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Πέμπτη 7 Ιουνίου 2012

UE : Merkel prête au "big-bang" Le Monde.fr avec AFP | 07.06.2012 à 10h01 • Mis à jour le 07.06.2012 à 10h01

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La chancelière allemande, Angela Merkel, a déclaré, jeudi 7 juin au matin, qu'elle souhaitait travailler à une "union politique" en Europe, quitte à accepter l'idée d'une Europe à deux vitesses si certains pays bloquent.

"Nous avons besoin de plus d'Europe (...), d'une union budgétaire (...), et nous avons besoin avant tout d'une union politique. Nous devons, pas à pas, abandonner des compétences à l'Europe", a-t-elle déclaré à ARD-Morgenmagazin. Mais "nous ne devons pas rester immobiles, parce que l'un ou l'autre (pays) ne veut pas encore suivre", a-t-elle ajouté.

Mme Merkel essaie aussi de tempérer les attentes autour du sommet de l'Union européenne prévu à la fin de juin. Elle explique qu'elle ne croit pas "qu'il y ait un seul sommet capable de tout régler d'un coup", soulignant qu'elle voulait proposer au sommet de juin un programme de travail avec l'objectif d'une union politique.

PRESSIONS AMÉRICAINES

Barack Obama multiplie les contacts avec ses partenaires européens pour les inciter à adopter un "plan immédiat" afin de résoudre la crise de la zone euro, dont il craint qu'elle n'ait des répercussions sur l'économie américaine, à cinq mois de la présidentielle.

Mardi et mercredi, le président américain s'est successivement entretenu avec le premier ministre britannique, David Cameron, la chancelière allemande, Angela Merkel, et le président du Conseil italien, Mario Monti, pour parler de cette crise, à deux semaines du sommet du G20 au Mexique.

La tourmente financière en Europe a aussi figuré au menu d'un entretien téléphonique mercredi entre le secrétaire américain au Trésor, Timothy Geithner, et le vice-premier ministre chinois chargé de l'économie, Wang Qishan, selon l'administration américaine.

M. Obama a essuyé un revers vendredi dernier avec la publication de chiffres du chômage médiocres pour mai et une révision à la baisse des créations d'emploi en avril, de mauvais augure pour ses chances de réélection dans cinq mois jour pour jour alors que l'économie américaine n'a pas encore surmonté les effets de la récession de 2007-2009. Le président a attribué cette mauvaise performance aux "vents contraires" venus de la zone euro, où la croissance est désormais nulle et où le chômage atteint 11 % en moyenne. L'UE est le premier client des Etats-Unis à l'exportation.

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