L'ECONOMIE MONDIALE EST UN ENSEMBLE UNIQUE,PSYCHOSOMATIQUE. AUSTÉRITÉ VIATIQUE VERS LA CROISSANCE POUR L'OCCIDENT. Η ΠΑΓΚΟΣΜΙΑ ΟΙΚΟΝΟΜΙΑ ΕΙΝΑΙ ΕΝΑ ΕΝΙΑΙΟ ΣΥΝΟΛΟ,ΨΥΧΟΣΩΜΑΤΙΚΟ.Η ΛΙΤΟΤΗΤΑ ΕΙΝΑΙ Ο ΔΡΟΜΟΣ ΓΙΑ ΤΗΝ ΑΝΑΠΤΥΞΗ ΤΗΣ ΔΥΣΗΣ
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Τρίτη 20 Μαρτίου 2012
ΜπλεΜήλο: Δημοσιοϋπαλληλοκρατία
ΜπλεΜήλο: Δημοσιοϋπαλληλοκρατία: Ο κύριος Άρης Χατζηστεφάνου μετά το Debtocracy επανέρχεται με ένα κείμενο του, αναρρωτιέται για ποιον λόγο οι δημόσιοι υπάλληλοι από την Ι...
Juifs et musulmans dénoncent toute instrumentalisation du drame de Toulouse
Le recteur de la Mosquée de Paris Dalil Boubakeur (2e g), le président du Crif Richard Prasquier (3e g), le Grand Rabbin Gilles Bernheim (centre), le président du Consistoire central juif Joël Mergui (2e d) et le président du CFCM Mohamed Moussaoui (d) à l'issue d'un entretien à l'Elysée avec le président Nicolas Sarkozy. (Photo Benoît Tessier. REUTERS)
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Les dirigeants du Crif et du CFCM ont notamment tenu à dissocier la tuerie du climat politique actuel.
Les responsables des communautés juive et musulmane de France ont vigoureusement mis en garde mardi la classe politique contre toute tentative d'instrumentalisation de la tuerie de Toulouse, dans le cadre de la campagne électorale, les jugeant «honteuses».
«Il n'y a absolument rien à voir entre le climat, que l'on peut considérer comme délétère si l'on veut, et la monstruosité d'un tel acte, il n'y a aucune comparaison à faire», s'est emporté le président du Conseil représentatif des institution juives de France (Crif), Richard Prasquier, à l'issue d'une réunion des représentants des deux communautés autour de Nicolas Sarkozy à l'Elysée.
«L'homme qui a tiré une gosse par les cheveux pour lui loger une balle dans la tête ne l'a pas fait parce qu'il a entendu telle ou telle remarque au sujet de l'abattage rituel. Il faut arrêter de faire la liaison entre les deux événements», a poursuivi Richard Prasquier, «il a auparavant tué trois soldats et ce n'est pas l'ambiance, l'atmosphère, qui fait qu'il a commis ces crimes».
«Bien que l'on soit dans une campagne électorale où certains peuvent être tentés d'instrumentaliser, je pense que ça serait honteux pour ceux qui empruntent ce chemin d'agir de la sorte», a renchéri le président du Conseil français du culte musulman (CFCM), Mohammed Moussaoui.
«Je ne pense à personne. Simplement, je le dis pour prévenir des comportements qui ne sont pas dignes», a poursuivi Mohammed Moussaoui, devant la presse. «Affichons un front uni contre cette haine, et agissons ensemble pour rassurer l'ensemble de nos concitoyens», a-t-il ajouté.
«Nous sommes d'abord Français, juifs ou musulmans, attachés à ces valeurs, et lorsqu'on touche à une communauté religieuse, comme ça a été le cas à Toulouse au travers de son école, c'est aussi à la France que l'on s'attaque», a pour sa part estimé le Grand rabbin de France, Gilles Bernheim.
La classe politique a unanimement dénoncé la tuerie de Toulouse et appelé à l'union nationale, mais certains, comme François Bayrou (MoDem), ont relevé la responsabilité dans ce drame de «ceux qui montrent du doigt» ou «attisent les passions», tandis que François Hollande (PS) a plaidé pour qu'«au sommet de l'Etat, rien ne puisse être toléré. Rien. Ni le vocabulaire, ni la vulgarité, ni la facilité, ni je ne sais quelle simplification».
(AFP)
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Les dirigeants du Crif et du CFCM ont notamment tenu à dissocier la tuerie du climat politique actuel.
Les responsables des communautés juive et musulmane de France ont vigoureusement mis en garde mardi la classe politique contre toute tentative d'instrumentalisation de la tuerie de Toulouse, dans le cadre de la campagne électorale, les jugeant «honteuses».
