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Παρασκευή 25 Ιανουαρίου 2013


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L'IDÉE DE LA SANTÉ CRÉE LA SANTÉ
Cette citation pourrait être le « E = MC² » de la santé, non pas de Einstein mais de Joseph Murphy, célèbre auteur de nombreux ouvrages sur la pensée positive, et qui ajoute malicieusement « COMMENT VOUS SENTEZ-VOUS ? »….. (Euh, moi bien, très bien !)
Quant à moi, je me contenterai, dans un souci purement pédagogique, d’énoncer la réciproque : « L’idée de la maladie crée la maladie – COMMENT VOUS SENTEZ-VOUS ? »……  (Euh, bof !)
Pour illustrer la véracité de ce postulat, je vais vous dévoiler quelques études secrètes baptisées « Le secret 40 » qui ont été effectuées dans des camps de prisonniers politiques sous l’égide d’un grand homme diabolique – Staline – sur de la « marchandise humaine » librement consommable :
Trois groupes de personnes ont reçu à boire de l’eau infestée de bactéries du choléra. 
  • Le premier groupe n’en a pas été informé – il n’y eut aucun mort
  • Le  second groupe en a ensuite été informé – presque tous sont morts
  • Au  troisième groupe qui en avait d’abord été informé, on a dit ensuite que ce n’était pas vrai – plus de la moitié sont morts.
Beaucoup d’autres expériences aussi brutales ont été réalisées, mais aucun gouvernement ne les a rendues publiques, car ce serait reconnaître qu’il y a participé.
Dans un cadre civil cette fois, une autre étude ancienne a été racontée par un vieux médecin allemand :
On expliqua à des personnes en bonne santé qu’elles avaient des problèmes d’estomac, et que l’on désirait voir cela de plus près. On divisa alors les patients en deux groupes :
Après quelques investigations simples, on déclara au premier groupe que finalement tout allait bien.
Quant au second groupe, on expliqua que l’on avait trouvé quelque chose, mais que cela n’était pas grave et sera facilement traité à l’aide de médicaments. On ajouta qu’ils ne devaient pas s’alarmer si de l’eczéma apparaissait.
Résultats :
Un tiers du premier groupe à qui l’on avait dit que, finalement, ils étaient en bonne santé, tomba malade. Ce tiers était en fait composé de personnes méfiantes qui ne crurent pas les médecins quant à leur bonne santé.
Concernant le second groupe, presque tous eurent l’eczéma promis, et 20% d’entre eux développèrent des tumeurs gastriques allant jusqu’au cancer, et tous sont longtemps restés malades.
Je rappelle que tous étaient au départ en parfaite santé !
Mais retournons dans les annales à la Frankenstein de Sibérie afin de montrer que l’on peut inculquer n’importe quelle maladie à (presque) n’importe qui. Parmi les centaines d’études relevées, l’une a consisté à modifier la composition du sang.
A des  « sujets d’expérience » relativement en bonne santé, on expliqua qu’ils étaient atteints d’une leucémie en phase terminale. On divisa ces pauvres cobayes en deux groupes :
