L'ECONOMIE MONDIALE EST UN ENSEMBLE UNIQUE,PSYCHOSOMATIQUE. AUSTÉRITÉ VIATIQUE VERS LA CROISSANCE POUR L'OCCIDENT. Η ΠΑΓΚΟΣΜΙΑ ΟΙΚΟΝΟΜΙΑ ΕΙΝΑΙ ΕΝΑ ΕΝΙΑΙΟ ΣΥΝΟΛΟ,ΨΥΧΟΣΩΜΑΤΙΚΟ.Η ΛΙΤΟΤΗΤΑ ΕΙΝΑΙ Ο ΔΡΟΜΟΣ ΓΙΑ ΤΗΝ ΑΝΑΠΤΥΞΗ ΤΗΣ ΔΥΣΗΣ
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Παρασκευή 9 Δεκεμβρίου 2011
Όταν ο Σαρκοζί δεν έδωσε το χέρι του στον Κάμερον...[βίντεο]
Τόσο οργισμένος ήταν ο Γάλλος πρόεδρος, Νικολά Σαρκοζί, με την άρνηση του Ντέιβιντ Κάμερον να δεχθεί το γαλλογερμανικό σχέδιο για τροποποίηση των Συνθηκών, που δεν μπόρεσε να κρύψει τον θυμό του ούτε μπροστά στην κάμερα!
Ο Ντέιβιντ Κάμερον βρέθηκε στον δρόμο του Νικολά Σαρκοζί, στην αίθουσα που πραγματοποιήθηκε η συνεδρίαση της Συνόδου Κορυφής.
Ο γάλλος Πρόεδρος όμως, όχι μόνο δεν έδωσε το χέρι του στον Βρετανό πρωθυπουργό, αλλά του γύρισε την πλάτη και στράφηκε προς τον Πρόεδρο της Κυπριακής Δημοκρατίας, Δημήτρη Χριστόφια, τον οποίο χαιρέτησε με μια πολύ θερμή χειραψία!
Ο Ντέιβιντ Κάμερον βρέθηκε στον δρόμο του Νικολά Σαρκοζί, στην αίθουσα που πραγματοποιήθηκε η συνεδρίαση της Συνόδου Κορυφής.
Ο γάλλος Πρόεδρος όμως, όχι μόνο δεν έδωσε το χέρι του στον Βρετανό πρωθυπουργό, αλλά του γύρισε την πλάτη και στράφηκε προς τον Πρόεδρο της Κυπριακής Δημοκρατίας, Δημήτρη Χριστόφια, τον οποίο χαιρέτησε με μια πολύ θερμή χειραψία!
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Σοκ! Aπελπισμένη μάνα έπεσε με το μωρό της στη θάλασσα!

Η τραγική μάνα με το παιδί σώθηκαν χάρη στην επέμβαση των περαστικών που την είδαν να αγκαλιάζει το γιο της και να πέφτει στα παγωμένα νερά στην περιοχή της Αλικαρνασσού. Η περίπτωσή της έχει συγκλονίσει λιμενικούς, αστυνομικούς αλλά και τους γιατρούς του ΠΑΓΝΗ, όπου νοσηλεύεται η ίδια και ο μόλις 2,5 ετών γιος της!
Αξίζει να σημειωθεί, πως δεν πρόκειται για κάποια γυναίκα με ψυχολογικά προβλήματα. Οι γιατροί του νοσοκομείου είναι σαφείς και ξεκαθαρίζουν πως η νεαρή γυναίκα από την Πολωνία, δεν αντιμετωπίζει κανένα απολύτως ψυχολογικό πρόβλημα, απλώς είναι απελπισμένη από την κατάσταση που βιώνει, όχι μόνο εκείνη, αλλά κυρίως το μικρό της παιδί, που δεν έχει χρήματα ούτε για να του προσφέρει τροφή!
Κάνε για να προλάβεις το μακελειό!
Μήνυμα στον Καραμανλή: «Φεύγεις ή πεθαίνεις»

Η απειλή δολοφονίας του πρώην πρωθυπουργού είναι πλέον γεγονός, όπως αποκαλύπτει ρεπορτάζ εβδομαδιαίου περιοδικού.
«Όλο εκείνο το διάστημα έζησα σε καραντίνα. Δεν πίστευα βεβαίως ότι θα δολοφονούσαν έναν πρωθυπουργό δυτικής χώρας», φέρεται να είπε, σύμφωνα με το περιοδικό, σε στενό του φίλο ο κ. Καραμανλής.