«Il n'y a absolument rien à voir entre le climat, que l'on peut considérer comme délétère si l'on veut, et la monstruosité d'un tel acte, il n'y a aucune comparaison à faire», s'est emporté le président du Conseil représentatif des institution juives de France (Crif), Richard Prasquier, à l'issue d'une réunion des représentants des deux communautés autour de Nicolas Sarkozy à l'Elysée.
«L'homme qui a tiré une gosse par les cheveux pour lui loger une balle dans la tête ne l'a pas fait parce qu'il a entendu telle ou telle remarque au sujet de l'abattage rituel. Il faut arrêter de faire la liaison entre les deux événements», a poursuivi Richard Prasquier, «il a auparavant tué trois soldats et ce n'est pas l'ambiance, l'atmosphère, qui fait qu'il a commis ces crimes».
«Bien que l'on soit dans une campagne électorale où certains peuvent être tentés d'instrumentaliser, je pense que ça serait honteux pour ceux qui empruntent ce chemin d'agir de la sorte», a renchéri le président du Conseil français du culte musulman (CFCM), Mohammed Moussaoui.
«Je ne pense à personne. Simplement, je le dis pour prévenir des comportements qui ne sont pas dignes», a poursuivi Mohammed Moussaoui, devant la presse. «Affichons un front uni contre cette haine, et agissons ensemble pour rassurer l'ensemble de nos concitoyens», a-t-il ajouté.
«Nous sommes d'abord Français, juifs ou musulmans, attachés à ces valeurs, et lorsqu'on touche à une communauté religieuse, comme ça a été le cas à Toulouse au travers de son école, c'est aussi à la France que l'on s'attaque», a pour sa part estimé le Grand rabbin de France, Gilles Bernheim.
La classe politique a unanimement dénoncé la tuerie de Toulouse et appelé à l'union nationale, mais certains, comme François Bayrou (MoDem), ont relevé la responsabilité dans ce drame de «ceux qui montrent du doigt» ou «attisent les passions», tandis que François Hollande (PS) a plaidé pour qu'«au sommet de l'Etat, rien ne puisse être toléré. Rien. Ni le vocabulaire, ni la vulgarité, ni la facilité, ni je ne sais quelle simplification».
(AFP)
Με διέγραψαν, δεν έφυγα
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Η πρόεδρος της Δημοκρατικής Συμμαχίας Ντόρα Μπακογιάννη μιλώντας στον Real fm, χαρακτήρισε παρωδία την εξεταστική και σημείωσε: «Δεν στήνεις εξεταστική ένα μήνα πριν τις εκλογές για να δημιουργήσεις ένα θέμα πολωτικό μέσα στο πολιτικό σύστημα, την ώρα που η Ελλάδα δίνει τη μάχη της».
Η κ. Μπακογιάννη τόνισε ότι οι οικονομικές αντοχές των Ελλήνων έχουν φτάσει στα όρια των αντοχών τους και είπε: «Ο μόνος τομέας που μπορεί και πρέπει να δώσει είναι αυτό που ονομάζεται το ευρύτερο δημόσιο, είτε αυτό είναι αποκρατικοποιήσεις είτε αυτό είναι ακίνητα».
Η Ντόρα Μπακογιάννη απέκλεισε κάθε ενδεχόμενο επιστροφής στη Νέα Δημοκρατία, λέγοντας χαρακτηριστικά: «Με διέγραψαν με βουλοκέρι. Δεν έφυγα. Απλώς ψήφισα αυτό που δύο χρόνια μετά ψήφισε ο κ. Σαμαράς» και πρόσθεσε: «Δεν υπάρχει θέμα επιστροφής. Η Νέα Δημοκρατία ακολουθεί τη δικιά της πολιτική και η Δημοκρατική Συμμαχία τη δικιά της».
Πρόσθετες Πληροφορίες
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Η πρόεδρος της Δημοκρατικής Συμμαχίας Ντόρα Μπακογιάννη μιλώντας στον Real fm, χαρακτήρισε παρωδία την εξεταστική και σημείωσε: «Δεν στήνεις εξεταστική ένα μήνα πριν τις εκλογές για να δημιουργήσεις ένα θέμα πολωτικό μέσα στο πολιτικό σύστημα, την ώρα που η Ελλάδα δίνει τη μάχη της».
Η κ. Μπακογιάννη τόνισε ότι οι οικονομικές αντοχές των Ελλήνων έχουν φτάσει στα όρια των αντοχών τους και είπε: «Ο μόνος τομέας που μπορεί και πρέπει να δώσει είναι αυτό που ονομάζεται το ευρύτερο δημόσιο, είτε αυτό είναι αποκρατικοποιήσεις είτε αυτό είναι ακίνητα».
