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Τρίτη 13 Σεπτεμβρίου 2011


françaises piégées par la Grèce

Les banques françaises se sont écroulées lundi en bourse, perdant jusqu'à 10% de leur valeur. Les épargnants sont inquiets.
Les banques ont subi de plein fouet la menace d’une dégradation de leur note par l’agence d’évaluation Moody’s
Les banques ont subi de plein fouet la menace d’une dégradation de leur note par l’agence d’évaluation Moody’s MaxPPP
François Baroin l’a encore assuré lundi : nos banques peuvent « faire face » à tout « scénario grec » et « n’ont pas de problèmes de liquidités ou de solvabilité ». Le message insistant du ministre des Finances n’a pas empêché une nouvelle séance de massacre sur les marchés financiers. Le CAC 40 a perdu 4,03 % à 2854,81 points, son plus bas niveau depuis avril 2009. Parmi les principales victimes, BNP Paribas (– 12,35 %), la Société générale (– 10,75 %) et le Crédit agricole (– 10,64 %).
Plombées par les craintes d’une faillite de la Grèce, les banques ont subi de plein fouet la menace d’une dégradation de leur note par l’agence d’évaluation Moody’s. Le président de la Banque centrale européenne, Jean-Claude Trichet, a tenté de dédramatiser cette journée noire en s’engageant « à fournir aux banques les liquidités demandées » en « quantité illimitée ». Mais aucun appel au calme ne semble désormais en mesure d’enrayer la peur panique des investisseurs. Malgré l’annonce d’un plan d’économies assorti de suppressions d’emplois, le titre de la Société générale a clos à 15,57 €… du jamais-vu depuis 1991. Considérée comme l’établissement bancaire français le plus fragile, la banque de la Défense a vu sa valeur fondre de 60 % depuis juillet.

Réunion d’urgence mercredi

Dans ce contexte sans précédent, les solutions les plus folles deviennent envisageables. A commencer par une nationalisation partielle des banques françaises, prônée par certains hommes politiques et par plusieurs experts.Une mesure radicale que le gouvernement a tenu à écarter. « Cela me paraît totalement prématuré et à côté du sujet aujourd’hui d’évoquer cette hypothèse », a réagi le ministre de l’Industrie, Eric Besson. La suite de la semaine s’annonce cruciale. Selon la presse grecque, le Fonds monétaire international doit se réunir en urgence demain, dans l’espoir de trouver un remède miracle contre l’aggravation brutale de la crise.

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