  • Au premier groupe, on expliqua qu’il était trop tard pour un quelconque  traitement.
  • A ceux du second groupe, il fut appliqué des doses létales de radioactivité.
  • Or, ce fut ceux du premier groupe qui moururent en premier….
Oui, on peut être tué simplement avec des mots qui vous injectent un programme de mort. Réfléchissez à ce qu’un médecin fait à son patient quand il lui annonce qu’il a un cancer. Le mot CANCER déclenche automatiquement un concept obsessionnel SOUFFRANCE - MORT qui va dorénavant mobiliser toute l’énergie de la personne pour construire l’issue fatale en fonction de l’intensité du facteur n° 1 : LA PEUR. Retenez bien ceci : 
Plus vous avez peur, plus vous construisez la maladie
Toutes les expérimentations « inavouables » confirment ceci :
Les gens agressifs qui n’ont pas peur sont les plus difficiles à tuer avec des mots.
Les plus influençables, les obéissants, sont les plus faciles à rendre malades, mais d’un autre côté, sous des influences positives, ils sont plus faciles à guérir.
Mais ceci nous ramène une fois de plus à la clef magique de la « Loi d’attraction » dont je rappelle le principe :
Chacun de nous génère en permanence, telle une balise radio, de la pensée rayonnante. Ce signal monte percuter la trame morphogénique (sorte de réseau GSM psychique à 100 km autour de la planète) qui le réfléchit amplifié vers vous à la manière d’un radar. Il résulte de cela que chaque pensée entretenue, répétitive, voire obsessionnelle est une commande à l’univers. C’est ainsi que :
- Si vous pensez sans cesse à vos maladies, la trame dans le but de satisfaire votre commande vous renvoie le téléchargement de votre programme amplifié : « encore plus malade, encore plus malade….. »
- Si vous pensez sans cesse à votre tristesse ou à votre solitude, la trame pour vous servir vous renverra : « encore plus de tristesse, encore plus de solitude……. »
- Etc.
C’est un piège infernal dans lequel nous tombons tous plus ou moins lors de nos fragilités, un piège qui nous tire toujours plus vers le fond de nos problèmes.
Alors, le secret est de renverser la vapeur, il le faut absolument pour sortir du trou, même si cela parait difficile, en s’obligeant à penser  en images et même en émotion au moins 2 à 3 fois par jour à SANTE PARFAITE – GUERISON TOTALE– ou BONHEUR DE VIVRE – ABONDANCE - CHANCE……etc.
C’est un bras de fer du positif contre le négatif où l’on refuse de jouer avec les pièges de la vie qui nous sont tendus. Il faut insister le temps qu’il faut en jours ou en semaines, et çà marche toujours !
Si vous prenez acte de ces choses, vous pourrez vraiment piloter votre vie contre vents et marées.
Michel Dogna
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EXTRAIT DE PÉPINS DE PAMPLEMOUSSE :
CET ANTIBIOTIQUE NATUREL SERA-T-IL VICTIME DE SON SUCCÈS ?