Η Ντόρα Μπακογιάννη απέκλεισε κάθε ενδεχόμενο επιστροφής στη Νέα Δημοκρατία, λέγοντας χαρακτηριστικά: «Με διέγραψαν με βουλοκέρι. Δεν έφυγα. Απλώς ψήφισα αυτό που δύο χρόνια μετά ψήφισε ο κ. Σαμαράς» και πρόσθεσε: «Δεν υπάρχει θέμα επιστροφής. Η Νέα Δημοκρατία ακολουθεί τη δικιά της πολιτική και η Δημοκρατική Συμμαχία τη δικιά της».
Πρόσθετες Πληροφορίες
Tel-Aviv se mobilise et organise une marche silencieuse pour rendre hommage aux victimes de Toulouse Publié le : 20 mars 2012
Comme nous tous, j’ai regardé impuissant les images en boucle l’attentat de Toulouse hier. Touché au plus profond de moi en tant que père, juif, israélien et français.
Devant la douleur la plus atroce, face à l’indicible, nous nous devons d’être solidaires et unis.
Toucher à nos enfants, toucher à des enfants c’est toucher à l’essence même de l’humanité.
Inscrivez-vous à la newsletter de JSSNews
Hier, nous avons vu des rassemblements de solidarité en France, regroupant la communauté, mais aussi les politiques et un grand nombre de personnes simplement dans l’empathie qui ont oublié, le temps des larmes, leurs différends. (Même si je suis conscient des visées électoralistes des une ou des autres, là n’est pas la question aujourd’hui).
Nous tous, Israéliens, Français de toutes convictions, quelque soient nos pratiques religieuses et politiques, devons montrer notre unité face à au mal absolu.
Un rassemblement silencieux est organisé jeudi 22 mars à 18h30 place Yitzhak Rabin à Tel Aviv.
Nous espérons vous y retrouver nombreux afin d’exprimer notre solidarité aux familles, à la communauté juive de Toulouse et surtout de montrer à nos ennemis que la vraie force du peuple juif est son unité.
Am Israel Haï
Nicolas Lang – JSSNews
Suivez l’actualité de cet évènement à travers la page facebook « Rassemblement silencieux en hommage aux victimes »
Devant la douleur la plus atroce, face à l’indicible, nous nous devons d’être solidaires et unis.
Toucher à nos enfants, toucher à des enfants c’est toucher à l’essence même de l’humanité.
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Hier, nous avons vu des rassemblements de solidarité en France, regroupant la communauté, mais aussi les politiques et un grand nombre de personnes simplement dans l’empathie qui ont oublié, le temps des larmes, leurs différends. (Même si je suis conscient des visées électoralistes des une ou des autres, là n’est pas la question aujourd’hui).
Nous tous, Israéliens, Français de toutes convictions, quelque soient nos pratiques religieuses et politiques, devons montrer notre unité face à au mal absolu.
Un rassemblement silencieux est organisé jeudi 22 mars à 18h30 place Yitzhak Rabin à Tel Aviv.
Nous espérons vous y retrouver nombreux afin d’exprimer notre solidarité aux familles, à la communauté juive de Toulouse et surtout de montrer à nos ennemis que la vraie force du peuple juif est son unité.
Am Israel Haï
Nicolas Lang – JSSNews
Suivez l’actualité de cet évènement à travers la page facebook « Rassemblement silencieux en hommage aux victimes »
Tuerie de Toulouse : Bayrou pointe le climat et les politiques pyromanes
« IGNOBLE »20/03/2012 à 11h39
Mathieu Deslandes | Journaliste
François Bayrou se voit en garant de l'unité nationale. Mais à l'UMP comme au PS, on l'accuse de l'avoir rompue.
Ce lundi soir, le candidat du MoDem devait tenir un meeting à Grenoble. Il l'a transformé en « réunion de réflexion nationale ».
« Tuer des enfants parce qu'ils sont juifs, l'histoire de l'Europe a déjà connu cela à l'échelle industrielle », a-t-il commencé.
« Et là, c'est chez nous, c'est sur notre sol. Et naturellement, en tout cas je l'espère de tout mon cœur, c'est le résultat d'une folie furieuse [...]. Mais ce que je crois profondément, c'est que ce type de folie s'enracine dans l'état d'une société et ce qui me frappe depuis longtemps, c'est que dans la société française ce type d'atteintes, d'attentats, d'actes se multiplient. »
« Montrer du doigt les uns ou les autres »
Or selon lui, ce « degré de violence, de stigmatisation dans la société française qui est en train de grandir » n'est « pas sans rapport avec la responsabilité publique ». Il a souligné qu'il ne s'agissait « pas de liens de cause à effet, bien entendu », mais tout de même :
« Il y a, depuis trop longtemps, un climat qui se dégrade en France et la vie politique n'est pas étrangère à ce climat. »
« Le premier qui dit la vérité » ? Le candidat du MoDem a poursuivi :
« Le fait de montrer du doigt les uns ou les autres en raison de leur présence dans le pays, de leur origine, de leur situation sociale, c'est d'une certaine manière faire flamber ce genre de passion, ce genre de sentiment [...].
