spécialiste politique de FRANCE 24. Élu haut la main à la primaire socialiste (56%) par près de trois millions d’électeurs, omniprésent depuis quelques semaines sur la scène médiatique, "Hollande est bien positionné dans la course, on le sent libéré, attaquant", ajoute-t-elle avant de conclure : "C’est un homme d’une grande finesse d’esprit, à l’intelligence tactique brillante (…) Il est tout à fait légitime que l’UMP soit aujourd’hui passablement effrayée par sa candidature."
Dans cette avalanche d’amabilités, seul Patrick Devedjian, l’ancien numéro un du parti présidentiel, a salué la victoire du candidat, la jugeant "réelle". À la différence de ce que beaucoup pensent sûrement tout bas à l'UMP, le président du Conseil général des Hauts-de-Seine a reconnu que, "bien sûr", François Hollande était un "danger" pour Nicolas Sarkozy.
L’UMP fébrile ?
"Toutes ces réactions virulentes de la droite sont pour moi des symptômes de fébrilité", estime Mariette Sineau, politologue au centre de recherche de Sciences Po (Cevipof). "Il est évident que la candidature de François Hollande déstabilise son camp, voire qu’elle le fragilise."
"François Hollande est une personnalité consensuelle et rassembleuse, c’est une mauvaise nouvelle pour Nicolas Sarkozy", renchérit de son côté Gérard Grunberg, directeur de recherche au CNRS. Selon lui, le maire de Tulle est un compétiteur sérieux, capable de ravir à Nicolas Sarkozy une grande partie de l’électorat du centre tant convoité pour le poids qu'il représente dans une élection présidentielle. "Il pourrait attirer l’électorat de François Bayrou [chef de file du Modem, ndlr], voire créer une alliance avec ce dernier."
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La tâche s’annonce donc compliquée pour le président – qui ne s’est toujours pas déclaré candidat –, et dont l'entourage a souvent laissé entendre qu'il aurait préféré affronter la maire de Lille, Martine Aubry, plus facile pour lui à contrer, estime Mariette Sineau. Et cela, pour trois raisons.
Premièrement, développe la politologue, parce qu’elle ne draguait pas les mêmes électeurs que la droite. "Elle était moins dangereuse, elle incarnait la ‘vraie’ candidature socialiste, celle qui lorgnait l’électorat de Montebourg [celui le plus à gauche du PS, ndlr], pas l’électorat du centre, qui se reporte généralement sur le candidat de droite au second tour d'une présidentielle." Deuxièmement, continue-t-elle, parce qu’elle confortait la stratégie de Nicolas Sarkozy : "Entre l’extrême droite de Marine le Pen et la gauche dure qu'elle symbolisait, le président apparaissait facilement comme le modéré. Ce n’est plus le cas." Et enfin, termine la politologue, parce que la maire de Lille traîne une casserole politique, véritable pain béni pour l’UMP : "Elle est associé à la réforme des '35 heures', une mesure très décriée et impopulaire que Sarkozy lui aurait servi à toutes les sauces."
Hollande : un tribun hors pair
François Hollande, est, quant à lui, un candidat plus lisse. Si le fait de n'avoir jamais occupé de fonction ministérielle est un handicap que beaucoup lui reprochent, "c'est aussi un atout. De fait, il n'a aucune boulette politique à assumer", souligne Mariette Sineau. Loin d’être un sanguin, le maire de Tulle n’est pas non plus un adepte du rapport de force. C'est au contraire un homme posé, un trait de personnalité "agaçant" pour Nicolas Sarkozy, juge la politologue. "François Hollande est une personnalité qui n’offre pas de prise. Or, le président aime énerver ses adversaires, les pousser à bout politiquement."
Surtout, poursuit-elle, François Hollande possède un atout de taille dans la course à la magistrature suprême. C’est un tribun hors pair, "un bon orateur qui sait galvaniser les foules. Et sa bonhomie naturelle est un coup dur face au ‘bling bling’ de Sarkozy."
Reste à savoir si ces atouts permettront au maire de Tulle de s’imposer dans la course à l'Elysée. Car aujourd’hui, il lui reste tout à faire à six mois de l’échéance : séduire l’électorat populaire attiré par les extrêmes, trouver une alliance avec les Verts, et - bien sûr - rallier les voix du centre. "Il a tout à prouver mais il semble bien parti", estime Roselyne Febvre, spécialiste politique de FRANCE 24. Élu haut la main à la primaire socialiste (56%) par près de trois millions d’électeurs, omniprésent depuis quelques semaines sur la scène médiatique, "Hollande est bien positionné dans la course, on le sent libéré, attaquant", ajoute-t-elle avant de conclure : "C’est un homme d’une grande finesse d’esprit, à l’intelligence tactique brillante (…) Il est tout à fait légitime que l’UMP soit aujourd’hui passablement effrayée par sa candidature."

