Les problèmes liés à la dette en Europe vont perdurer 2 à 3 ans (Regling)
Les problèmes économiques engendrés par la dette dans la zone euro vont durer encore deux ou trois ans et des problèmes subsisteront à long terme, a estimé samedi à Pékin Klaus Regling, le directeur du Fonds européen de stabilité financière (FESF).
Sa remarque suggère qu'il reste une long chemin à l'Europe pour sortir la crise de la dette, même après un sommet de l'Union européenne pour impulser des solutions capables d'en venir à bout, selon Dow Jones Newswires.
"Je pense que les problèmes européens seront bien traités et réglés dans les prochaines deux ou trois années" a déclaré M. Regling lors d'une conférence à l'université Tsinghua de Pékin, selon cette agence.
"Mais cela ne signifie pas que tous les problèmes dans ce monde auront disparu, a-t-il ajouté en évoquant des défis à plus long terme.
Parmi ceux-ci, un important changement de structure sur les marchés financiers entraînés par l'appel préjudiciable à la dette souveraine parmi les investisseurs et aussi l'amélioration de la compétitivité de certains pays, a-t-il déclaré.
"La dette souveraine qui pendant des décennies ou des siècles a représenté le principal atout sans risque pourrait perdre ce statut, non seulement en Europe mais aussi ailleurs dans le monde, selon le directeur du FESF.
M. Regling est arrivé en Chine au lendemain de l'annonce des mesures pour lutter contre la dette comprenant une augmentation de la puissance de feu du Fonds.
Il a déclaré être en Chine pour "entendre les investisseurs potentiels" et avoir leur point de vue sur les efforts de l'Union européenne et il a estimé vendredi ses entretiens "productifs" et "amicaux".
Vendredi la Chine avait demandé plus de clarté avant d'investir dans le Fonds de secours, tempérant le fait qu'elle soit décidée à aider l'Europe à surmonter la crise. M. Regling souhaitait recueillir auprès de ses hôtes une déclaration ferme à ce propos qui n'est pas intervenue publiquement.
M. Regling avait indiqué vendredi: "Il n'y a pas de négociations en cours avec la Chine" sur des investissements chinois dans le Fonds européen de stabilité financière, évoquant seulement "des consultation régulières".
Selon des diplomates européens, Pékin serait prêt à abonder le FESF, mais aucun responsable chinois n'a pour l'instant confirmé cette information.
"La Chine pourrait être désireuse de contribuer à hauteur de 50 à 100 milliards de dollars au FESF ou à un fonds nouveau monté sous sa houlette en collaboration avec le FMI, écrivait vendredi le Financial Times, citant une source proche du gouvernement chinois.
Selon des médias chinois gouvernementaux, l'Europe doit prendre sa responsabilité dans la crise (de la dette en zone euro) et ne pas s'appuyer sur des "bons Samaritains" pour sauver le continent de ses déboires financiers.
Sa remarque suggère qu'il reste une long chemin à l'Europe pour sortir la crise de la dette, même après un sommet de l'Union européenne pour impulser des solutions capables d'en venir à bout, selon Dow Jones Newswires.
"Je pense que les problèmes européens seront bien traités et réglés dans les prochaines deux ou trois années" a déclaré M. Regling lors d'une conférence à l'université Tsinghua de Pékin, selon cette agence.
"Mais cela ne signifie pas que tous les problèmes dans ce monde auront disparu, a-t-il ajouté en évoquant des défis à plus long terme.
Parmi ceux-ci, un important changement de structure sur les marchés financiers entraînés par l'appel préjudiciable à la dette souveraine parmi les investisseurs et aussi l'amélioration de la compétitivité de certains pays, a-t-il déclaré.
"La dette souveraine qui pendant des décennies ou des siècles a représenté le principal atout sans risque pourrait perdre ce statut, non seulement en Europe mais aussi ailleurs dans le monde, selon le directeur du FESF.
M. Regling est arrivé en Chine au lendemain de l'annonce des mesures pour lutter contre la dette comprenant une augmentation de la puissance de feu du Fonds.
Il a déclaré être en Chine pour "entendre les investisseurs potentiels" et avoir leur point de vue sur les efforts de l'Union européenne et il a estimé vendredi ses entretiens "productifs" et "amicaux".
Vendredi la Chine avait demandé plus de clarté avant d'investir dans le Fonds de secours, tempérant le fait qu'elle soit décidée à aider l'Europe à surmonter la crise. M. Regling souhaitait recueillir auprès de ses hôtes une déclaration ferme à ce propos qui n'est pas intervenue publiquement.
M. Regling avait indiqué vendredi: "Il n'y a pas de négociations en cours avec la Chine" sur des investissements chinois dans le Fonds européen de stabilité financière, évoquant seulement "des consultation régulières".
Selon des diplomates européens, Pékin serait prêt à abonder le FESF, mais aucun responsable chinois n'a pour l'instant confirmé cette information.
"La Chine pourrait être désireuse de contribuer à hauteur de 50 à 100 milliards de dollars au FESF ou à un fonds nouveau monté sous sa houlette en collaboration avec le FMI, écrivait vendredi le Financial Times, citant une source proche du gouvernement chinois.
Selon des médias chinois gouvernementaux, l'Europe doit prendre sa responsabilité dans la crise (de la dette en zone euro) et ne pas s'appuyer sur des "bons Samaritains" pour sauver le continent de ses déboires financiers.
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