«Τα πάντα άλλαξαν στο καθημερινό πρόγραμμά μου. Δεν είπα τίποτα στη Νατάσσα αλλά κατάλαβε ότι ξαφνικά αυξήθηκαν τα μέτρα ασφαλείας μέσα και γύρω από σπίτι».
Ο Κωνσταντίνος Καραμανλής πέρασε »ομηρία» 242 ημερών, αφ’ ότου προειδοποιήθηκε ότι επίκειται η δολοφονία του λόγω της ανεξάρτητης ανάπτυξης ελληνορωσικών σχέσεων με επίκεντρο τους αγωγούς και της ελληνορωσική αμυντική συνεργασία.
Το βράδυ της 5ης Φεβρουαρίου 2009, ο τότε πολιτικός προϊστάμενος της ΕΥΠ, Προκόπης Παυλόπουλος του παρέδωσε τον φάκελο με τον εντοπισμό από τις ρωσικές μυστικές υπηρεσίες (FSB) του σχεδίου δολοφονίας τους.
Από τότε, ως το βράδυ της 4ης Οκτωβρίου της ίδιας χρονιάς όταν η ΝΔ έχασε στις εκλογές.

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Hallucinant ! Markus Kerber est l'un des premiers conseillers économique d'Angela Merkel il nous explique que la politique de Sarkozy est responsable de notr...
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RÉPUBLIQUE TCHÈQUE
Avec ou sans l’Europe, il faudra choisir
9 décembre 2011Presseurop
"L’UE est morte, vive la nouvelle UE, et où sont les Tchèques ?", s’exclame Hospodářské noviny en réaction au sommet européen qui s’est ouvert le 8 décembre. Le message est clair : l' Allemagne a imposé ce qu'elle voulait, la Grande-Bretagne est prête à sortir de l'Union, et la République tchèque et la Suède se sont réservées le droit de consulter leurs parlements nationaux avant d’adhérer au traité à 23 institutionalisant la discipline budgétaire, constate le quotidien pragois.
Etant donné le débat actuel sur l'intégration européenne en République tchèque, le chroniqueur Martin Ehl pointe le risque qu’une majorité penche vers l'opinion eurosceptique du président Václav Klaus. L'intérêt du pays, qui dépend économiquement de l’Allemagne, est pourtant d’ "être présente, de ne pas mettre de bâtons dans les roues et de rester proche de la source de l’information", estime Ehl.
Tôt ou tard, la réalité économique convaincra les politiciens tchèques de repenser leur attitude ‘europrudente’. Il ne sera plus possible de maintenir la position d'un passager clandestin, qui profite uniquement de ce dont il a envie – Soit la Tchèquie se retrouve isolée économiquement et politiquement comme la Hongrie (...) soit elle rattrape le train de la future prospérité européenne.
08 DÉCEMBRE 2011
L'Union, combien de divisions ?
• Un sommet « de la dernière chance » ?
« On danse au bord du gouffre et à force d’y danser on va finir par tomber dedans », soupire-t-on à l’Élysée. Mais personne n’imagine que l’euro soit menacé en tant que monnaie. Certes, les marchés financiers sont de plus en plus nerveux, les agences de notation menacent de dégrader toute la zone euro, le système financier européen est fragilisé par la crise, mais pour que l’euro s’effondre, il faudrait qu’un ou plusieurs pays aient intérêt à sortir de la monnaie unique. Or, tout le monde a fait ses calculs depuis deux ans que dure la crise et les gouvernements ainsi que la grande majorité des économistes sont persuadés qu’une sortie de la zone euro aurait des conséquences dramatiques pour le ou les pays qui tenteraient l’aventure.
Comme le dit Stéphane Déo, économiste en chef chez UBS, « l’euro, c’est comme la chanson Hôtel California : une fois entré, on ne peut plus en ressortir ». Tous les maux actuels dont souffrent une partie des économies européennes — désormais totalement imbriquées comme le souligne la menace de Standard & Poor’s de dégrader la zone euro dans son ensemble — à savoir un surendettement et une perte de compétitivité, ne seraient pas atténués par un retour à la monnaie nationale, mais amplifiés. En revanche, une absence de solution à la crise de la dette plongera à coup sûr la zone euro dans une profonde récession faute de pouvoir se financer sur les marchés, avec le risque d’un effondrement d’une partie de son système financier. En clair, un échec serait grave, mais ne condamnerait pas la zone euro.
• Quels sont les enjeux de ce sommet ?