L’extrait de pépin de pamplemousse (EPP) est considéré depuis une quinzaine d’années comme le meilleur antibiotique naturel. Et l’on a raison de le considérer comme tel. Depuis les travaux du Dr Jacob Harich qui l’ont popularisé dans les années 80/90, on n’a pas trouvé mieux. Cette histoire serait merveilleuse si le succès de cette médication n’avait rapidement attiré des escrocs et des margoulins de toutes espèces à l’affût d’un marché juteux...

Un incroyable antibiotique, d’une simplicité biblique

Comme on peut le lire dans le livre Secrets et Merveilles du Pamplemousse (aux Ed. Médicis), l’un des nombreux ouvrages qui ont été consacrés au sujet depuis le début des années 90, l’’huile de pépin de pamplemousse a un effet équivalent ou supérieur aux antibiotiques et antimycotiques les plus puissants. Cela a été prouvé par des équipes de recherches internationales lors de tests comparatifs.
L’EPP présente de plus une action rapide, sans affaiblir le système immunitaire (au contraire, il le soutient).
Avant de l’utiliser, rappelez-vous qu’il s’utilise toujours dilué et qu’il doit être évité sur les yeux.

En usage interne, il est efficace aussi bien en prévention qu’en traitement d’attaque pour toutes les infections, particulièrement :
  • Les infections du système digestif, intoxications alimentaires, diarrhées, maladies parasitaires…
  • Les ulcères de l’estomac et du duodénum (il tue Helicobacter pylori),
  • Le Candida albicans, les candidoses et autres mycoses.
  • Le rhume, les infections de la sphère ORL en général, la grippe, les affections bronchiques …
  • Les infections urinaires et cystites.
  • La fatigue chronique et l’affaiblissement immunitaire.
  • Les allergies (car il est aussi hypoallergène).
En usage externe, l’EPP est aussi un recours dans bien des situations :
  • La bouche : aphtes, herpès des lèvres, muguet, gingivite…
  • La peau : acné, dermatites, psoriasis mais aussi petites coupures ou brûlures, piqûre d’insectes, verrues, mycoses…
  • Les cheveux : pellicules, démangeaisons du cuir chevelu, poux…
  • Les pieds : eczéma des orteils, verrues plantaires, infections à champignons.
  • Les ongles : onychomycose, panaris.
  • Les organes génitaux : vaginite, infections vaginales, parasites…
Pourtant, à l’expérience, il y a de quoi douter
Malgré la réputation justifiéee de l’EPP, il m’est arrivé moi-même, ces dernières années, de douter de ses vertus. Pendant longtemps, j’ai essayé plusieurs marques sur moi-même et sur ma fille et je ne constatais aucun effet. J’ai ainsi tenté de guérir des rhumes, je l'ai essayé pour traiter un petit champignon entre les orteils. Mais rien… Peut-être cela vous est-il arrivé aussi !

Un jour pourtant, j’ai trouvé un produit qui semblait fonctionner. J’en ai appliqué sur une piqure d'araignée qui s'infectait… Et là, ça m’a d'abord chatouillé fort puis tout a disparu. Alors j'ai compris qu'il y avait différentes qualités d'EPP et je me suis posé la question : à quoi peut-on reconnaître un bon EPP ?

On n’y comprend plus rien sur les étiquettes

Pas facile de s’y retrouver. Les dosages, comme les prix, varient du simple au triple et les qualités s’avèrent très inégales, certains produits étant même totalement inefficaces ou bien dangereux.

Sur les étiquettes, on lit parfois « enrichi en bioflavonoïdes » ou « en vitamine C ». Ou encore « à base de pépins et d’écorces » ou « de pépins et de pulpe »… 
Quant à la fabrication, le plus souvent non divulguée, elle reste mystérieuse et l’on trouve même de l’EPP sous forme de comprimés ou à usage cosmétique.

De nombreuses fraudes signalées

À plusieurs reprises, dans les années 2000, des scientifiques, allemands, suisses et japonais, ont prouvé que certains EPP n’étaient pas si naturels que ça (1) : dans plusieurs d’entre eux a été détecté la présence en quantité non négligeable d’antibiotiques et de conservateurs industriels comme du chlorure de benzéthonium (un ammonium quaternaire toxique), du chlorure de benzalkonium (idem), du triclosan (un composé organochloré) et du methyl paraben.
En Suisse, suite à une étude des laboratoires cantonaux de Bâle mettant en évidence la présence de hautes concentrations de chlorure de benzéthonium dans des EPP (7 produits sur les 9 étudiés étaient contaminés !), plusieurs marques ont même été retirées du marché au début des années 2000.

Avec du chlorure de benzéthonium, vous pouvez remplacer n’importe quel EPP par de la Vache qui Rit ou de la confiture de groseille : le résultat sera aussi époustouflant !

Une légende merveilleuse... bien qu'écornée

Vous connaissez certainement cette histoire désormais légendaire : un jour de 1980, Jacob Harich, médecin et physicien émigré aux Etats-Unis,  jardinier à ses heures, remarqua que les pépins de pamplemousse ne pourrissaient pas sur son compost. Il les étudia alors dans son laboratoire où il apparut rapidement que les graines de pamplemousse recélaient une substance biocide à la fois plus puissante et moins nocive que tout antibiotique…
Mais les bricolages frauduleux subis par le produit ont amené les scientifiques officiels à conclure que l’EPP, seul, n’avait aucune activité antibactérienne (2).
Je ne suis pourtant pas le seul à avoir expérimenté avec succès l’EPP et il s’agissait bien d’un authentique EPP, pur, « sans chlorure de benzéthonium » comme indiqué sur le flacon. On ne peut donc pas contester que ce produit possède de vraies vertus.