Pour 60% des Français, Hollande l'emporterait en 2012
Créé le 17/10/2011 à 19h08

François Hollande et Nicolas Sarkozy le 28 avril 2011 / AFP
"Pensez-vous que François Hollande remporterait l'élection présidentielle en 2012, en cas de second tour face à Nicolas Sarkozy ?". A la question posée par Harris Interactive pour RTL, M6 et MSN, les sondés répondent oui à 60 %, et non à 39 % seulement. Un sondage réalisé dimanche soir pour le site Internet "2012 et vous", après le résultat de la primaire PS.
Gelée royale
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Indications
Réduire la fatigue physique et intellectuelle et le stress, renforcer l’immunité, soutenir les convalescents, traiter les troubles sexuels et menstruels. |
Pour plus de détails, voir la section Recherches sur la gelée royale.
Posologie de la gelée royale
Fatigue, stress, convalescence
- Prendre de 100 mg à 250 mg par jour de gelée royale lyophilisée ou de 300 mg à 750 mg de gelée royale fraîche. Traditionnellement, on recommande de prendre la gelée royale avant le petit-déjeuner, pendant 4 à 6 semaines. Certains auteurs suggèrent de consommer jusqu’à 1,2 g par jour de gelée fraîche (400 mg de gelée lyophilisée) au début d’un traitement en cas de grande fatigue.
Attention. À cause du potentiel allergène de la gelée royale, il est préférable de commencer par une faible dose et de l’augmenter progressivement. |
Description de la gelée royale
La gelée royale est une substance blanchâtre et gélatineuse sécrétée par certaines glandes des jeunes abeilles nourricières. Elle est destinée à l’alimentation des larves au premier stade de leur développement et constitue le régime alimentaire exclusif des reines durant toute leur existence. Également nommée « lait des abeilles », elle contient de 50 % à 65 % d’eau et de nombreuses autres substances, dont :
- des sucres (15 %), essentiellement du fructose et du glucose;
- des protéines (de 18 % à 13 %);
- des gras (de 3 % à 6 %);
- des minéraux (1,5 %);
- des vitamines, surtout celles du groupe B, notamment la B1 et la B5;
- des oligo-éléments (minéraux sous forme de traces).
- des sucres (15 %), essentiellement du fructose et du glucose;
- des protéines (de 18 % à 13 %);
- des gras (de 3 % à 6 %);
- des minéraux (1,5 %);
- des vitamines, surtout celles du groupe B, notamment la B1 et la B5;
- des oligo-éléments (minéraux sous forme de traces).
On attribue en partie à la gelée royale le fait que la reine, qui s’en nourrit exclusivement, soit beaucoup plus grosse que les autres abeilles et qu’elle vive 5 ou 6 ans, tandis que la vie active des ouvrières ne dépasse guère les 45 jours. Certains fabricants et distributeurs en profitent pour vanter les effets soi-disant miraculeux de leurs produits, une extrapolation douteuse. En effet, d’autres insectes croissent très rapidement sans gelée royale et la longévité des insectes ne relève pas des mêmes mécanismes que celle des humains1. Pour plus de détails, voyez la section Sur les tablettes.
Normalement, la quantité de gelée royale produite dans une ruche suffit à peine à assurer la croissance des larves et l’alimentation de la reine. Pour obtenir les quantités souhaitées, les apiculteurs enlèvent la reine de la ruche. Ils incitent ainsi les ouvrières à élever plusieurs larves destinées à produire des reines et donc à produire plus de gelée royale. Avant que ces techniques soient mises au point, la gelée royale demeurait un produit rare et relativement peu connu.
Historique de la gelée royale
On dit que les souverains de la Chine antique attribuaient à la gelée royale le pouvoir d’assurer lalongévité et la vigueur sexuelle. Ce n’est cependant que depuis 70 ans à 80 ans qu’elle est devenue réellement populaire auprès des Chinois. Elle est présente dans plusieurs préparations destinées au traitement des douleurs arthritiques, de l’hypertension artérielle, du diabète, de l’hépatitechronique, des troubles menstruels, de l’infertilité et de la fatigue. En Médecine traditionnelle chinoise, cette substance est considérée comme un tonique en cas de carence du Yin.