« Les marchés ont besoin d’être rassurés » afin qu’ils investissent à nouveau dans une zone euro dont la pérennité et la croissance ne leur paraient plus assurés, souligne Laurence Boone, économiste en chef de Bank of America : « après deux ans, ils sont prêts à entendre un tel message pour peu que le plan qu’on leur présente soit crédible ». Et c’est bien là où le bât blesse : si sur le long terme, les pays de la zone euro sont d’accord pour créer une vraie « union budgétaire » impliquant à la fois une surveillance contraignante des budgets nationaux et des politiques économiques (fiscalité, emploi, retraite, sécurité sociale, compétitivité et donc politique salariale), ils sont en désaccord sur le court terme, c’est-à-dire sur les moyens de calmer les marchés en instituant une vraie solidarité financière afin de se donner le temps de purger les finances publiques et de faire converger les politiques économiques.
Mais Berlin, soutenue par Paris veut « constitutionnaliser », d’ici mars prochain, la quasi-totalité de ces nouvelles règles en les incluant dans les traités afin d’éviter qu’une majorité de circonstances ne les modifie comme en 2005 sous l’impulsion de Jacques Chirac et de Gerhard Schröder. L’Allemagne exige aussi que les traités obligent les États à introduire dans leur constitution nationale, sous la surveillance de la Cour de justice européenne, la fameuse « règle d’or », qui impose l’équilibre budgétaire, ce qui permettrait aux Cours constitutionnelles nationales de retoquer un budget qui ne serait pas en ligne. Dans une lettre commune qui récapitule ces exigences, envoyée hier à Herman Van Rompuy, le président du Conseil européen, Angela Merkel et Nicolas Sarkozy souhaitent aussi que la zone euro se dote de règles communes en matière de régulation financière, de marché du travail, de fiscalité (harmonisation de l’assiette de l’impôt sur les sociétés, taxe sur les transactions financières), de politique de soutien à la croissance et d’utilisation des aides régionales européennes.
En revanche, Berlin persiste à refuser toute solidarité financière au-delà du Fonds européen de stabilité financière (FESF) et du Mécanisme européen de stabilité (MES), son successeur : il n’est pas question de créer des obligations européennes, de transformer le MES en banque afin de lui permettre d’avoir accès aux liquidités de la Banque centrale européenne (BCE) ou de demander à cette dernière d’intervenir massivement sur le marché secondaire de la dette souveraine (celui de la revente). L’Allemagne s’est contenté de faire deux concessions à Paris : elle a renoncé à la restructuration automatique des dettes publiques pour les pays placés sous assistance financière et a accepté que le MES décide à la majorité renforcée.
• Quels sont les points de désaccord ?
Surtout, il n’est pas du tout acquis que la modification des traités que proposent Berlin et Paris, et que préconisent aussi les trois présidents, passe la rampe. En effet, la Grande-Bretagne veut profiter de l’occasion pour récupérer une partie des compétences actuellement dévolue à l’Union, en particulier dans le domaine des services financiers. David Cameron, le premier ministre britannique, a annoncé qu’il était prêt à se battre comme un « bouledogue »… D’autres pays eurosceptiques, comme la République tchèque ou la Suède, pourraient en profiter pour présenter leurs propres exigences. Aussi, Berlin et Paris sont déterminés à avancer au sein de la seule zone euro si nécessaire en concluant un traité ad hoc. Mais cette solution n’est pas simple, ni juridiquement, ni politiquement. En effet, dans ce cas, ce serait une union budgétaire qui ne pourrait pas avoir recours aux institutions communautaires et qui fonctionnerait sur le mode intergouvernemental. Or, de cela, les pays les plus fédéralistes (Italie, Espagne, Belgique ou encore Luxembourg) ne veulent pas, car cela reviendrait à remettre les clefs de la maison à « Merkozy ». On n’est pas couché…
Photos: Reuters
N.B: version longue de mon article paru ce matin dans Libération (la place, toujours la place...)
COMMENTAIRES
greek crisis: Le 52% et le dollar de Thésée
greek crisis: Le 52% et le dollar de Thésée: Tard dans la nuit d'hier, la majorité Papadémique a adopté le budget 2012. Sans mélodrames et encore en euros. Sur 299 députés présents, ...
Πίσω απ' την ευρωπαϊκή κρίση χρέους κρύβεται άλλη μια διάσωση της Wall Street

Την ίδια στιγμή, ωστόσο, μεγάλες αμερικανικές τράπεζες φρόντισαν να εκμεταλλευτούν την κατάσταση πουλώντας και αγοράζοντας ασφάλιστρα των ομολόγων που ξεφορτώθηκαν κερδίζοντας δισεκατομμύρια αλλά και ποντάροντας πως θα κέρδιζαν ακόμη περισσότερα στο μέλλον.