D’ailleurs, les cultivateurs bio font grand usage de l’EPP

La preuve en est que ses propriétés sont largement mises à profit en agriculture biologique, en jardinage (on l’utilise contre les moisissures, le mildiou, les limaces, les pucerons) et dans les élevages (on soigne ainsi les animaux souffrant d’infections à champignons, on s’en sert pour nettoyer le pis des vaches, les cages et les stalles…).

Alors si la méfiance s’impose face à la floraison actuelle de marques et sous-marques et face à certaines pratiques, compte-tenu de ces arguments et de nos expériences respectives, l’EPP reste un excellent produit qu’il faut simplement savoir bien choisir. 

Des études rassurantes... enfin !

Les troublantes constatations d’une partie du monde scientifique ont forcément nourri une trépidante controverse, toujours en cours ; autour de l’ammonium quaternaire (3). Mais il faut savoir que l’EPP n’a pas que des détracteurs chez les chercheurs : de très sérieuses études ont récemment confirmé les premiers travaux menés dans les années 90 (notamment à l’Institut Pasteur) sur les propriétés bactéricides du pépin de pamplemousse (4). 

L’étude citée plus haut a ainsi confirmé que l’action de l’EPP s’étend à environ 800 souches de bactéries et virus, une centaine de souches de champignons, ainsi qu’à un très grand nombre de parasites unicellulaires. L’extrait de pépin agit en désorganisant la membrane cytoplasmique et mitochondriale des micro-organismes.

Avantage imparable par rapport aux antibiotiques chimiques : l’EPP inhibe les bactéries nocives au niveau intestinal mais ne touche pas les indispensables bifidus et ne diminue que très peu les lacto-bactéries. Globalement, l’ensemble de la flore s’en trouve améliorée.

Intéressons-nous au procédé de fabrication industriel standard

L’EPP est normalement produit à partir des pépins du Citrus paradisi, autrement dit le gros pamplemousse originel encore appelé « pomélo ». Certains fabricants utilisent toutefois Citrus grandis, plus petit et plus courant chez nous ou Citrus maxima.
Le plus souvent, on vous propose un extrait hydro-glycériné ou hydro-alcoolique sur la base d’une extraction à sec. Grosso modo :
  • Les pépins sont séchés et réduits en poudre.
  • Cette poudre est ensuite dissoute dans de l’eau pure et distillée (pour éliminer les fibres et la pectine).
  • Une autre opération de séchage permet d’obtenir une poudre concentrée.
  • Ce concentré est mélangé à un solvant (glycérine ou alcool) et à de l’eau puis chauffé sous haute pression.
  • Puis il est refroidi, filtré et traité aux U.V.
Américains ou Chinois fournissent les marchands
Mais dans les faits, on ne sait pas comment est précisément fabriqué l’EPP. Car la réalité, c’est que si l’on trouve une myriade de marchands français, il existe très peu de vrais fabricants dans l’Hexagone : la matière première est le plus souvent importée sous forme liquide. D’où vient-elle ? Les principaux fabricants sont américains, chinois et, dans le meilleur des cas (je veux dire le plus traçable), allemands.
Difficile de vérifier la qualité de l’extrait originel dans ces conditions, facile de tomber sur un extrait fabriqué à partir de n’importe quel pamplemousse… Et ça, les marchands d’EPP concernés se gardent bien de nous le dire.

En plus, l’EPP est maintenant au centre d’une nouvelle bataille commerciale où tous les coups sont permis. Voilà décidément une histoire à rebondissement…

La guerre des bioflavonoïdes

Même si certains fabricants font valoir des procédés d’extraction plus sophistiqués (extraction à froid, sous vide, par pression, dépression, percolation, hyperfréquence et tutti quanti), le principe de fabrication est le même partout ou presque.
C’est ainsi que la norme est d’utiliser 20% en moyenne d’extrait de pépins de pamplemousse pur (pour obtenir un produit suffisamment liquide), ce qui donne au final un EPP qui titre à 400 mg de bioflavonoïdes pour 100 ml de produit.