On trouve une tradition populaire similaire en Europe de l’Est et en Russie où la gelée royale est considérée comme un adaptogène. Un adaptogène est une substance qui accroît, de manière générale et non spécifique, la résistance de l'organisme aux divers stress qui l'atteignent. Tout en causant un minimum d'effets indésirables, un adaptogène exercerait une action normalisatrice non spécifique sur de nombreux organes ou fonctions physiologiques.
Au début du XXe siècle, les apiculteurs ont mis au point des techniques permettant la production de lagelée royale à une échelle industrielle. Cette production industrielle et le recours à la lyophilisation (procédé de séchage à froid) ont contribué à populariser la gelée royale un peu partout dans le monde. Au Japon, par exemple, on la consomme dans les genki, des boissons tonifiantes particulièrement populaires auprès des employés de bureau. La Chine est le plus gros producteur mondial de gelée royale.
Recherches sur la gelée royale
Très peu d’études scientifiques rigoureuses quant à l’effet thérapeutique de la gelée royalechez l’humain ont été publiées. On dispose surtout d’essais in vitro et sur des animaux. Le produit est toutefois utilisé depuis longtemps de façon traditionnelle pour réduire la fatigue physique et intellectuelle et le stress, renforcer l’immunité, soutenir les convalescents et traiter les troubles sexuels et menstruels. |

Deux études cliniques préliminaires plus récentes, dont une sans placebo, sur une préparation renfermant de la gelée royale, du pollen et de la vitamine C (Melbrosia®) ont donné de bons résultats au chapitre de la réduction de plusieurs symptômes de la ménopause8,9. Cependant, comme il s’agit d’un produit contenant d’autres ingrédients, il est difficile de savoir quel rôle la gelée royale a joué au cours de ces études.

Divers
Bien que le traitement de l’hyperlipidémie ne fasse pas partie des indications traditionnelles de lagelée royale, certains chercheurs se sont penchés sur cette indication. Les données scientifiques actuelles ne sont pas convaincantes. Une série d’études menées en Europe dans les années 1960 ont donné des résultats positifs, mais leur qualité méthodologique laisse fortement à désirer10. Deux essais plus récents ont donné des résultats intéressants sur les taux de cholestérol, mais leur méthodologie est également faible (pas de groupe placebo, notamment)11,12.
La gelée royale est utilisée pour combattre les allergies. Toutefois, au cours d’une étude effectuée auprès de 64 enfants, ce traitement, pris de 3 à 6 mois avant la saison du pollen, n’a pas été plus efficace qu’un placebo pour modifier l’incidence et la gravité de la rhinite allergique (rhume des foins)14.
Un onguent à base de gelée royale et de vitamine B5 (Pedyhar®), en complément des autres interventions habituelles, a favorisé la guérison des plaies de 60 patients diabétiques souffrant d’ulcères graves au pied15.
Au cours d’un essai préliminaire chez des humains, une dose unique de gelée royale a réduit le taux de sucre dans le sang de sujets sains16.
Plusieurs chercheurs, principalement au Japon, explorent les effets de la gelée royale sur les animaux17. Quelques exemples : protection contre la toxicité de la ciplastine (un médicament anticancer)18,19; effet protecteur sur les fonctions cognitives de souris exposées à une substance neurotoxique20; accélération de la guérison d’une inflammation buccale (mucosite)21; effet antifatigue22et hypotenseur23,24; effet stimulant sur la glande thyroïde25; traitement de la colite26.
Précautions
Attention
- Certains auteurs affirment qu’on peut prendre sans danger jusqu’à 1,2 g de gelée royale par jour et même plus27. Il est cependant important de commencer par un faible dosage et de l’augmenter progressivement afin de détecter une possible allergie.
- Au cours des années 2000 à 2009, on a détecté des cas de contamination auchloramphénicol (antibiotique toxique à hautes doses) en Italie, au Royaume-Uni et en Australie, particulièrement dans des produits importés de Chine28-31. En général, les quantités détectées sont minimes, mais l’usage du chloramphénicol est interdit dans l’élevage d’animaux dans les pays mentionnés, ainsi qu’au Canada. Sa présence n’est pas autorisée non plus dans les produits importés.
