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Παρασκευή 14 Δεκεμβρίου 2012

Médicaments génériques : la méfiance persiste rubrique Médicaments & Soins catégorie Les Actus note de la rédaction 0 0 0 0 0 note des lecteurs 3 3 3 3 3 date et réactions 12 décembre | 9 Professionnel ou passionné, partagez vos connaissances sur la santé ou le bien-être. [mot de passe oublié ?] Rester identifié quelques jours PUBLICITE Médicaments génériques : la méfiance persiste Soins dentaires et low cost font-ils bon ménage ? Les médicaments contre le rhume bientôt délivrés sur ordonnance Grèce : Hôpitaux à l’agonie, médecins en fuite Pourquoi je préfère me soigner en France Il perd la vue à cause de la vodka et la retrouve grâce au whisky Pour vous, Noël et Nouvel An sont… De grands moments de bonheur et bien-être Un peu nocifs pour la santé, mais joyeux Une épreuve psychologique car je suis timide Des moments difficiles à passer Roseline Rédacteur 56 articles Denise Silber Spécialiste e-santé 27 articles DR DELEPOULLE A-S Pharmacien 16 articles Tout le site Les actus Santé & Maladies Psycho & Sexo Médicaments & Soins Enfants & Ados Nutrition & Régimes Femmes & Grossesses Santé Naturelle Je Gère Ma Santé Forme & Beauté Santé Des Animaux Henri de Miebenthal Kinésithérapeute note moyenne des lecteurs 3 3 3 3 3 note moyenne de la rédaction 5 5 5 5 5 nombre d'articles 324 nombre de commentaires 0 nombre de votes 0 Médicaments génériques : la méfiance persiste Les Français ne sont toujours pas convaincus par les médicaments génériques, pourtant progressivement instaurés par l’Assurance maladie. Ce scepticisme pour les génériques gagnerait même du terrain si l’on en croit le sondage effectué le 10 décembre dernier par l’Ifop pour le groupe de pharmaciens PHR : Seuls 57% des Français acceptent naturellement la substitution d’un médicament d’origine par un générique. Le chiffre est en recul de cinq points par rapport à l’an dernier. La Sécurité sociale est en danger. Et les médicaments génériques, qui sont moins chers à rembourser, contribuent un tant soit peu à sauver le système de santé. L’économie réalisée par les génériques fait quasiment l’unanimité. Mais la pilule passe difficilement chez les patients, qui restent sceptiques devant ces boites sans marque. La Mutualité Française a dévoilé dans un rapport, le 11 décembre, que les ventes de médicaments génériques ont reculé pour la première fois de leur histoire en 2011. Et un sondage Ifop, publié la veille, indique pour sa part que seuls 57% des Français sont prêts à accepter systématiquement la substitution d’un médicament original par un générique… alors qu’ils étaient encore 62% l’an dernier. Par ailleurs, les Français sont moins nombreux que l’an dernier (à hauteur de 72% contre 77% en 2011) à reconnaître que « les génériques ont la même efficacité que les médicaments originaux ». Le scepticisme à l’égard de ces nouvelles boites, dont 700 millions sont remboursées chaque année, tient aussi à la manière de les proposer. Près de la moitié des sondés (46%) estime ainsi leur liberté mise en jeu lorsque le refus d’acheter un générique leur coûte la possibilité de bénéficier du tiers payant. En outre, selon le docteur Jean-Luc Audhoui, pharmacien et membre de la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France, intervenu dans les colonnes du Nouvel Observateur, « ce qui fait peur aux gens, c’est que le générique n’a pas été étudié comme le médicament d’origine. C’est vrai, mais sans importance : quand un médicament d’origine, dit princeps, est "généricable", cela signifie qu’il est sur le marché depuis une dizaine d’années et que ses effets sont connus. Pas besoin de procéder à de nouveaux tests pour une même molécule ». Et le contexte joue aussi : les scandales du Mediator et des prothèses PIP sont venus semer le doute sur les médicaments en général. La reproduction totale ou partielle de l'article est strictement interdite sans accord préalable de l'auteur




Médicaments génériques : la méfiance persiste
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Henri de Miebenthal, 324 articles (Kinésithérapeute)

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Médicaments génériques : la méfiance persiste

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Les Français ne sont toujours pas convaincus par les médicaments génériques, pourtant progressivement instaurés par l’Assurance maladie. Ce scepticisme pour les génériques gagnerait même du terrain si l’on en croit le sondage effectué le 10 décembre dernier par l’Ifop pour le groupe de pharmaciens PHR : Seuls 57% des Français acceptent naturellement la substitution d’un médicament d’origine par un générique. Le chiffre est en recul de cinq points par rapport à l’an dernier.