Comment expliquer alors que l’on trouve des EPP à 800, 1 000 ou 1 200 mg de bioflavonoïdes pour 100 ml ? C’est à qui proposera le plus…

Les petits calculs des marchands d’EPP

Tout dépend en fait de la méthode de mesure utilisée.
Il existe en effet deux techniques d’analyse quantitative des molécules :
- la chromatographie en phase liquide à haute performance (CLHP ou HPLC en anglais), la plus précise.
- le test U.V. (l’absorption U.V. visible).
  
Or le même extrait donnera pas exemple un résultat de 100 mg en HPLC et de 300 mg par la méthode U.V., soit 3 fois plus.

Si l’on vous annonce 1 200 mg, c’est que l’on a utilisé la méthode d’analyse U.V., 3 fois plus avantageuse dans la mesure où elle quantifie tous les composants de l’extrait et pas seulement les bioflavonoïdes.
Ainsi, un EPP titré à 800 mg selon la méthodologie U.V. contient en réalité moins de 300 mg de bioflavonoïdes.

A moins que l’on ait rajouté artificiellement des flavonoïdes (d’où viennent-ils ?) dans le produit, ou l’écorce ou le péricarpe (l’enveloppe superficielle du fruit), ce qui se pratique aussi allègrement.

Autant vous le dire tout de suite : cette astuce commerciale, comme celle qui consiste à rajouter de la vitamine C naturelle ou de synthèse, ne présente aucun intérêt, l’extrait de pépin se suffisant pour ce qui nous intéresse : son action antibiotique. Et cette action dépend des bioflavonoïdes, des composés phénoliques qui sont de puissants antioxydants et qui constituent aussi les défenses immunitaires des plantes contre les parasites, les bactéries, la lumière, etc.

Quant au péricarpe, rien n’indique qu’il ait un effet antibactérien mais pour des raisons qui m’échappent, on m’explique qu’il permet d’obtenir plus facilement la mention bio…
Faut-il préférer le bio ?

Faut-il privilégier un EPP bio ? Pas forcément. Bien sûr, on évitera ainsi les extraits produits à partir de pamplemousses à jus de culture intensive, et par conséquent les traces d’intrants. Mais l’on en paiera le prix, pour une différence qui, en l’espèce, n’est pas déterminante. 

Car la meilleure filière qui soit, reste celle du pamplemousse originel, sauvage, à savoir le Citrus paradisi provenant d’Asie. Ce sont les gros pépins de ce pamplemousse qui ont été étudiés. Et sauf exceptions, ce pamplemousse sauvage peut difficilement accéder à un label.

Alors comment choisir sans se tromper ?

Avant de sortir votre porte-monnaie, avant de craquer sur un prix alléchant, vérifiez autant que possible les points suivants :
  • la traçabilité du produit : assurez-vous qu’il s’agit bien de pépins de Citrus paradisi.
  • Privilégiez les extraits ou macérats obtenus sans solvant chimique, sans alcool et de préférence avec de la glycérine végétale, sans pulpe ou péricarpe, sans ajout de bioflavonoïdes ou de vitamine C.
  • Choisissez de préférence la forme liquide, a priori plus pure et plus efficace que les comprimés.
  • Vérifiez qu’il n’y ait aucun additif autre qu’un conservateur inoffensif et surtout pas, évidemment, de chlorure de benzéthonium.
  • Méfiez-vous surtout des importations bon marché, souvent identifiables à leur contenance bizarre (30 ml par exemple) ou à leur goût très amer (l’EPP ne doit être que très légèrement amer voire pas du tout) ou bien des marchands Internet implantés à l’étranger.
Enfin des formules fiables !

A force de chercher la meilleure formule possible, j’ai fini par en trouver une - ce qui n'exclut pas, bien entendu, qu'il y en ait d'autres. Elle répond, bien sûr, aux critères énoncés ci-dessus mais en plus, elle est issue d’une fabrication française, assez rare, basée sur une macération et non sur une poudre de pépins. Vous pourrez vous la procurer en suivant ce lien.