Contre-indications
- Les personnes allergiques au miel, au pollen, aux piqûres d’abeilles et aux plantes de la famille des composées (marguerite, échinacée, pissenlit, etc.) pourraient également l’être à la gelée royale.
- On a rapporté plusieurs réactions allergiques et anaphylactiques à la gelée royale32-36, entre autres chez des sujets souffrant d’asthme ou d’eczéma atopique.
Effets indésirables
- En usage topique, la gelée royale peut provoquer ou exacerber une dermite (inflammation de la peau).
Interactions
Avec des plantes ou des suppléments
- Aucune connue.
Avec des médicaments
- On a attribué à la gelée royale un cas de perte de sang dans les urines (hématurie) chez un patient âgé souffrant d’un lymphome non hodgkinien et d’hypertension et qui prenait de la warfarine, un anticoagulant37. Cependant, le lien de cause à effet n’a pas été clairement établi.
- Chez les souris, la consommation de gelée royale (5 % de la diète) n’a pas eu d’impact sur les enzymes hépatiques du métabolisme des médicaments38.
Sur les tablettes
La gelée royale fraîche doit être conservée au congélateur, à l’abri de l’air, de l’humidité et de la lumière. Si elle est lyophilisée, ces précautions ne sont plus nécessaires. Comme la gelée royale perd environ les deux tiers de son poids au cours de la lyophilisation, 100 mg de gelée lyophilisée correspondent à 300 mg de gelée fraîche.
En plus de la gelée royale fraîche (vendue en pot) et lyophilisée (présentée en capsules), on trouve dans le commerce des préparations à base de miel et de gelée royale. Il existe aussi des produits liquides, généralement présentés en ampoules, et qui renferment, en plus de la gelée royale, du miel, du pollen, de la propolis ou du ginseng en proportions variables.
Certains produits sur le marché ont une teneur normalisée en 10-2 HDA (acide 10-hydroxy-2 décénoïque), un des ingrédients lipidiques actifs de la gelée royale qui sert également de marqueur.
Depuis la fin des années 1990, la Food and Drug Administration américaine rappelle régulièrement à l’ordre les fabricants et les distributeurs de gelée royale. En effet, plusieurs d’entre eux font des allégations non fondées au sujet des vertus de leur produit : soigner l’arthrite, les maladies du rein et les fractures, effet antibiotique, perte de poids, pour n’en nommer que quelques-unes39-41.
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FRANCE
Hollande-Sarkozy, le duel de la présidentielle est lancé
17 octobre 2011

Le Figaro, 17 octobre 2011
"La gauche choisit Hollande pour 2012", annonce Le Figaro. Le 16 octobre, François Hollande a été désigné candidat à la présidentielle du 6 mai prochain, lors du second tour de l’élection primaire du Parti socialiste. Il a largement battu la Première secrétaire du PS et maire de Lille, Martine Aubry, et devient le principal adversaire du très probable candidat de droite, le président sortant, Nicolas Sarkozy, au plus bas dans les sondages.
Pour le quotidien de droite, "les ennuis commencent pour François Hollande", qui devra réunir "toutes ces gauches qui se sont exprimées au cours de la primaire. La 'gauche dure' de Martine Aubry, la gauche 'démondialisatrice" d'Arnaud Montebourg, la gauche péremptoire de Jean-Luc Mélenchon, sans oublier bien sûr la gauche antinucléaire d'Eva Joly et, in fine , 'la gauche molle', c'est à dire la sienne".
Mais pour Libération, le choix des socialistes "n'est pas une très bonne nouvelle" pour la droite. Car "en donnant l'image d'une gauche 'responsable', François Hollande devrait pouvoir séduire plus facilement que Martine Aubry l'électorat du centre", estime le quotidien de gauche.

Αν κάτι σας έχει σταθεί στο λαιμό μην πιείτε νερό!
Προσπαθήστε να βήξετε όσο πιο δυνατά μπορείτε.
Αν τώρα … είστε μόνοι σας και δεν μπορείτε να αναπνεύσετε, μιλήσετε ή βήξετε, πάρτε μια καρέκλα, με στρογγυλεμένη πλάτη και τοποθετήστε την πιο πάνω από τον αφαλό σας. Προσοχή όχι στα πλευρά. Σκύψτε πάνω στην καρέκλα και αφήστε το σώμα σας να πέσει με το βάρος του προς τα κάτω.
Έτσι η από μέσα πίεση θα εξωθήσει ότι έχει μείνει στην στοματική κοιλότητα.
Πηγή: myworld
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