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Τρίτη 20 Σεπτεμβρίου 2011

Economie et finance Les Européens divisés, la Grèce sous pression Le plan de 109 milliards d'euros continue de faire débat pendant qu'Athènes peine à convaincre de l'efficacité des mesures d'austérité qu'elle égraine depuis plusieurs mois. 19/09/2011 Jean-Claude Juncker, Timothy Geithner, dette grecque, FESF PartagerTweeterLinkedIn Imprimer Envoyer par email 1 commentaire© Droits réservés / Présidence polonaise de l'UE Documents officiels Conseil de l'Union européenne Communiqué des ministres des Finances (Conseil des 15 et 16 septembre) Le climat d’urgence ne les a pas incités à dépasser leurs divergences. Réunis les 15 et 16 septembre à Wroclaw, en Pologne, les ministres des Finances européens ont certes réussi à trancher la question de la gouvernance économique mais ne sont pas parvenus à trouver un terrain d’entente sur les «collatéraux», ces fameuses garanties que plusieurs pays, Finlande en tête, réclament à la Grèce en échange du deuxième plan de sauvetage décidé le 21 juillet. Les paiements directs sont d’ores et déjà exclus, mais d’autres solutions, comme des prises de participation dans des entreprises grecques, pourraient jeter les bases d’un futur accord. Nouveau plan d'assainissement Mais à ce jour, les conditions de l’intervention des bailleurs publics (UE et FMI), dont le nouvel appui à la Grèce s’élèverait à 109 milliards d’euros, sont remises à plus tard. Tout comme l’octroi des 8 milliards d’euros correspondant à la sixième tranche du paquet de 110 milliards adopté au printemps 2010. Ce renflouement est pourtant indispensable au remboursement des emprunts grecs arrivant à échéance le mois prochain.   Athènes se dit pourtant prête à répondre aux exigences imposées par l’UE, le FMI et la BCE. Le 19 septembre, le ministre des Finances Evangelos Venizelos a prévu d’annoncer un nouveau plan d'assainissement des comptes publics. La semaine dernière, Athènes avait annoncé la mise en place d’une taxe immobilière censée rapporter 2 milliards d’euros par an. « La troïka pense que (cette) taxe ne suffira pas à combler le déficit budgétaire et fait pression en faveur de mesures d'économie, de réduction des effectifs et des salaires dans le secteur public", a expliqué un haut fonctionnaire grec. "Petits calculs" Face aux divisions persistantes qui minent l’UE, Jacques Delors ne cache pas sa colère et décrie les "petits calculs" auxquels se livrent les dirigeants européens. Pour l'ancien président de la Commission européenne interrogé par RTL ce week end, le dernier Conseil n'a pas signé "la misère de la politique mais la misère des politiques". Des craintes partagées par les Etats-Unis.  "Il est très dommage de constater qu'un conflit existe entre les gouvernements et la Banque centrale européenne. Tout le monde doit travailler ensemble afin d'éviter des risques catastrophiques pour les marchés financiers", a déploré Timothy Geithner, secrétaire au Trésor américain invité exceptionnellement à la table des négociations. Discussions avec Obama  Depuis quelques semaines, Washington ronge son frein, appelant à l’augmentation des capacités du Fonds européen de stabilité financière, sans pour autant parvenir à ses fins. "Nous ne discutons pas de l'augmentation de la taille du FESF avec un pays non membre de la zone euro", a laché Jean-Claude Juncker, ministre des Finances luxembourgeois et président de l'Eurogroupe. Si les injonctions américaines n’ont pas été bien reçues, les Etats-Unis ont semé le trouble en écartant le projet de taxe sur les transactions financières qui semble de plus en plus compromis à quelques semaines du G20 de Cannes. La discussion entamée avec Timothy Geithner devrait se poursuivre avec le président américain Barack Obama, qui a prévu de rencontrer ses homologues européens cette semaine, en marge de l'Assemblée générale de l'ONU qui se tient à New-York.

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