On lance des sujets dans le débat, on prononce des mots et ces mots-là, après, ils roulent comme une avalanche et quelquefois ils tombent sur des fous. »
Tout au long de ce discours, assez en phase avec les analyses de la presse étrangère, François Bayrou n'a jamais cité les noms de Nicolas Sarkozy, Eric Besson, Brice Hortefeux ou Claude Guéant. Mais tout le monde a bien compris qui était visé. Et qu'il répondait, à Grenoble, à un autre discours de Grenoble.
Hollande : « Ce n'est pas le moment »
C'est ce qui explique la vivacité des réactions qu'il a suscitées à droite. « N'ajoutons pas l'ignoble à l'horrible », lui a ainsi lancé le ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé, sur France 2, satisfait que les autres leaders politiques aient « réagi avec dignité et dans un esprit d'union nationale ».
Dans un premier mouvement, François Hollande lui est aussi tombé dessus, en appelant à l'union. « Il n'y a pas si souvent des causes qui peuvent nous rassembler à ce point », a-t-il souligné sur RMC.
« Je ne veux pas faire d'analyse des causes, ce n'est pas le moment. »
Mais le candidat socialiste, fidèle à sa rhétorique du « oui... mais » a fini par admettre qu'il y a « des mots qui peuvent avoir des conséquences, qui influencent, qui pénètrent, qui libèrent ». « Ceux qui ont une responsabilité doivent maîtriser leur vocabulaire », a-t-il ajouté avant d'inviter « le sommet de l'Etat » à montrer l'exemple.
Mathieu Deslandes | Journaliste
François Bayrou se voit en garant de l'unité nationale. Mais à l'UMP comme au PS, on l'accuse de l'avoir rompue.
Ce lundi soir, le candidat du MoDem devait tenir un meeting à Grenoble. Il l'a transformé en « réunion de réflexion nationale ».
« Tuer des enfants parce qu'ils sont juifs, l'histoire de l'Europe a déjà connu cela à l'échelle industrielle », a-t-il commencé.
« Et là, c'est chez nous, c'est sur notre sol. Et naturellement, en tout cas je l'espère de tout mon cœur, c'est le résultat d'une folie furieuse [...]. Mais ce que je crois profondément, c'est que ce type de folie s'enracine dans l'état d'une société et ce qui me frappe depuis longtemps, c'est que dans la société française ce type d'atteintes, d'attentats, d'actes se multiplient. »
« Montrer du doigt les uns ou les autres »
Or selon lui, ce « degré de violence, de stigmatisation dans la société française qui est en train de grandir » n'est « pas sans rapport avec la responsabilité publique ». Il a souligné qu'il ne s'agissait « pas de liens de cause à effet, bien entendu », mais tout de même :
« Il y a, depuis trop longtemps, un climat qui se dégrade en France et la vie politique n'est pas étrangère à ce climat. »
« Le premier qui dit la vérité » ? Le candidat du MoDem a poursuivi :
« Le fait de montrer du doigt les uns ou les autres en raison de leur présence dans le pays, de leur origine, de leur situation sociale, c'est d'une certaine manière faire flamber ce genre de passion, ce genre de sentiment [...].
On lance des sujets dans le débat, on prononce des mots et ces mots-là, après, ils roulent comme une avalanche et quelquefois ils tombent sur des fous. »
Tout au long de ce discours, assez en phase avec les analyses de la presse étrangère, François Bayrou n'a jamais cité les noms de Nicolas Sarkozy, Eric Besson, Brice Hortefeux ou Claude Guéant. Mais tout le monde a bien compris qui était visé. Et qu'il répondait, à Grenoble, à un autre discours de Grenoble.
Hollande : « Ce n'est pas le moment »
C'est ce qui explique la vivacité des réactions qu'il a suscitées à droite. « N'ajoutons pas l'ignoble à l'horrible », lui a ainsi lancé le ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé, sur France 2, satisfait que les autres leaders politiques aient « réagi avec dignité et dans un esprit d'union nationale ».
Dans un premier mouvement, François Hollande lui est aussi tombé dessus, en appelant à l'union. « Il n'y a pas si souvent des causes qui peuvent nous rassembler à ce point », a-t-il souligné sur RMC.
« Je ne veux pas faire d'analyse des causes, ce n'est pas le moment. »
Mais le candidat socialiste, fidèle à sa rhétorique du « oui... mais » a fini par admettre qu'il y a « des mots qui peuvent avoir des conséquences, qui influencent, qui pénètrent, qui libèrent ». « Ceux qui ont une responsabilité doivent maîtriser leur vocabulaire », a-t-il ajouté avant d'inviter « le sommet de l'Etat » à montrer l'exemple.