Les pépins importés d’Asie, entiers, sont mis en macération dans un mélange d’eau et de glycérine à raison de 20 g de pépins pour 100 ml. A travers des opérations de macération successives, on extrait ainsi l’ensemble des principes actifs et « non actifs » (ou considérés comme tels) du pépin et on obtient un produit concentré huileux naturellement titré à 400 mg de bioflavonoïdes. A ce taux là, on estime que l’action est déjà optimum.
Au final, avec cet EPP basé sur le totum, notre organisme bénéficie de tous les principes du pépin : il filtrera ce dont il aura réellement besoin et éliminera le reste.

Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ? Tout est entièrement naturel dans ces EPP, excepté bien sûr le conservateur, qui peut être du sorbate de potassium par exemple, inoffensif. La fabrication est, de fait, contrôlée de A à Z. Ce type de produit ne court pas les rayons des boutiques mais il en existe bel et bien chez certains petits laboratoires.

Passez un hiver tranquille !

N’hésitez pas à préférer la qualité au prix et à faire une bonne cure préventive d’EPP. L’authentique EPP a fait ses preuves et il est dépourvu de toute toxicité, même en cas de dépassement des doses conseillées.

C’est en particulier un excellent préventif des maux hivernaux et sa seule contre-indication sérieuse s’adresse aux rares personnes allergiques aux agrumes.

Prenez soin de vous.

Dominique Vialard

Sources :
(1) Identification of Benzethonium Chloride in Commercial Grapefruit Seed   Extracts – Takeoka et al. J. Agric. Food Chem. 2001, 49, 3316-3320.
Cosmetics and grapefruit seed extracts / quaternary ammonium compounds - 2004 - Kant. Laboratorium BS.

(2) Aspects of the Antimicrobial Efficacy of Grapefruit Seed Extract and Its Relation to Preservative Substances Contained. - von Woedtke et al. Pharmazie. 1999 Jun ; 54(6):452-6.

(3) Selon quelques sources scientifiques, les polyphénols du pépin de pamplemousse seraient convertis durant l’opération d’extraction (par une réaction chimique spontanée) en un ammonium quaternaire, l’hydroxybenzene diphenol (du triclosan en fait). La présence de ce composé en petite quantité dans le produit final serait donc plus ou moins naturelle (le procédé d’extraction étant, on l’a vu, souvent industriel) et expliquerait l’action antibactérienne de l’EPP. Mais en l’état de la recherche, ce n’est encore qu’une hypothèse parmi d’autres, hypothèse évidemment mise en avant par les gros industriels américains ou chinois (certains parlant même de présence naturelle de chlorure de benzéthonium !) mais qui est loin de faire l’unanimité.
Pour les plus curieux, voir ici :
http://www.mountainroseherbs.com/learn/grapefr.php
http://www.nhiondemand.com/viewcontent.aspx?mgid=503#207
http://www.encyclopedia.com/doc/1G2-3435100356.htmlhttp://chemicaloftheday.squarespace.com/most-controversial/2010/1/27/the-truth-about-grapefruit-seed-extract.html
http://www.itmonline.org/jintu/grapefruit.htm

(4) Antimicrobial activity of grapefruit seed and pulp ethanolic extract - Cventniz et Vladimir-Knezevic. Acta Pharm. 54 (2004) 243–250.
The effectiveness of processed grapefruit-seed extract as an antibacterial agent: II. Mechanism of action and in vitro toxicity. - Heggers JP et al. J Altern Complement Med. 2002 Jun; 8(3):333-40.