La Sécurité sociale est en danger. Et les médicaments génériques, qui sont moins chers à rembourser, contribuent un tant soit peu à sauver le système de santé. L’économie réalisée par les génériques fait quasiment l’unanimité. Mais la pilule passe difficilement chez les patients, qui restent sceptiques devant ces boites sans marque. La Mutualité Française a dévoilé dans un rapport, le 11 décembre, que les ventes de médicaments génériques ont reculé pour la première fois de leur histoire en 2011. Et un sondage Ifop, publié la veille, indique pour sa part que seuls 57% des Français sont prêts à accepter systématiquement la substitution d’un médicament original par un générique… alors qu’ils étaient encore 62% l’an dernier.
 
Par ailleurs, les Français sont moins nombreux que l’an dernier (à hauteur de 72% contre 77% en 2011) à reconnaître que « les génériques ont la même efficacité que les médicaments originaux ». Le scepticisme à l’égard de ces nouvelles boites, dont 700 millions sont remboursées chaque année, tient aussi à la manière de les proposer. Près de la moitié des sondés (46%) estime ainsi leur liberté mise en jeu lorsque le refus d’acheter un générique leur coûte la possibilité de bénéficier du tiers payant.
En outre, selon le docteur Jean-Luc Audhoui, pharmacien et membre de la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France, intervenu dans les colonnes du Nouvel Observateur« ce qui fait peur aux gens, c’est que le générique n’a pas été étudié comme le médicament d’origine. C’est vrai, mais sans importance : quand un médicament d’origine, dit princeps, est "généricable", cela signifie qu’il est sur le marché depuis une dizaine d’années et que ses effets sont connus. Pas besoin de procéder à de nouveaux tests pour une même molécule ». Et le contexte joue aussi : les scandales du Mediator et des prothèses PIPsont venus semer le doute sur les médicaments en général.
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Les Français ne sont toujours pas convaincus par les médicaments génériques, pourtant progressivement instaurés par l’Assurance maladie. Ce scepticisme pour les génériques gagnerait même du terrain si l’on en croit le sondage effectué le 10 décembre dernier par l’Ifop pour le groupe de pharmaciens PHR : Seuls 57% des Français acceptent naturellement la substitution d’un médicament d’origine par un générique. Le chiffre est en recul de cinq points par rapport à l’an dernier.

La Sécurité sociale est en danger. Et les médicaments génériques, qui sont moins chers à rembourser, contribuent un tant soit peu à sauver le système de santé. L’économie réalisée par les génériques fait quasiment l’unanimité. Mais la pilule passe difficilement chez les patients, qui restent sceptiques devant ces boites sans marque. La Mutualité Française a dévoilé dans un rapport, le 11 décembre, que les ventes de médicaments génériques ont reculé pour la première fois de leur histoire en 2011. Et un sondage Ifop, publié la veille, indique pour sa part que seuls 57% des Français sont prêts à accepter systématiquement la substitution d’un médicament original par un générique… alors qu’ils étaient encore 62% l’an dernier.
 
Par ailleurs, les Français sont moins nombreux que l’an dernier (à hauteur de 72% contre 77% en 2011) à reconnaître que « les génériques ont la même efficacité que les médicaments originaux ». Le scepticisme à l’égard de ces nouvelles boites, dont 700 millions sont remboursées chaque année, tient aussi à la manière de les proposer. Près de la moitié des sondés (46%) estime ainsi leur liberté mise en jeu lorsque le refus d’acheter un générique leur coûte la possibilité de bénéficier du tiers payant.
En outre, selon le docteur Jean-Luc Audhoui, pharmacien et membre de la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France, intervenu dans les colonnes du Nouvel Observateur« ce qui fait peur aux gens, c’est que le générique n’a pas été étudié comme le médicament d’origine. C’est vrai, mais sans importance : quand un médicament d’origine, dit princeps, est "généricable", cela signifie qu’il est sur le marché depuis une dizaine d’années et que ses effets sont connus. Pas besoin de procéder à de nouveaux tests pour une même molécule ». Et le contexte joue aussi : les scandales du Mediator et des prothèses PIPsont venus semer le doute sur les médicaments en général.

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