Τα στοιχεία για τα CDS που κατέχουν οι τράπεζες δε δημοσιεύονται και έτσι μπορεί κανείς να κάνει μόνο υποθέσεις ή να προσπαθήσει να βγάλει συμπεράσματα από τα σύνολο των CDS για κάθε χώρα.
Σε χτεσινή ομιλία του διευθυντή της JP Morgan ωστόσο έγινε η αποκάλυψη ότι η αμερικανική τράπεζα είναι εκτεθειμένη στην ευρωπαϊκή περιφέρεια με CDS ονομαστικής αξίας 100 δις δολαρίων τα οποία αγόρασε μετά το ξέσπασμα της ελληνικής κρίσης.
Μάλιστα ο διευθυντής της JP Morgan επιβεβαίωσε ότι η τράπεζα έχει στην κατοχή της και ελληνικά CDS. Τί θα γίνει, λοιπόν, στην περίπτωση μιας ελληνικής πτώχευσης; Αν σκεφτούμε πως γι' αυτό το σενάριο οι πιθανότητες με βάση τα CDS είναι της τάξης του 99% τότε η JP Morgan κυρίως ως πωλητής, δηλαδή ασφαλιστής CDS θα έπρεπε να πληρώσει τα ασφάλιστρα στους κατόχους των ελληνικών CDS και να καταγράψει ζημίες δισεκατομμυρίων.
Υπάρχει, όμως, μια λύση ώστε η JP Morgan να αποφύγει να πληρώσει έστω ένα δολάριο σε ασφάλιστρα έχοντας πρώτα κερδίσει δισεκατομμύρια από το εμπόριο τους: Η Ελλάδα να κάνει ελεγχόμενη αναδιάρθρωση έτσι ώστε τα CDS να μην ενεργοποιηθούν. Με άλλα λόγια αυτό ακριβώς που προσπαθεί η Γερμανία να πετύχει μέσω του PSI.
Το πρόβλημα, λοιπόν, δεν είναι να μειωθεί το ελληνικό χρέος και να βοηθηθεί η Ελλάδα μέσω του PSI. Αν ήταν αυτό το ζητούμενο τότε θα μπορούσε να γίνει ένα swap 30-50 ετών με επιτόκιο στο 2,5% και η Ελλάδα να αντάλλασσε παλιά ομόλογα ύψους 200 δις ευρώ με νέα, με τη στήριξη της Ευρωπαϊκής Ένωσης, ώστε τελικά και το χρέος της να πλήρωνε αλλά και να είχε όλο το χρόνο να αναδιαρθρώσει την οικονομία της χωρίς να απειληθεί με οικονομική καταστροφή όπως συμβαίνει σήμερα. Αν το Μεξικό δικαιούνταν να λάβει στήριξη από τις ΗΠΑ όταν βρέθηκε στα όρια της πτώχευσης τότε λογικά και η Ελλάδα θα έπρεπε να δικαιούται παρόμοια στήριξη.
Στην πραγματικότητα, όμως, το PSI προσπαθεί να εξασφαλίσει ότι οι αμερικανικές τράπεζες δε θα πληρώσουν ούτε ένα σεντ σε ασφάλιστρα ελληνικών ομολόγων, να μεταφέρει τις όποιες απώλειες στις ευρωπαϊκές τράπεζες, να δημιουργήσει ένα προηγούμενο μη ενεργοποίησης των CDS σε περίπτωση ελεγχόμενης πτώχευσης, να φροντίσει ώστε η αναδιάρθρωση να γίνει με τους καλύτερους δυνατούς όρους για τις τράπεζες και τελικά να παράσχει άλλο ένα σωσίβιο στη Wall Street χρεώνοντας τον ευρωπαϊκό τραπεζικό και κρατικό τομέα.
Η άμεση έκθεση των τραπεζών της Wall Street είναι της τάξης των 2,7 τρις δολαρίων, είπε σε συνέντευξη του στις 05 Οκτωβρίου ο πρώην υπουργός εργασίας των ΗΠΑ και καθηγητής πανεπιστημίου Robert Reich, προσθέτοντας “Πίσω απ' την ευρωπαϊκή κρίση κρύβεται άλλη μια διάσωση της Wall Street”.
Αυτή είναι ακόμη μια από τις καλά κρυμμένες πτυχές της μιας κρίσης που η ιστορία θα δείξει πως ήταν περισσότερο αμερικανική και ευρωπαϊκή παρά ελληνική, όπως οι Γερμανοί και Αμερικανικοί ηγέτες θέλουν να την παρουσιάσουν.
Πάνος Παναγιώτου
Επικεφαλής Χρηματιστηριακός Τεχνικός Αναλυτής
Xrimanews.gr, GSTA Ltd, WTAEC Ltd
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