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Homéopathie, parodontite
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Douleur
Chloé Durand - bambou3112@yahoo.fr
A la lecture de votre article sur la douleur, je ne suis pas sûre que la bromélaïne, qui a l'air si efficace, le soit aussi contre les douleurs de migraines, si particulières. J'en souffre depuis des années, toujours au petit matin, sans trouver de solution et je ne sais plus vers qui me tourner. La bromélaïne peut-elle m'aider ? En tout cas, bravo pour vos lettres et tous vos bons conseils. Je les archive toutes, vous sortez des sentiers battus et rebattus, et ça fait du bien.
Alternative Santé : La bromélaïne, hélas, ne soulage pas toutes les douleurs même si elle est efficace au sens large pour les douleurs de nature inflammatoire. Pour vos migraines du matin, essayez plutôt ce protocole qui donne souvent de bons résultats : 3 gélules midi et soir de reine des près au milieu du repas et 10 gouttes de bourgeons de cassis le soir au coucher. Ce traitement ne pouvant qu'être temporaire, pensez en parallèle à vous complémenter en magnésium, vos migraines pouvant provenir d'une simple carence. Autre piste à explorer, le Chrysanthellum americanum : les migraines féminines sont souvent provoquées par de petites lithiases biliaires, ce que l'on méconnait souvent et c'est peut-être votre cas. Or le chrysanthellum est réputé dissoudre les calculs biliaires.

Roger MARTEAU <marteau-roger@orange.fr>Un bon moyen pour arrêter de fumer : dans un club de plongée sous-marine demandez un bapteme . En principe cela dure 15 à 20 mn . Ensuite fumer une cigarette , vous allez vite comprendre : c'est atroce . Cela a ouvert ma conscience sur la nocivité du tabac . Arrêt de la cigarette en Mai 1965, à 22 ans. J'ai 69 ans et je suis en pleine forme.

Yvette DUFAUD - yvette.dufaud@wanadoo.fr
J'ai eu un problème de parodontite vers la cinquantaine et, comme ma mère s'était ruinée en soins et avait malgré cela perdu toutes ses dents par déchaussement tout en ayant comme moi plutôt de bonnes dents, cela m'inquiétait beaucoup.
Les hasards de la vie ont fait que j' ai, à cette époque, changé ma façon de manger et qu' en particulier je prépare presque tous les matins la crème Budwig du Dr Kousmine pour mon déjeuner. Par ailleurs, j'essaie le plus possible de pratiquer pour mon alimentation des cuissons douces et de manger des aliments vivants.
Ajoutons que je me suis mise aussi à peu près à la même époque aux brossettes interdentaires et que je m'en sers après chaque repas alors que, honte à moi, je ne suis pas une forcenée de la brosse à dents.
La fin de l' histoire est que mes gencives sont parfaites et que ma jeune dentiste actuelle (fille d' un de mes amis ) ne me croit quasiment pas quand je lui dis que j' ai eu ce problème et ajoute : "Tu as des gencives de jeune fille !" A 70 ans ce n' est pas mal.
Dans l' espoir d' avoir apporté de l' eau bien claire à votre moulin.

Damien Elton Gates - gates.damien@gmail.com
Je ne pourrai pas être plus d'accord avec vous, le lien entre la colonne vertébrale, le système nerveux et la santé est très étroit. Cependant je trouve dommage qu'en France - faute d'information - on ne parle quasiment jamais de chiropratique, ou chiropraxie, mais toujours d'ostéopathie.
Il faut savoir que la chiropratique est la première profession de santé manuelle au monde et que, bien que peu connus en France, les chiropracteurs ont le droit de faire plus de choses que les ostéopathes (manipulation de la colonne cervicale sans passer par un médecin avant, pour ne citer que ça).
De plus, la formation chiropratique est standardisée au niveau mondial alors qu'en France il existe de nombreux médecins-ostéopathes et kiné-ostéopathes qui suivent une formation raccourcie (quelques stages totalisant quelques dizaines ou centaines d'heures seulement) et qui, faute de formation suffisante, sont parfois plus dangereux que bénéfiques.
Alternative Santé : C'est vrai nous sommes en France nettement moins familiarisés avec la chiropraxie qui est une technique solide et éprouvée dans le monde entier. Pour trouver un chiropracteur nous recommandons à nos lecteurs de se rendre surannuaire-therapeutes.com qui en recense environ 500.

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